Comment la comptabilité environnementale inclut la notion de développement durable au sein des systèmes de gestion d'entreprises?

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Notre groupe[modifier | modifier le wikicode]

RÔLE DANS LE GROUPE
NOM DE L'ETUDIANT(E)
CONTACT
Le référant caméraman
Adrien Hochedez
adrien.hochedez@skema.edu
Le référant chargé de production
Pauline Bolzan
pauline.bolzan@skema.edu
Le référant journaliste
Elie Roukia
elie.roukia@skema.edu
Le référant post-production
Pauline Flamme
pauline.flamme@skema.edu
Le jardinier wiki
Pierre-Alexandre Leclercq
Pierrealexandre
Le banquier du groupe
Delphine Roch
delphine.roch@skema.edu

Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante : Comment la comptabilité environnementale inclut la notion de développement durable au sein des systèmes de gestion d'entreprises?

La comptabilité sociale et environnementale (social and environmental accounting en anglais) est une forme de comptabilité des entreprises visant à prendre en compte leur comportement en matière environnementale et sociale. L'intérêt pour celle-ci s'est développé avec la mondialisation et l'importance accrue des multinationales, délocalisant une partie de leur production vers des pays parfois dotés d'un système juridique peu efficace de protection des droits de l'homme et de l’environnement. Dans le cadre de ce projet notre équipe se focalisera sur la notion de comptabilité environnementale et ses enjeux.

Le fait de prendre en compte des critères autres que financiers dans l'établissement des documents comptable vise principalement à améliorer l'image de marque de l'entreprise, tant à des fins commerciales que politiques mais l’intérêt réel de ce processus est de mesurer l’impact environnemental lié à l’activité de l’entreprise. Il s'agit donc d'une forme de relations publiques, intégrée afin de répondre aux attentes de consommateurs et d'actionnaires soucieux des modes de production employés dans la confection des produits ou des services achetés.

À la différence de la comptabilité actuelle, dite financière, qui vise à conserver le capital créé par l’homme, la comptabilité environnementale devrait permettre de préserver le capital humain et le capital naturel.

Problématique-groupe35.png

Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

Version Word

Voici les versions Word et PowerPoint de notre dossier de production sous forme de SlidesShare.

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]

Description de la vidéo :

Étudiants à l'école de commerce SKEMA Business School, nous vous proposons ce court document sur une notion peu connue : la Comptabilité Environnementale.

Ce projet a été réalisé dans le cadre du cours de Performance Durable en association avec Movilab. Soucieux de vous proposer un contenu dynamique et original, nous avons créé le personnage fictif de Jack Power qui mène l'enquête au sujet de la Comptabilité Environnementale.

Peu de pistes étant exploitables via les outils de recherche classiques (internet, documentations), notre reportage se base essentiellement sur des témoignages et des interviews (la durée maximum autorisée de la vidéo étant de 7 minutes).

Si vous "n'aimez pas" notre vidéo, merci d'en préciser la raison dans les commentaires.

Nous tenons à remercier chaleureusement

  • Monsieur FLAMME, Président Directeur Général de Flamme Environnement,
  • Le professeur d'université auprès de qui nous avons recueilli les propos.

Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

Dans Terre des Hommes (1939), Antoine de Saint-Exupéry cite le proverbe africain « Nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants ». Ce proverbe prend tout son sens aujourd’hui, alors que la conscience écologique est en plein essor.

En effet, la société actuelle prend conscience de la rareté et du caractère non renouvelable des ressources que nous exploitons. Plus que ça, elle prend également conscience des conséquences désastreuses de ses activités sur l’écosystème, principalement en raison de l’industrialisation. La dégradation progressive (et bien souvent irréversible) de notre environnement est due à l’activité humaine : surexploitation des hydrocarbures, des ressources du sous-sol, des ressources agricoles, déforestation massive, etc.

Au-delà des traités internationaux, des lois, et des autres textes institutionnels qui visent à réduire l’empreinte de nos activités sur la planète, (à échelle internationale mais également nationale), le domaine de la recherche est une force pour trouver des solutions qui permettent aux professionnels d’apporter leur contribution à cette cause.

