Les enjeux de la responsabilité sociale et civile d’une structure hospitalière
Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]
La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante : Les enjeux de la responsabilité sociale et civile d’une corporation, le cas des médecins dans leur prise en charge des patients dans une structure hospitalière.
Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]
http://fr.slideshare.net/rymdawa/dossier-de-production-groupe-103pdf
Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]
Reportage Sustainable performance - GROUPE 103 SKEMA
Nous tenons à remercier chaleureusement Mme VUONG, Cadre de santé du pôle coeur et métabolisme, M. LEBRETON, chirurgien cardiaque et responsable de l'unité mobile des assistances circulatoires à l’hôpital La Pitié Salpêtrière, ainsi que Pierre W., Constance G., Samir H., Elyanel L., M. PARIENTE, qui ont eu la gentillesse de témoigner de leurs expériences dans le cadre de notre reportage.
Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]
Entre erreurs médicales et responsabilité du médecin : le casse-tête continu du management durable pour les hôpitaux
Du développement durable à l’hôpital ? Cette notion reste encore bien floue pour bon nombre d’acteurs hospitaliers. Si globalement le développement durable renvoie à l’environnement, le pan économique, et d’autant plus le pan social, semblent être moins évidents et présents dans les esprits. Pourtant, par sa vocation, l’hôpital s’inscrit directement dans le prolongement du concept de développement durable, et notamment à travers son pilier social : améliorer le quotidien, préserver la qualité de vie et la santé - par de la prévention - lutter contre l’exclusion sociale ; penser à l’avenir. Développement durable et santé sont donc complémentaires et se traduisent à l’hôpital particulièrement à travers le langage managérial. Le management durable consiste donc à intégrer les valeurs du développement durable – entre autres, amélioration de la qualité, de la santé - dans les prises de décisions, de gestion et de gouvernance d’une institution de santé. Le challenge du management hospitalier durable se heurte alors aux quelques 400 erreurs médicales quotidiennes venant nuire à la qualité de la prestation, mais surtout à la santé du patient. Pour atteindre un management durable optimal, il faut tout d’abord cerner ce qui cause, freine, accentue les risques médicaux, afin d’assurer des soins meilleurs pour le futur.
Or, comment la qualité des soins se retrouve-t-elle dégradée ? Avec le progrès de la médecine, la société rend moins acceptables les erreurs médicales. Mais contrairement à ce qu’on pourrait penser, les progrès médicaux n’assurent pas plus de qualité ni de sécurité. Au contraire, le nouvel équipement est parfois moins fiable, plus difficile à manipuler, même s’il est plus performant. Au-delà des machines, si l’erreur médicale existe, cela s’explique notamment par le fait que l’erreur est humaine et que les médecins, bien que dotés de fortes responsabilités, restent des êtres humains. Horaires décalés, conditions de travail stressantes, banalisation des gestes opératoires… sont autant de caractéristiques non exhaustives conduisant le médecin à manquer de vigilance. L’autre vice souvent dénoncé par le milieu hospitalier sont les restrictions budgétaires. Les politiques de santé contraignent les hôpitaux à limiter les postes, les services, et cela se traduit au quotidien par des problèmes de prise en charge. En définitive, soigner plus et mieux, avec moins. Du côté du management hospitalier durable, se cache la notion d’amélioration de la gestion des risques médicaux – ou comment apprendre de ses erreurs. Cependant, la gestion diffère selon les hôpitaux : les structures privées facilitent la prise de décision qui se fait directement entre le manager et son équipe, tandis que dans le secteur public, les hôpitaux doivent faire face à la lourdeur administrative. Les institutions de santé rencontrent alors des décalages importants entre la communication des mesures prises et leur mise en œuvre opérationnelle. Au final, comment faire pour minimiser et gérer les erreurs médicales ? D’abord, des réorganisations, des mutations de services sont étudiées et réalisées au regard de ces erreurs. Il y a une démarche constructive autour de l’accident qu’il n ‘y avait pas auparavant. Pourquoi il a eu lieu ? Comment l’éviter ? La Haute Autorité de Santé astreint les médecins à suivre une démarche d’évaluation des pratiques professionnelles. Ainsi, tout est désormais déclaré : résultats, accidents, fautes, erreurs… On impose des directives aux équipes médicales telles que tirer des conclusions après des réunions où sont débriefés et expliqués les erreurs afin qu’à l’avenir, leur nombre soit réduit. Ainsi, la naissance de nouveaux protocoles se trouve être la conséquence directe de l’analyse des problèmes rencontrés. La Haute Autorité de Santé s’assure alors que ces protocoles soient respectés par des contrôles fréquents d’inspecteurs pouvant retirer ou donner des accréditations à l’hôpital dans le cadre des démarches d’évaluation des pratiques professionnelles. Si un médecin est déclaré coupable d’une faute, celui-ci est sanctionné, il n’y a pas d’immunité comme peuvent le penser la plupart des gens. Le mythe des confréries de médecins se protégeant entre eux n’existe pas. Par ailleurs, lorsque l’on évoque le terme de responsabilité, il est important de savoir de quelle responsabilité il s’agit: la responsabilité pénale, source de sanction dôtée d’une fonction répressive, ou la responsabilité civile, source d’indemnisation.
