Un projet d'éco-quartier tel que « l'Union » peut-il aboutir en dépit des contraintes et des intérêts divergents des parties prenantes?

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Le groupe 98[modifier | modifier le wikicode]

ROLE DANS LE GROUPE
NOM DE L'ETUDIANT(E)
PORTABLE (non obligatoire)
Le référant caméraman
Jordan MANOUKIAN
jordan.manoukian@skema.edu
Le référant chargé de production
Alexandre AUGST
alexandre.augst@skema.edu
Le référant journaliste
Leo PILLEMONT
leo.pillemont@skema.edu
Le référant post-production
Louise LE BOLAY
louise.lebolay@skema.edu
Le jardinier wiki
Emeline GOUJON
Egoujon emeline.goujon@skema.edu
Le banquier du groupe
Sami BOURDIER
sami.bourdier@skema.edu

Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :
Un projet d'éco-quartier tel que « l'Union » peut-il aboutir en dépit des contraintes et des intérêts divergents des parties prenantes?

Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

Pour réaliser un reportage audiovisuel, il est primordial de respecter une démarche et une méthodologie. Le dossier de production permet d’organiser les différentes étapes à respecter pour réaliser un reportage. Il permet aussi de réunir tous les documents nécessaires à la réalisation de celui-ci.

Pour cela, vous trouvez ci-dessous le dossier de production du groupe 98 sur le sujet suivant: La gestion de projet d’un éco-quartier


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Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]

Vous trouverez ci-dessous notre vidéo:

Nous tenons à remercier chaleureusement:

Astrid SCHARLY - Vice présidente de Lille Métropole, déléguée au développement durable et pilote de la gouvernance sur le site de l'Union

Agnès CRUCÉ - Directrice du projet

Claire Schorter- Urbaniste en chef

Hamza EL KOSTITI - Collectif de l'Union


Et également à :

Christophe SEMPELS

Dominque VIAN

Marion PETIT

Anne-Laure LACOMBES

Dominig BOURBAO

Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

Un projet d'éco-quartier tel que « l'Union » peut-il aboutir en dépit des contraintes et des intérêts divergents des parties prenantes ?

La problématique posée ci-dessus dans le cadre de ce projet nous a amené à analyser tous les acteurs d’une telle entreprise afin de définir si oui ou non, des éco-quartiers ambitieux comme l’Union, pouvaient voir le jour malgré les motivations et les objectifs différents de chacun. Ce sujet nous a paru important car les éco-quartiers peuvent être une réponse forte face aux enjeux écologiques mais également de logement d’aujourd’hui. Il était alors intéressant de pouvoir jauger la faisabilité de ce type de réalisation. La rencontre des différents acteurs du projet a permis de mettre en lumière les défis et les challenges rencontrés ; comme la coordination nécessaire entre les 3 mairies de Roubaix, Tourcoing et Wattrelos par exemple ou encore comment opérer l’implantation d’une entreprise.

Comme nous avons pu le constater toutes au long de nos recherches, le projet de l’Union s’est articulé autour de 5 acteurs majeurs : la Communauté urbaine de Lille, l’aménageur du projet et les 3 villes que sont Roubaix, Tourcoing et Wattrelos. Chaque partie a ainsi du constamment travailler avec les quatre autres, et la question de la gouvernance s’est très vite posée comme a pu nous le confier Astrid Scharly, la vice-présidente de Lille métropole. Un important travail d’écoute et de participation s’est alors mis en place sous l’impulsion d’Agnès Crucé, directrice du projet. Différentes instances ont ainsi régi la vie du projet :

- Un comité de pilotage, qui orchestre la mise en œuvre

- Un comité consultatif, mis en place par l’aménageur

- Des groupes de travail composés d’habitants et de techniciens

Le tout supporté une fois par an par des assises de l’Union ; un moment fort d'échange entre les différents acteurs du projet : aménageur, élus, promoteurs, urbanistes, habitants, entrepreneurs... Cet événement convivial et ouvert à tous, permet chaque année de faire le point sur l'avancée du projet mais c’est surtout la volonté de chacun de réaliser ce projet pionnier et important pour le futur qui a permis à l’Union d’avancer sur la base du dialogue et des concertations multilatérales.