Face à cette crise écologique, des solutions alternatives sont développées pour tenter de réduire les dégradations environnementales: développement de technologies éco-responsables (biocarburants, ampoules à économie d’énergie), développement de processus de « nettoyage » (tri, recyclage, chasse des décharges sauvages, traitement des eaux usées), développement de solutions de transports en commun (réseaux bus, métro, tram – pour éviter que tout le monde ne prenne sa voiture), développement des mentalités « eco-friendly » (préférer la douche au bain, éteindre la lumière en sortant d’une pièce, couper le chauffage la nuit ou la journée, charte des comportements écolo en entreprise). Mais également aux niveau des entreprises: innovations managériales, système de gestion innovant, et prise en compte de l’impact environnemental du développement industriel et/ou commercial.


C’est dans cette optique qu’est née la comptabilité environnementale.

La comptabilité environnementale est donc un « système qui permet de répertorier, organiser, gérer et fournir des données et des informations sur l’environnement, par l’intermédiaire d’indicateurs physiques ou monétaires » (1).

C’est au début des années 1970 que la comptabilité environnementale apparaît. Elle s’est développée parallèlement à la mondialisation qui s’est accompagnée d’une croissance significative des multinationales qui n’ont pas hésité à délocaliser tout ou partie de leur production vers des pays où la protection des Droits de l’Homme est parfois peu respectée (2). L’objectif de cet outil est de faire adopter aux entreprises un comportement responsable tant sur le plan social qu’environnemental. Jusqu’alors, la comptabilité n’intégrait pas les relations qu’entretenait l’entreprise avec son environnement (dans sa globalité). Elle ne tient pas compte de ses externalités, des coûts économiques, sociaux, et environnementaux qui résultent des décisions prises par l’entreprise. Pourtant, dans une réflexion quant au développement durable, il serait tout à fait pertinent d’intégrer ces externalités à la fois dans les comptes mais également au sein des systèmes de gestion d’entreprises. La comptabilité environnementale permet d’intégrer ces différentes dimensions et de ce fait permet aux entreprises la mesure de l’impact de leur activité afin de développer de nouvelles méthodes de gestion/de management éco-responsable.

Dans cette lignée, l’Organisation Internationale de Normalisation, ou ISO (International Organisation for Standardisation) a rédigé en 1996 la norme ISO 14001. Celle-ci pose les exigences que requièrent un Système de Management Environnemental (SME). Cette norme concerne les aspects environnementaux que l’entreprise est en mesure de maîtriser et qu’elle devrait être capable d’influencer. L’objectif recherché est d’améliorer en continu la performance environnementale des entreprises en maîtrisant les impacts liés à leur activité. Cette norme répond à 4 engagements de la parts de l’entreprise : prévoir, faire, prouver et contrôler, corriger et réagir. La norme ISO 14001 attend de l’entreprise qu’elle s’engage à réduire ses externalités négatives et à s’inscrire dans une démarche d’amélioration continue. L’entreprise devra également répondre à des exigences de prévention des situations d’urgence et de capacité à réagir face à celles-ci, mais aussi de communication, à la fois interne et externe, à l’intention des parties concernées (3).


Il est donc du devoir de l’entreprise de répondre aux besoins d’information de ses tiers. Les actionnaires veulent s’assurer de sa rentabilité, les prêteurs et les fournisseurs de sa solvabilité, les clients de sa pérennité, les salariés de sa pérennité ainsi que de sa solvabilité, et l’Etat de sa pérennité et de son implication sociétale. Suite à plusieurs catastrophes environnementales (Tchernobyl, Erika, Fukushima, etc.) qui ont conduit à d’irréversibles dégradations, la conscience écologique de la population mondiale, mais plus particulièrement celle des entreprises, s’est développée. En effet celles-ci ont de lourdes responsabilités dans ces catastrophes, et au-delà des informations financières, leurs parties prenantes souhaitent également disposer des informations environnementales inhérentes à l’activité exercée. Les rapports environnementaux produits par l’entreprise décrivent alors les actions environnementales qu’elle mène, à l’aide d’indicateurs dits d’ « éco-efficience ».