En somme, les erreurs médicales amènent finalement à davantage de sécurité puisque celles-ci peuvent être dorénavant anticipées. L’expérience des accidents commis doit bénéficier au plus grand nombre et la qualité des soins peut donc augmenter et évoluer. Le management durable des risques médicaux s’inscrit dans une démarche de qualité et de sécurité pour le futur. Les structures de santé sont dans la constante amélioration des soins proposés et dans la perpétuelle recherche de gestion des erreurs médicales. Cependant, quelle forme prendra l’hôpital dans 50 ans ? Difficile encore d’imaginer tant il est dur de se projeter lorsqu’on sait que dans 50 ans, la médecine ne sera déjà plus la même.
Sources :
http://sante-medecine.commentcamarche.net/contents/180-responsabilite-du-medecin-et-faute-medicale-cnom http://www.smlc.asso.fr/fileadmin/user_upload/Enseignements/responsabilite.pdf http://junon.u-3mrs.fr/afa10w21/RePEc/cgm/wpaper/DR_34_0506_Boccara.pdf http://medidacte.timone.univ-mrs.fr/webcours/Comite-etudes/ItemsENC/sitelocal/disciplines/niveaudiscipline/niveaumodule/Item10/leconimprim.pdf
Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]
A développer lors de l'amphi de clôture - due date : cet exercice sera réalisé lors de l'amphi de clôture
En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et plus largement de la société ?
Amélie : Ce cours m’a permis de mieux comprendre les problèmes liés à l’avenir, comment les acteurs du business essaient de répondre, et trouver des solutions en termes de management, produits crées. Candice : Ce cours nous apprend à aborder le business non plus seulement sur le plan économique mais aussi sur le plan du développement durable. Lors de la recherche de problématique nous avons pu nous questionner sur la manière dont était mis en jeu le développement durable en fonction des secteurs d’activités et des différentes entreprises. Nous avons aussi pu nous questionner sur la manière dont ces enjeux sont connus par la société en général, ainsi que les besoins actuels et futurs de la société, auxquels répond le développement durable.
Serçil : Ce cours m’a permis de faire le lien entre le développement durable et le management qui n’était pas clair au début et de mieux comprendre l’importance des faits sociaux et environnementaux qui pèsent sur les entreprises ainsi que de la mise en pratique concrète des objectifs de développement durable.
Vi : Dans le cadre de ce projet de performance durable, nous avons pu constater à dans quelle mesure le développement durable pouvait être inscrit au sein d’une corporation, et quel enjeu, cela pouvait représenter en termes de management. Plus particulièrement à mon équipe, nous avons choisi de privilégier le pilier social du développement durable au sein du management d’une institution hospitalière. Au long de notre projet, nous avons assimilé ce qu’était réellement le « business », puis il était indéniable que tout dépendait en effet de la société, d’autant plus que nous traitions d’un des domaines majeurs de notre société actuelle, qui est celui de la santé.
Françoise : En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et plus largement de la société ? Ce cours a été important selon moi, car il traite des problèmes de l’avenir, tant sur l’aspect écologique que sociale. Ca m’a permis d’apprendre comment le développement durable interfère sur les décisions et stratégies de l’entreprise, et comment elle manage tout ceci.
Rima : Ce cours nous a permis d’appréhender le management en prenant en considération un enjeu majeur à savoir le développement durable, chose à laquelle on ne pense pas forcément lorsqu’on réfléchit sur une quelconque stratégie d’entreprise. Aussi, nous avons pu voir à travers les micros-trottoirs comment cette notion de développement durable( dans notre cas, la dimension sociale du développement durable) est perçue par la société.
Qu’avez-vous appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez-vous formuler les compétences acquises ?