Nous avons aussi découvert tout au long de notre reportage des problématiques insoupçonnées, ou dont nous avions minimisé l’importance. Ainsi, les entreprises souhaitant s’installer au sein de l’Union ont ajouté une contrainte managériale en obligeant les instances à prendre en compte des installations spéciales ainsi que les ambitions futurs de chacun. Claire Schorter, urbaniste en chef du projet, nous avouait par exemple que l’implantation de Kipsta et ses propres envies d’aménagement ont ajouté des obstacles qui n’étaient pas prévues. La gestion des habitants déjà présents sur place et des petits commerces fut là aussi un véritable problème. Problème encore d’actualité. Il a fallu réaménager la plupart du territoire et de nombreux individus se sont regroupés en association afin d’avoir eux aussi leur mot à dire. Hamza El Kostiti, membre du collectif de l’Union, nous a mis en garde vis-à-vis de la réalisation d’un quartier enclavé dans un environnement plus modeste. Il a fallu pour le comité de pilotage et les différentes instances prendre en compte ce facteur et tenter d’intégrer la culture locale du territoire mais aussi environnante au projet.

Enfin, nous nous sommes également rendu compte que le projet de l’Union peinait à trouver ses futurs habitants pour de multiples raisons (comme par exemple l’emplacement géographique) ce qui engendre qu’aujourd’hui de nombreux logements n’arrivent pas à trouver preneurs. A la fin de notre reportage, de nouvelles questions sont ainsi apparues. Comment attirer de nouveaux habitants dans des éco-quartiers tel que l’Union? Comment réussir à créer une mixité sociale entre les habitants ? Comment créer une complicité entre les habitants et les entreprises sur le même territoire ? La question du management interne à l’éco-quartier se pose alors. Ces interrogations sont vitales car si la multiplication de projets comme l’Union nous parait nécessaire pour le futur, encore faut-il que ces projets soient des réussites dans leur fonctionnement, et non pas uniquement dans leur réalisation.

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

1) En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et en plus largement de la société ?

Alexandre Augst :Texte italique Ce cours nous a permis d’observer les nombreux enjeux, plus importants les uns que les autres, que génère l’articulation entre management et développement durable. Nombreux enjeux qui doivent être relevés mais qui provoquent de multiples problèmes. Nous avons ainsi vu la difficulté qu’ont les entreprises/organismes/associations (…) a intégré le développement durable dans leurs stratégies. De l’autre côté, nous avons pu voir que la population n’est pas, ou très peu, renseignée sur les enjeux décisifs que pose le développement durable. Preuve en est, notre sujet portait sur un éco-quartier situé à proximité de Lille mais très peu de personnes connaissent son existence et son intérêt. Il est donc indispensable de mettre en avant cette économie durable qui va falloir adopter dans nos modes de vie très rapidement.

Sami Bourdier :Texte italique Ce cours permet de se rendre compte à quel point chaque paramètre d’un projet compte, et que la gestion des enjeux de chaque facteurs est la clé de la réussite durable.

Emeline Goujon :Texte italique Je pourrais aborder ici d’une manière plus particulière le sujet que nous avons décidé de traité « la gestion d’un éco quartier » « managérial ». En effet, je n’avais jamais eu l’opportunité de travailler ou bien même de découvrir le secteur de l’écoconstruction. J’ai pu nous rendre compte que des problèmes managériaux importants mais aussi de conflit d’intérêt sont apparus et perdure dans ce projet d’éco construction. J’ai alors pris conscience que ce problème (déjà rencontre lors de mes précédentes expériences professionnel) revenait au sein de plusieurs entreprises, structures ou projet de plusieurs secteurs différents. Je pense que l’aspect « développement durable » ajouté à l’ampleur de ce projet ambitieux ne facilite pas les relations et les prises de décisions. Pour l’élaboration d’un éco quartier, le plus difficile reste bien entendu de concilier les avis et les intérêts divergents de chacun tout en ne déviant pas de l’esprit principal du projet : en faire un lieu de vie agréable pour tous basé sur des principes écologiques et économiques forts. Je pense néanmoins, que dans une société de consommation et d’urbanisation intense, il est encore possible de créer des espaces socialement et économiquement responsables tout en prenant en compte l’avis des différentes parties prenantes.