Pour aller plus loin, on s’aperçoit également que la comptabilité environnementale est en corrélation avec principe d’économie circulaire. Le principe d’économie circulaire s’inscrit également dans le cadre du développement durable mais l’objectif ici est la production de biens et services tout en veillant à limiter considérablement la consommation et le gaspillage, à la fois des matières premières et des énergies non renouvelables. Force est de constater qu’une entreprise qui décide d’intégrer ces deux principes n’aura pas ou très peu de retombées environnementales: en effet, la performance, les finances, la productivité, et la qualité de vie au travail des employés s’en trouveront inexorablement impactée de façon positive.


Pour conclure, aujourd’hui plus que jamais, il est important que tout un chacun prenne ses responsabilités envers l’environnement. Le temps de la surexploitation irréfléchie des ressources, et de la production à tout prix (au détriment de l’environnement et des écosystèmes) est révolu. La comptabilité environnementale apparaît donc comme l’un des premiers pas vers l’exploitation responsable des entreprises.

(1) Rapport du Projet de recommandation Comptabilité environnementale en tant qu’instrument pour le développement durable de la Commission de l’environnement, de l’agriculture et des questions territoriales, de Juin 2002

(2) Comptabilité Sociale et Environnementale

(3) La norme ISO 14001

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

1) En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et plus largement de la société ?

Pauline.B : Ce cours m’a permis de comprendre qu’il n’était pas si facile, dans le cas de notre thème d’allier business et développement durable, même si cette notion est dans l’air du temps, elle n’est pas toujours présente dans l’envergure ou nous pourrions l’attendre.

Elie : Je pense que les professionnels que nous avons rencontrés nous ont bien montré la réalité du monde du business. On nous a aussi appris que ce que nous étudions en théorie n’est pas souvent démontré en pratique.

Delphine : Il nous permet de mettre en lien le développement durable et le business en général, ce qu’on ne fait pas habituellement. Car ce sont deux choses qui, au premier abord, paraissent opposées.

Adrien : Ce cours m'a ouvert les yeux sur la multitude de variables a prendre en compte dans le processus d'une prestation de service et sur les normes et valeurs imposées par notre société.

Pierre-Alexandre : Ce cours m’a permis de prendre en compte tous les liens qui peuvent intervenir entre différentes disciplines. La société est finalement organisé autour de liens que forment différents travailleurs et leurs compétences respectives, et quand elles sont liées, elles en créent de nouvelles.

Pauline.F : Le professionnel que nous avons rencontré nous a présenté son entreprise en nous en expliquant les enjeux et les rouages. Une visite guidée assez complète qui nous a permis d’avoir une vue d’ensemble sur le fonctionnement d’une entreprise. Par ailleurs, en répondant à nos questions lors de l’interview, nous avons appris beaucoup de choses au travers d’exemples concrets d’application de la comptabilité environnementale.


2) Qu’avez vous les plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez vous formuler les compétences acquises ?

Bolzan : Il est très difficile, en peu de temps de trouver une idée solide, et de construire un projet, il faut beaucoup de réactivité pour ne pas être surpris par les événements. Au delà les compétences acquises sont plus des connaissances apprises grâce à notre rapport avec les professionnels, professeurs, et chercheurs.

Elie : L’autonomie a été la compétence première qui nous a été demandé. Je pense que c’est une bonne façon de procéder à l’apprentissage, puisque on a l’impression d’y avoir mis une valeur ajoutée.

Delphine : Dans le cadre de ce cours, nous avons pu apprendre à travailler en groupe, en à réfléchir sur un projet commun, de trouver les bonnes personnes à interroger afin de répondre au mieux à notre problématique, à développer notre esprit de synthèse, et à effectuer des montages vidéos.

Adrien : Dans le cadre de ce cours j'ai acquis, outre les compétences en montage vidéo, la connaissance sur les multiples facettes du développement durable, celles déjà explorées, mais celle en cours d'exploration.

Pierre-Alexandre : Mon sens du travail en équipe s'est considérablement accru, ainsi que ma notion de gestion des délais.

Pauline.F : Dans le cadre de ce cours, nous avons appris ce qu’était la comptabilité environnementale, une notion dont nous avions déjà entendu parler mais sans vraiment la connaître. Les rencontres avec le professeur et le professionnel nous ont permis de connaître ce dont il s’agissait et comment cela se traduisait en pratique dans une entreprise. Au-delà de ça, nous avons appris à tourner un reportage en le préparant, le tournant, et le montant.


