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Étudiante SKEMA



Groupe n° 40[modifier | modifier le wikicode]

Votre campus : Lille

Dans quelles mesures la consommation collaborative peut-elle représenter une opportunité pour les entreprises de la grande distribution?


ROLE DANS LE GROUPE
NOM DE L'ETUDIANT(E)
PORTABLE (non obligatoire)
Le référant caméraman
Annabelle COUVREUR
annabelle.couvreur@skema.edu
Le référant chargé de production
Mengfan ZHENG
mengfan.zheng@skema.edu
Le référant journaliste
Aurélie HONORE
aurelie.honore@skema.edu
Le référant post-production
Hélène THAY
helene.thay@skema.edu
Le jardinier wiki
Ke NI
Ke.NI
Le banquier du groupe
Claire DECRETON
claire.decreton@skema.edu

Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

Nous partons du constat suivant :

Lorsqu'on parle de consommation collaborative, des noms de start-up nous viennent directement à l'esprit. Pour ne pas citer la Machine du Voisin ou encore le Covoiturage.fr. En ce qui nous concerne, nous voulons nous intéresser à un grand groupe de la grande distribution qui a priori n'a pas fait sa réputation sur ce modèle, mais qui s'oriente de plus en plus vers les formes de consommation collaborative. Pour illustrer nos propos, nous prendrons pour exemple le Trocathlon : une plateforme d’intermédiation sur les marchés de la redistribution.

Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]


Nous tenons à remercier chaleureusement


  • Madame Anne-Sophie JOURDAN,Résponsable Trocathlon
  • Monsieur Florian DUHAMEL, Vendeur Trocathlon
  • Madame Sylvie LUPTON,Enseignante à Novancia Business School
  • Mademoiselle Salimatou BALDÉ,Étudiante SKEMA Business School
  • Mademoiselle Chahira KANDIL,Étudiante SKEMA Business School
  • Monsieur Benjamin CHAMPOMIER,Étudiant SKEMA Business School
  • Mademoiselle Emma TEXIER,Étudiante SKEMA Business School

Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

Dans quelles mesures la consommation collaborative peut-elle représenter une opportunité pour les entreprises de la grande distribution?

A priori, la grande distribution est à contre courant du principe même de l’économie de partage. Un article paru sur weshare.net nous a interpellé et dans lequel Neal Gorenflo, éditeur de shareable.net envisage un scénario où la grande distribution est au cœur de l’économie de partage. Le principe de consommation collaborative peut remettre en cause tout le modèle économique sur lequel la grande distribution a forgé sa renommée. En d’autres termes un système basé sur la production et la possession des moyens de production, ayant pour principal objectif le profit, caractéristiques des économies capitalistes. En ce sens, si l’économie de partage était vouée à s’étendre avec ce nouveau modèle économique de nos sociétés, la grande distribution serait mise en difficultés ?

Avec un pouvoir d’achat en berne et le changement de comportement des consommateurs, nous avons d'une part, de nombreuses start-ups qui fleurissent avec pour credo la consommation collaborative. On peut citer notamment Groupon, un site basé sur le concept d'achat groupé, des plateformes de redistribution: le Bon Coin, E-bay et également des entreprises qui prône le partage : blablacar.fr pour le covoiturage ou Coursera pour les MOOC (massive open online course), partage des connaissances. D'autre part, des enseignes de la grande distribution commencent petit à petit à adopter ces pratiques. Le Trocathlon de Décathlon (cf reportage), Ikea, la collaboration entre Quirky et Auchan ( Auchan commercialisant des produits inventés par les consommateurs eux-mêmes). Cependant, force est de constater que ces initiatives s’apparentent davantage à des événements ponctuels loin d’une innovation durable comme on peut l’entendre. Le système économique dans lequel se trouvent ces grandes enseignes les empêche d’opter facilement pour un nouveau modèle. Toutefois, les enseignes de la grande distribution présentent bien plus d’atouts que les start ups pour se lancer dans la consommation collaborative . En effet, elles ont un vivier important de clients potentiels, une gestion de la chaîne logistique performante, souvent bien implantées et permettant une grande couverture du territoire national et à l'étranger.....

Ce nouveau mode de consommation qui se développe depuis quelques années, réussira-t-il à se généraliser au sein des entreprises traditionnelles? Cette question se justifie par le fait que pour certaines personnes, la consommation collaborative n’est qu’un effet de mode qui tendra à disparaître avec le temps. La consommation collaborative serait-elle juste « la tendance du moment » ? A l’inverse on peut également s’interroger sur l’avenir de la consommation collaborative en tant que soft power, qui viendrait s’instaurer dans de plus en plus d’entreprises afin de changer leur mode de fonctionnement actuel et d’optimiser leurs ressources au maximum. Ce mode de consommation entraînera-t-il une nouvelle définition du management ? L’économie collaborative, si elle arrive à survivre et à trouver sa place dans notre mode de vie, fera-t-elle naître un nouveau modèle économique viable ? Toutes ces questions nous conforte dans l’idée que la consommation collaborative est un mode de consommation à ne pas négliger et qui nécessite une attention toute particulière.