Amélie : L’intitulé du cours étant « Sustainable Development », il était donc attendu d’en apprendre davantage sur le développement durable. Or, les compétences acquises ont davantage été celles liées à la façon de construire un reportage
Candice : Dans le cadre de ce cours, j’ai appris l’importance de respecter les différentes échéances dues pour les étapes d’un projet. Compétences acquises : - Recherche de problématique en rapport avec un sujet précis - Rédaction d’un « scénario » de reportage - Recherche d’un sujet à interviewer - Tournage d’un reportage - Montage d’un reportage - Bilan sur le reportage et réponse à la problématique de départ
Rima et Serçil : Compétences : Les différentes étapes de réalisation d’un reportage : - Les méthodes de tournage -Les méthodes de montage -Création d’un dossier de production -Création d’une page wikipédia et l’alimenter, slideshare et youtube (compétences informatiques) -Banque SKEM, (capacité à s’entraider à travers les échanges de compétences intra-groupes)
Vi : Ce cours était enrichissant, dans la mesure où il m’a a permis d’acquérir de nouvelles compétences et de développer des savoirs primaires. En effet, mes notions de « développement durable » et de « management » sont beaucoup plus poussées actuellement. Et contrairement à ce que j’avais pu penser au début de notre projet, les différents postes affectés à chaque élève a pu profiter à tous, et chaque membre du groupe s’est vu affecter de diverses missions. Du journaliste à la « jardinière », j’ai pu découvrir tous les aspects dans la réalisation d’un reportage, que ce soit dans la recherche d’information et dans la capacité de la synthétiser, la manière de démarcher les institutions, aborder les passants, que dans la manière de tourner un mini reportage (rédaction du scénario, le rôle de cameraman, réaliser un montage, etc.).
Françoise : Dans ce cours, il s’agissait plus de mener une enquête, de faire un reportage et de faire des recherches par soi-même. Ce que j’ai appris le plus, c’est donc à démarcher les établissements, faire un montage. Cela a permis de développer mon autonomie.
Comment avez-vous vécu cette première expérience d’apprentissage ? De qui avez-vous le plus appris ?
Amélie : J’ai trouvé cette nouvelle expérience fortement mal encadrée : dans le choix des problématiques, des secteurs d’activités à traiter… Il aurait fallu mieux orienter les groupes dans leur recherche en les accompagnant davantage.
Candice : Je pense avoir beaucoup appris de l’émulation du groupe lors de la recherche de problématique, via la confrontation de nos différentes recherches et points de vue. J’ai aussi trouvé très intéressant l’interview avec le chirurgien que nous avons interviewé, car il nous a appris beaucoup de choses sur la réalité du milieu hospitalier, que nous n’aurions pas pu apprendre autrement. Sa disponibilité nous a permis de dépasser le cadre de l’interview et de parler avec lui de sujets de société plus généraux afin d’avoir son point de vue. Pour ce qui concerne les professeurs, je ne suis pas entièrement satisfaite de l’apprentissage. Malgré leur grande disponibilité à notre égard, nous nous sommes vues refuser une problématique par notre professeur référant, alors qu’elle avait été validée auparavant par M Sempels. Cela nous a fait perdre beaucoup de temps sur les deadlines suivantes pour recadrer notre sujet au dernier moment.
Serçil : j'ai plus appris de l'interviewé avec sa réponse à notre problématique. Il a su nous montrer les impacts du developpement durable au sein même d'une structure hospitalière et faire la relation avec nos recherches au préalable et ses connaissances personnelles. Rima : Une méthode d’apprentissage différente de celles qu’on a pu avoir jusqu’à présente, qui a renforcé notre capacité à travailler en groupe, à s’entraider en mettant en avant nos compétences initiales et celles acquises dans le cadre du projet, afin de fournir un travail cohérent, et ce même si nous avions chacune un poste différent. -du médecin qui nous a apporté des réponses claires et complètes quant à notre problématique en faisant le lien entre le cadre social du développement durable et le management.