3) Comment avez-vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De qui avez vous le plus appris (de vos pairs ? de l’interviewé ? de vos profs ?...)

Bolzan: Cette nouvelle expérience étant totalement insolite était très intéressante, j’ai appris beaucoup de chaque intervenant, mes camarades ont été plus qu’impliqué dans le travail ce qui a permis d’établir un véritable projet de qualité. Les interviewés se sont montré très intéressés par notre sujet et très compétent. En dernier lieu, nos profs et plus particulièrement notre prof référent a été de très bon conseil pour nous orienter par exemple lorsqu’il a par exemple s’agit de notre problématique où il a été plus que réactif.

Elie : C’est une différente façon de procéder avec ses avantages et ses inconvénients. On nous a quand même donné quelques pistes et cela nous a bien servie. J’ai beaucoup appris de mes camarades.

Delphine : Cette nouvelle expérience d’apprentissage était très intéressante car c’était une organisation de travail différente de nos cours habituels. Cela m’a beaucoup plu. J’ai énormément appris par les connaissances théoriques données en amphi, et ensuite dans le pratique sur le terrain en allant interviewer les professionnels. Le dernier point qui a été très enrichissant est la réalisation d’un travail de groupe. En effet travailler avec des camarades de classe n’est pas toujours évident mais cela nous permet de nous entrainer pour notre vie professionnelle future.

Adrien : Cette expérience fut un véritable apprentissage, boitement suite a l'interview de notre chef d'entreprise.

Pierre-Alexandre : Les travaux de groupes sont enrichissant au sens où ils permettent de réunir beaucoup d'idées, parfois contradictoires mais dont le résultat est à la hauteur de nos attentes. Je crois avoir beaucoup appris de mes camarades mais également des autres groupes avec lesquels nous pouvions échanger sur nos difficultés respectives.

Pauline.F : Cette expérience, bien que très chronophage, s’est avérée très intéressante et ludique comparé aux formats de cours plus classiques auxquels nous sommes habitués. N’ayant eu que peu d’échanges directs avec les professeurs, la plateforme ainsi que nos échanges avec les interviewés nous ont permis d’apprendre beaucoup.


4) A quel pourcentage estimez- vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés (inférieur à 25% ; entre 25 et 50% ; entre 50 et 75%, au delà de 75%) Qu’est-ce qui a été le plus utile pour vous ? Si faible utilisation, pourquoi ?

Bolzan: A mon échelle j’ai peu utilisé le wiki, car il me semblait assez difficile d’accès, et n’étant pas très à même de me débrouiller avec un tel outils. Je pense que cette faible utilisation était due au fait que notre jardinier se débrouillait très bien avec cet outil et nous faisait parvenir très bien toutes les informations pour que nous puissions avancer sur le projet. Elie : Je pense avoir utilisé les ressources du wiki entre 50 et 75%. Cela nous a été très utile, surtout les différentes directive et procédés pour mener à bien le tournage de la vidéo.

Elie : Je pense avoir utilisé les ressources du wiki entre 50 et 75%. Cela nous a été très utile, surtout les différentes directive et procédés pour mener à bien le tournage de la vidéo.

Delphine : Je pense avoir eu une utilisation des ressources du wiki entre 25 et 50%. En effet, le jardinier de notre groupe était celui qui avait le plus de connaissances avec cet outil et qui nous transmettait toutes les informations nécessaires.

Adrien : Utilisation a 75% : les liens utiles et les différentes applications du développement durable.

Pierre-Alexandre : Je pense avoir utilisé le wiki autour des 90% étant donné mon rôle de jardiner, c’était indispensable. Les ressources m'ont beaucoup aidé pour mettre en ligne les principaux travaux du groupe.

Pauline.F : Entre 50 et 75% : la plupart ont été utiles mais il est parfois difficile de trouver précisément ce que l’on cherche sur le wiki, et la masse d’information qui s’y trouve est tellement importante qu’il n’est pas facile de tout lire. D’autant que tout n’est pas forcément utile selon le rôle que l’on a adopté au cours de cette expérience, bien que toujours intéressant.


5) Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui ? Quel a été l’apport de la bourse de compétences ? Comment les compétences ont-elles circulé ?

Bolzan : Grâce à l’échange de skem, nous avons pu rencontrer de façon différente d’autres équipes ce qui était très intéressant, cet échange était plus motivant car même si les skems étaient de l’argent fictif cela donnait envie de s’en servir comme de notre propre argent réel. Ainsi nous étions plus apte à échanger un service, contre une contrepartie financière, et nous savions qu’il était alors plus facile d’obtenir un service de la part de nos camarades grâce à cette pression financière.

Elie : Il est clair que ce cours a eu une très grande influence dans notre capacité à collaborer avec les autres et même entre nous. La bourse de compétence nous a bien aidé pour réussir au mieux le tournage de notre vidéo. Je pense que ce qui a le plus circulé était du matériel de tournage et les compétences pour bien tourner.

Delphine : L’interaction avec différents groupes de travail a rajouté une difficulté à ce projet mais c’était d’autant plus enrichissant. En effet, grâce à la banque de skem, nous avons pu échanger nos compétences, nos connaissances etc. C’était motivant de savoir que l’on pouvait acquérir des choses de la part d’autres groupes de travail. Ça nous permettait également de nous ouvrir socialement et de découvrir de nouvelles personnes de l’école que nous ne connaissions pas.

Adrien : Ce cours a en effet apporté un point positif en terme de pratiques collaborative. La bourse de compétences et les compétences en elles-mêmes ont notamment circulées entre des groupes où nous connaissions les membres.

Pierre-Alexandre : Ce projet est un révélateur de compétences et également de compétences liées : seul, nous sommes parfois incapable de répondre au travail demandé. Les compétences de chacun ont été mises en avant naturellement par le biais de nos différentes missions. De plus, ce cours m'a permis de voir plus loin dans la stratégie de travail en voyant toutes les externalités positives qui peuvent ressortir du travail inter groupes.

Pauline.F : Dans le cadre de ce projet, les pratiques collaborative intra groupe n’a pas été majeur puisque nous avons l’habitude dans le cadre de la formation de faire des travaux de groupes et nous y sommes donc relativement rôdés. En revanche ce fut la première fois que la collaboration inter groupes a été sollicité et cette expérience s’est avérée intéressante bien que pas toujours nécessaire. La bourse de compétences quant à elle, bien que l’objectif ait été tout à fait le contraire, s’est avérée être une réelle contrainte puisque nous n’avons pas l’habitude d’utiliser cet outil et que les réseaux sociaux que nous utilisons quotidiennement (comme Facebook) nous permettaient d’avoir accès à ces compétences de façon beaucoup plus rapide et directe.

Liens Utiles[modifier | modifier le wikicode]

Page de l'emploi du temps du cours de Développement Durable

Page de la liste des groupes de Développement Durable

Page de la Skem Banque (monnaie virtuelle du jeu)

Feedback final du professeur[modifier | modifier le wikicode]

Point d’entrée de votre vidéo super original, bravo !
J’ai trouvé par contre le démarrage un peu long. Sur 7 min, pratiquement 1min30 sont consacrées à l’intro. Cela laisse peu de temps pour le fond du sujet.
Le fond est malheureusement relativement pauvre et « lourd » à aborder. Autant votre démarrage est vivant autant le traitement du fond est classique et peu vivant. La définition est peu claire, peu structurée et le jeu du professeur d’université assez peu crédible. Votre exemple sur les eaux de process arrive de manière inattendue. On se demande ce qui la lie à ce qui précède. Du coup, on sent que vos choix de montage créent un fil peu clair. Par ailleurs, la comptabilité renvoie à une question clé : comment valoriser sur un plan monétaire les externalités ? Or vous faites complétement l’impasse sur cette question. Dommage.
Votre article wiki ne nous en dit pas véritablement davantage, sauf peut-être sur la définition de la comptabilité environnementale. Vous faites des raccourcis ou des imprécisions (p.ex. la comptabilité environnementale est en corrélation avec l’économie circulaire… cela ne veut rien dire)
A la sortie, je ne suis pas certain que quelqu’un qui n’y connait rien en comptabilité environnementale aura vraiment compris de quoi il s’agit.




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