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

Q1: En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et plus généralement de la société ?

Intervention Annabelle : Ce projet m’a permis de sortir des idées reçues, notamment grâce à des explications approfondies apportées par des professionnels. Le développement durable est devenu essentiel pour les entreprises et ce quel que soit son secteur d’activité. Ce cours m’a poussé à m’intéresser à des sujets sensibles dont je ne prêtais pas forcément attention en matière de développement durable. Enfin cela m’a permis de comprendre quels étaient les enjeux pour notre société actuellement.

Intervention de Mengfan : Le développement durable est devenu une réelle problématique pour les entreprises en terme d'image de marque ou dans les investissement en R&D. Souhaitant travailler dans le luxe, le reportage sur la politique environnementale de Louis Vuitton, en ce sens, était très intéressant.

Plus largement, de plus en plus d' actions durables sont menées autour de nous mais le manque de communication inhibe la prise d'une conscience collective.

Intervention d’Aurélie : Grâce à ce type d’initiative, on se rend bien compte qu’on est loin du cliché classique des économies capitalistes des pays développés : le culte du profit, de la satisfaction du besoin individuelle… Les temps ont changés aussi bien pour les entreprises que pour la société. Les enjeux ne sont plus les mêmes. Le développement durable va bien au-delà de la conscience écologique et interpelle chaque acteurs économiques et sociaux : réflexions sur les nouveaux modes de consommation, de production et même remise en cause de certaines valeurs (notion de propriété, coopération…).

Si je prends le cadre de notre reportage, je me suis rendus compte qu’avant même de nommer certaine pratique par la consommation collaborative, certaines grandes enseignes s’étaient déjà penché sur la question à l’instar du Trocathlon proposé par Décathlon depuis plus de 20 ans.

Intervention de Hélène : Ce cours m’a permis de vraiment prendre conscience de l’évolution des mentalités et que ce qu’on appelle le « durable ». Cela prend beaucoup plus de formes que le simple recyclage et l’économie d’énergie par exemple . Nous sommes au jour d’aujourd’hui dans un tournant dans les habitudes de la société. Et les entreprises l’ont déjà bien compris et tentent de s’adapter aux nouvelles demandes sous divers aspects.

Intervention de Ke : Avec ce cours, ce qui m’impressionnait c’est le fait que les entreprises et les sociétés pensent de plus en plus au sujet du développement durable, quelque soit leur taille et le secteur, ils ont fait encore plus que je peux imaginer. La société peut donc en profiter pour se progresser et devenir de mieux en mieux. Le business se n’est plus fait dans la façon qui est tenu dans ma tête depuis toujours, il devient beaucoup plus divers et aussi avancé. Ils réagissent très très rapide à ce que les client ou les consommateur pensent.

Intervention de Claire : Avec ce cours j’ai pu acquérir une nouvelle compréhension du business, en découvrant que le business et le développement durable peuvent être reliés même dans les entreprises les plus traditionnelles. Plus généralement, j’ai été renforcé dans mon idée que la société évolue de plus en plus rapidement chaque, de même que les mentalités et l’éveil de chacun sur le développement durable.

Q2: Qu’avez-vous le plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez-vous formuler les compétences acquises ?

Intervention Annabelle : Ce cours m’a appris à travailler en profondeur sur un sujet que j’ai choisi avec les autres membres de mon groupe. C’était intéressant d’aller à la rencontre de professionnels, passionnés par leur sujet. J’ai également développé des compétences plus techniques avec une bonne organisation, une gestion du temps, des compétences de tournage.

Intervention de Mengfan : Réaliser un reportage de qualité est un travail fastidieux!! Compétences acquises: anticipation, organisation afin de respecter les deadlines puisque qu'on avait d'autres gros travaux de groupe à faire à côté de ce cours.

Intervention d’Aurélie : Compétences acquises : anticipation, réactivité (trouver un plan b quand les choses ne se déroulent pas comme prévu), l’organisation (respecter les deadline tout en concilier les travaux de groupes à faire dans les autres matières).

Intervention de Hélène : L’organisation autour d’un reportage demande beaucoup de travail. J’ai notamment acquis des compétences techniques en matière de montage vidéo et tout ce qui va avec.