Vi : Cela peut paraître invraisemblable, mais cette nouvelle expérience d’apprentissage m’a surpris moi-même. S’adapter aux aléas, travailler dans l’urgence, trouver plusieurs alternatives étaient primordiaux. Mais au-delà de cela, alors même que j’appréhendais l’idée de réaliser un montage, j’ai été agréablement surprise puisque je ne me serais jamais crue capable d’en réaliser un. Durant ce travail, le travail en équipe était la clé essentielle du projet puisque nous étions partagées sur plusieurs terrains. Les qualités de chaque membre, que ce soit le sens du relationnel, ou organisationnel ont été bénéfiques. Par ailleurs, l’encadrement de nos professeurs nous a guidé dans le développement de notre projet, mais a évidemment été le moteur de nos recherches préliminaires. Néanmoins, je dirais que j’en ai le plus appris lors des interviews. Dans le cadre de notre sujet, j’étais étonnée de voir que nombreux de nos interviewés étaient touchés (directement ou indirectement) par des erreurs médicales. Notre principal interviewé, chirurgien cardiaque, nous a apporté plus de précision sur les enjeux du développement durable ainsi que le management d’une corporation hospitalière, et son point de vue personnel a été intéressant puisque nous avons pu voir de plus près, les soucis majeurs d’une telle profession, et les priorités d’un tel secteur aux regards de la société.
Françoise : Cette expérience a été à la fois bonne et mauvaise. Bonne pour l’originalité du cours et mauvaise pour le manque d’encadrement. J’ai le plus appris de l’interview et des recherches sur internet pour notre sujet.
A quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés ? Qu’est ce qui a été le plus utile pour vous ? Si faible utilisation, pourquoi ?
Amélie : Le wiki est une assez bonne plateforme puisqu’elle est remplie d’informations et de ressources. Je n’ai cependant utilisé qu’entre 25 et 50% de sa capacité dû au manque de faciliter de navigation sur le site. Candice : Je pense avoir bien utilisé les ressources mises à disposition sur le wiki, environ 80%. Nous nous sommes servis des liens pour chercher des pistes de sujet, et de toutes les données pour réaliser le reportage. J’ai trouvé toutes les informations pertinentes par rapport au travail à effectuer.
Serçil : Utilisation du wiki entre 50% et 75%. Toutes les réponses à nos questions techniques ont été résolu grace auw informations dans le wiki. Le plus utile a été les explications données pour l'ajout du slideshare et de l'interview. Rima : En tant que jardinière, les ressources disponibles sur le wiki m’ont été très utiles notamment au début quand il a fallu créer la page Wikipédia, mettre le groupe en ligne puis quand il a fallu télécharger la vidéo sur slideshare. Je dirais avoir utilisé les ressources de 50 à 75% .
Vi : Selon moi, les ressources du wiki et les liens associés ont été utiles à la hauteur de 70%. Nous étions encadrées grâce aux instructions et planning du wiki, et les liens nous ont permis d’approfondir nos recherches. Françoise : Entre 25 et 50%, on peut y trouver beaucoup d’informations. Je l’ai utilisé pour savoir comment réaliser un reportage. Cependant il est difficile de trouver les bonnes informations sur les bonnes pages.
Ce cours a-t-il eu une influence collaborative sur vos relations intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui-ci ? Quelle a été l’apport de la bourse de compétences ? Comment les compétences ont-elles circulé ?
Amélie : La banque skem a été un véritable échec selon moi. Certains groupes – par accord commun – peuvent s’échanger des skems sans véritable prêt de service derrière. Par ailleurs, je trouve inutile de soumettre ces échanges de skems à une quelconque notation.
Candice : Ce cours a eu une bonne influence sur les pratiques collaboratives intra groupe, mais aucunement sur les pratiques intergroupe. La bourse de skems n’était qu’une mascarade et les compétences proposées tout simplement virtuelles, échangées par des groupes mis d’accord pour faire des échanges de skems et gagner des points sur les pratiques collaboratives. Il est extrêmement difficile de se forcer à chercher des compétences à proposer qui soient pertinentes vis-à-vis du travail à effectuer. Surtout au vu du travail à accomplir pour le reportage… En ce qui concerne les contacts à proposer, même si nous en avions, je pense que prendre la responsabilité de proposer le contact d’un professionnel qui va devoir donner sans connaitre personnellement le groupe qui va le contacter et son sérieux est délicat voire impossible. Il en est de même pour le prêt de matériel.
Serçil : Nous avons réussi à vendre une compétence et à en acheter une. La Bank Skem est une structure très intéressante pour des groupes ayant peu de compétences ou ayant besoin de matériels par exemple.
Rima : Ce cours a consolidé nos relations intra-groupes dans le sens où chacune de nous a pu participé de près ou de loin à chaque étape de l’élaboration du reportage même si nous avions toutes un poste différent. Par ailleurs, les relations inter groupes n’ont pas été très vives. La bourse de compétence nous a plus fait perdre du temps qu’autre chose, car cette dernière n’a pas été exploitée par tous les groupes comme elle aurait du l’être.