Intervention de Ke : Comme le jardinier du wiki, ce que m’a apporté le plus c’est certainement le connaissance du technique de wiki. Grace à ce cours, j’ai appris comment créer une page de wiki et également comment rédiger cette page avec le langage de wiki, les formules spéciales pour mettre une vidéo, un lien et quelque chose d’autre sur la page wiki. Cela me permet de m’en servir ultérieurement dans la vie personnelle et surtout dans la vie professionnelle.

Intervention de Claire : Ce cours m’a appris à travailler en groupe, se déléguer les rôles importants et les respecter. Il m’a également appris à réfléchir en groupe sur un même thème pour finir par tous se mettre d’accord sur le déroulement du projet. Il fallait faire en sorte de respecter les deadlines et trouver la meilleure organisation pour rendre les travaux en temps et en heure. Enfin ce cours m’a permis de développer d’avantage mes compétences d’écoute des autres.

Q3: Comment avez-vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De qui avez-vous le plus appris (de vos pairs ? de l’interviewé ? De vos profs ?)

Intervention Annabelle : Cette nouvelle expérience d’apprentissage était stimulante dans sa forme, nouvelle manière d’apprendre, avec énormément d’autonomie, un cadre beaucoup moins scolaire qui a permis de trouver un plus grand intérêt dans le sujet traité. Dans un premier temps, l’enthousiasme était au rendez-vous. Cependant, il a été très difficile de gérer l’emploi du temps (bien que nous ayons respecté les deadlines) et parfois quelques problèmes techniques.

J’ai appris de mes pairs et notamment des compétences différentes que chacun avait. Concernant l’interviewé, nous avons fait face à quelques aléas de dernière minute notamment pour filmer l’interviewé pour notre reportage.

Intervention de Mengfan : Les méthodes novatrices sont toujours les bienvenues, particulièrement celle-ci mais l'idée de réaliser un reportage peut ne pas correspondre aux compétences de tout le monde. (la réalisation d'un reportage de manière professionnelle exige d'avoir du matériel!!). J'ai beaucoup apprécié les séances de brainstorming. Le projet demandait beaucoup d'investissement personnel, il y a eu de ce fait une collaboration étroite entre les membres du groupe. J'ai autant appris de mes pairs, de l'interviewé, des profs, que des conférences auxquelles nous avons assistées.

Intervention d’Aurélie : Au départ, j’étais très enthousiaste de me lancer dans l’aventure du Subtainable performance, des premières rencontres avec les futurs intervenants de notre reportage. Mais très vite, on se rend bien compte qu’on ne s’improvise pas journaliste du jour au lendemain et qu’il faut gérer avec les autres travaux de groupes.

Avis sur les profs : Concernant la problématique, mon groupe et moi nous avons eu des gros moments de doute. Des avis différents selon les professeurs intervenants qui nous ont un peu perturbé.

Avis sur l’interviewé : Lors de notre première rencontre avec cette personne, nous lui avons bien expliqué notre démarche, les objectifs et la logistique qui entoure la vidéo. Mais une fois sur place le jour de l’interview programmé 2 semaines auparavant, elle s’est désisté pour être filmé et/ou enregistré. Il fallait donc trouver un plan B. Ce qui n’était pas chose facile.

Avis de pairs : Les aléas du travail d’équipe... Il y a toujours des hauts et des bas. Mais quand ça ne va pas, il faut trouver un moyen de mobiliser à nouveau ses troupes.

Intervention de Hélène : Malgré un peu d’appréhension au début, cette expérience s’est révélée très intéressante. Ce projet a demandé un grand investissement de chacun des membres de l’équipe. Je pense avoir appris de tout ceux qui j’ai pu côtoyé pendant cette expérience.

Intervention de Ke : Je trouve cette expérience très très dynamique et innovante, elle a incité l’esprit d’innovation des étudiantes et surtout elle a animé le cours. Elle a évolué la manière de donner des cours pour les professeurs et la façon d’apprendre des cours pour les étudiants.

Intervention de Claire : Cette nouvelle expérience d’apprentissage était intéressante et innovante, cependant il était parfois difficile de gérer les deadlines et les autres cours du programme. J’ai le plus appris de mes pairs qui m’ont montrés comment prendre du recul les difficultés que l’ont a pu rencontrer.

Q4: A quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressoucres du wiki les liens associés ? Qu’est-ce qui a été le plus utlie pour vous ? Si faible utilisation, pourquoi ?

Intervention Annabelle : J’estime avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés entre 25 et 50%, notamment pour la prise de connaissance du sujet et permettre la mise en place d’une problématique. Le wiki était utile également pour les compétences techniques (dossier de production, législation pour le tournage,…).

Intervention de Mengfan : Utilisation des ressources wiki <25%, les moteurs de recherches nous donnaient pas mal d'informations.

Intervention d’Aurélie : Je pense avoir utilisé le wiki à autour de 40% : pour les démarches à suivre. Le dossier de Production était le plus utile à mes yeux car il permet à l’équipe d’avoir une ligne directrice.

Intervention de Hélène : Je pense avoir utilisé entre 25% et 50% des ressources du wiki. En effet, la plateforme est bien faite et pleine d’informations.

Malheureusement, vue la quantité d’informations et le temps limité que nous avions, il m’a été impossible d’exploiter à fond les possibilités qu’elle offrait (articles, liens, vidéos, etc.). En tant que référant post-production, et n’ayant aucune expérience précédente dans le domaine, la page sur la création d’un reportage audiovisuel a été d’une grande aide pour moi.

Intervention de Ke : Au niveau de l’utilisation des ressources du wiki, personnellement je n’ai utlisé que de wikipédia pour avoir des infos d’une chose que je ne connaissais pas. C’étais en plus un des résultats du moteur de recherche. Apart de cela, c’est vrai que je n’utilise pas beaucoup des ressources du wiki, à un taux pas plus de 50%.

Intervention de Claire : J’estime avoir utilisé les ressources du wiki à un taux entre 25% et 50%. Le plus utile était les liens vers d’autres sites et le descriptif des tâches à accomplir.

Q5: Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui-ci ? Quel a été l’apport avec la bourse de compétences ? Comment les compétences ont-elles circulés ?

Intervention Annabelle : Ce cours a eu une vraie influence sur les pratiques collaboratives mais principalement intra groupe. Les échanges inter groupes ont surtout eu lieu en milieu voir fin de projet. La bourse de compétences était un concept intéressant. Cependant cela faisait un outil supplémentaire, alors que les groupes sont très actifs sur les réseaux sociaux. Il était parfois difficile de faire circuler les compétences, et de nombreuses offres n’ont pas trouvé preneurs.

Impressions générales : Un projet motivant de par son originalité mais plusieurs difficultés rencontrées. Les membres du groupe avaient des emplois du temps très différent. Nous avions des deadlines assez serrées notamment pour le tournage et la post-production. L’utilisation de la bourse des compétences n’a pas réellement fonctionnée. Je pense que ce cours devrait commencer dès Septembre afin d’alléger le calendrier et permettre un meilleur rendu.

Intervention de Mengfan : Covoiturage pour se rendre sur les lieux de tournage, prêts de matériel entre membres de l'équipe.... Concernant la bourse de compétences: la demande de certains groupes était réalisable, (prêt de matériels d'un campus à un autre.) Nous n'avons pas trouvé de nombreux preneurs par rapport aux offres de compétences proposées.

Intervention d’Aurélie : On va dire que ce cours va plus lien des travaux de groupe classique. Il est difficile de répartir le travail selon chaque membre puisque c’est un projet collectif et par conséquent chacune doit se sentir concernée à chaque étape du reportage. Demander ou proposer de l’aide aux autres groupes sont des activités nouvelles pour nous et instaurent une nouvelle relation avec les autres. D’une manière générale, instinctivement on ne pense pas tout de suite à la bourse des compétences pour avoir des conseils ou de l’aide pour les autres matières. Par habitude, on s’oriente davantage par les réseaux sociaux. Mais on apprend petit à petit à utiliser le service au fur et à mesure du projet : lien pour obtenir des musiques libre de droit etc.

Impression générale : Idée de cette matière est intéressante. Mais il faudra la mettre en avant dès la rentrée en M1 (un peu comme le project management en L3 sur l’année) au moins pour savoir à quoi s’attendre car on ne s’improvise pas caméraman, journaliste, chargée de post-production en quelques semaines.

Intervention de Hélène : On ne peut pas vraiment dire que cette expérience a eu une grande influence sur nos pratiques collaboratives, malheureusement. La banque Skem s’est avérée être plus une contrainte, qu’un outil utile.

Intervention de Ke : Ce que je trouve intéressant et innovant dans ce cours c’est qu’on a transformé du travail concurrencé groupe par groupe au travail aussi concurrencé mais où on peut solliciter de l’aide des autres groupe. Cela instaure donc une relation tendre entre les « concurrents ».

Intervention de Claire : Ce cours a en effet eu une influence dans le fait que le projet à mettre œuvre a demandé une collaboration encore plus forte qu’un travail de groupe normal. La bourse de compétences a eu pour moi un apport moyen car notre groupe n’avait pas forcément besoin de compétences car on possédait déjà du matériel et des contacts utiles, mais cela reste tout de même une bonne idée. J’ai trouvé que les compétences ont moyennement circulées.

Liens Utiles[modifier | modifier le wikicode]

Page de l'emploi du temps du cours de Développement Durable

Page de la liste des groupes de Développement Durable

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