Vi : Il est évident que ce cours a requis une collaboration générale au sein de notre groupe. Le travail en équipe, qui peut paraître simple aux premiers abords, a été plus compliqué. Travailler en groupe, c’est s’adapter aux différentes personnalités, être tolérant et à l’écoute, mais aussi être affecté d’une part de la responsabilité. Cependant, je suis moins enthousiaste au sujet des pratiques collaboratives inter groupes dans la mesure où le domaine d’échange étant restreint (échanges centrées uniquement sur les outils utiles à la réalisation du reportage), les compétences « proposées » étaient dans la plupart des cas similaires. En conséquence, les échanges étaient plus établis par défaut et de manière superficielle. Cela ne nous a pas énormément aidé.
Françoise : Il y a eu des problèmes sur la plate-forme de la banque skem et nous n’avons pas été alertées quand l’incident a été résolu, d’où la fable utilisation. Malheureusement il n’y avait aucune collaboration entre les groupes. Quasi pas d’échange.
Quelles sont vos critiques et suggestions d’amélioration pour ce cours ?
Amélie : Arrêter les cours inter-campus ; faire un amphi de cours sur le développement durable en entreprise ; être mieux orientés pour savoir si les décisions prises sont les bonnes ou pas.
Candice : Il faudrait supprimer l’idée des conférences inter campus, car les problèmes techniques peuvent toujours arrivé et le fait que ces conférences soient inter campus n’apporte rien au cours. Un intervenant par campus aurait été bien plus efficace et suffisant. Il en est de même pour le professeur. Avoir un professeur en amphi différent de notre professeur référent pose problème. La banque skems est impossible à gérer de manière honnête. Elle n’apporte pas de valeur ajoutée à l’apprentissage de la matière et ajoute une contrainte supplémentaire. Un cours théorique solide sur le management/développement durable aurait été nécessaire à consolider nos acquis, ou en préalable à notre recherche de sujet pour nous donner des pistes. Je pense aussi qu’il aurait fallût délimiter un certain nombre de domaines ou de secteurs pour limiter nos recherches de sujets, qui se sont avérées très complexes. Nous sommes dans une école de commerce, pas à science po ou dans une école d’informatique ou encore dans une école de caméraman. Je trouve injustifié que la note se porte sur la qualité de notre reportage et pas seulement sur son contenu, car nous n’avons pas tous les mêmes compétences ou les mêmes contacts disposés à nous aider. En conclusion je pense que la matière est intéressante mais que le format n’est pas encore abouti ni adapté à l’apprentissage recherché.
Serçil : débuter les cours de performance durable un peu plus tôt dans l'année. Cela nous permettrais de mieux gérer notre temps sachant que nous avons un projet pour chaque matières
Rima : Il faudrait à mon avis supprimer la bourse skem qui met vraiment des batons dans les roues de l’étudiant. Aussi, faudrait-il assurer un suivi pour chaque groupe car nous nous sentions parfois très mal encadrés surtout au début lors de l’élaboration de la problématique(qu’on a du reformuler 3 fois) qui est une étape très délicate.
Vi : Personnellement, je pense que la partie technique de la réalisation du reportage (démarcher, trouver un équipement, filmer, réaliser le montage) nous a pris plus de temps que le travail de compréhension et de recherches sur le développement durable d’une corporation, liée au management. Bien que cela était ludique, la réalisation d’un mini reportage a demandé beaucoup de temps, temps qui auraient été mieux utilisé à l’apprentissage d’un nouveau sujet. De même, la validation de notre problématique était longue, sans cela nous ne pouvions pas savoir si nous avancions « dans le droit chemin ». Enfin, je pense que la banque skems n’a pas abouti à de réels résultats ou améliorations.
Françoise : Pour ce cours, je propose que le début du tournage se fasse plus tôt. Les cours en live avec les autres campus devraient être stoppés, qu’on ait des intervenants à Paris aussi.
Votre feedback - Groupe 103[modifier | modifier le wikicode]
La problématique est intéressante. La qualité audiovisuelle de la vidéo n’est pas lepoint fort. L’investigation est bien menée avec le cas de deux entreprises proches par leurs activités. L’origine des amandes n’est pas évoquée alors que l’utilisation de pesticide aux US est connue comme un vrai problème écologique. Ces problèmes sont masqués par votre interlocuteur. Le point de vue d’autres parties prenantes aurait été sans doute un plus.