Louise Le Bolay :Texte italique La notion de développement durable est compliquée à cerner, et regroupe un très grand nombre d’approches et d’interprétations. Si les débats autour de ce sujet sont nombreux il est difficile d’appréhender son application concrète dans la société actuelle et plus précisément dans le monde du travail et des entreprises. Construire une problématique concrète permet, dès les premières étapes du projet, d’appliquer le développement durable une situation réelle et d’en découvrir sa complexité. Après avoir effectué des recherches sur le terrain ainsi qu’auprès des personnes compétentes sur le sujet de notre problématique, nous avons pu nous rendre compte que le développement durable est au cœur de nombreux projets. Les entreprises s’emploient à le mettre le développement durable au cœur de leur développement économique restent marginal et novatrices. Ce cours nous a montré une très grande disponibilité et transparence de la part des personnes investies dans ces projets, ce qui traduit une différence de mentalité profonde. Le développement durable.

Jordan Manoukian :Texte italique Ils nous permettent d’aller sur le terrain et d’analyser comment travaillent les parties concernées ; d’avoir des réponses plus précise aux problématiques durables futures. Et entre autre de travailler en équipe et de divisés les taches par groupe de travail. Ce cours est donc très intuitif avec de très bons outils (wiki, skem banks) qui permettent aux individus d’apprendre d’une manière ludique.

Léo Pillemont :Texte italique Ce cours m’a permis de comprendre les enjeux que pouvaient soulevés des problématiques de business (ici sur le thème du développement durable). Les nombreuses interviews et toutes les recherchent que notre enquête a nécessité en sont les principales raisons.


2) Qu’avez-vous le plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez-vous formuler les compétences acquises ?

Alexandre Augst :Texte italique Dans le cadre de ce cours, j’ai découvert les différentes techniques de réalisation d’un reportage audiovisuel. Ayant par le passé effectué beaucoup de travail de groupe, je ne pense pas avoir appris beaucoup de nouvelles choses mais j’ai pu en améliorer certaines compétences comme le travail d’équipe, la gestion d’un projet, l’écoute, etc…

Sami Bourdier :Texte italique J’ai compris comment mettre en place une problématique en s’appuyant sur un cas concret. J’ai également appris sur la technique vidéo et son. Et sur le relationnel avec les professionnels interviewés

Emeline Goujon :Texte italique Même si dans le cadre de mes études antérieures, j’avais déjà eu l’opportunité de réaliser de nombreux travaux de groupe, l’expérience était ici différente. En effet, j’ai dû m’habituer à travailler avec des personnes qui, pour certaines, n’avait jamais eu l’occasion de travailler en groupe. J’ai ainsi dû m’habituer à leur capacité mais également manière de travailler. Savoir écouter les idées mais également respecter les points de vue des autres n’est pas chose facile et plus particulièrement pour moi. J’ai parfois tendance à vouloir prendre le monopole ce qui n’est bien évidemment pas la bonne méthode. Ce travail collectif m’a appris à déléguer mais aussi prendre en considération les opinions et envie de chacun. Je peux aujourd’hui dire que le rendu de ce travail collectif fut au-delà de mes espérances ! Louise Le Bolay : Des notions techniques telles que le montage et la réalisation. Ayant été en charge du montage final et du choix des prises finales, le respect d’un cahier des charges très précis a été un challenge, notamment le respect des 7 minutes. La recherche d’une bande son libre de droit ou trouver un lieu pour le tournage ont été des obstacles durant le projet.

Jordan Manoukian :Texte italique -De travailler en équipe - Le montage d’un court métrage - L’entraide entre groupe et au sein d’une même faction. -Le partage de connaissance -L’accomplissement et l’aboutissement d’un projet (début a la fin) Léo Pillemont : Ce cours m’a permis de développer mes compétences en terme de recherche, de prospection et surtout mes capacités à me coordonner avec une équipe. J’ai su mieux gérer les contraintes de temps et j’ai pu développer mes capacités rédactionnelles.


3) Comment avez-vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De qui avez-vous le plus appris (de vos pairs ? De l’interviewé ? De vos profs ? …)

Alexandre Augst :Texte italiqueLe format de cet apprentissage est très intéressant et a été apprécié par tous, notamment par les interviewés. Ce type de cours nous permet de réellement nous impliquer dans un projet concret et de nous intéresser à un domaine parfois oublié. Sami Bourdier : Cette expérience était très enrichissante car elle a permis de se retrouver dans une situation presque professionnelle, et très valorisante car le projet est construit de A à Z, nous sommes les seuls responsables. J’ai appris le plus des personnes interviewées d’un point de vu théorique. Et de mes pairs pour ce qui est technique son et vidéo.

Emeline Goujon :Texte italique Cette expérience fut pour moi dans l’ensemble enrichissante. En effet, la méthode utilisée pour ce cours (la réalisation d’une vidéo et non pas des cours classiques) était assez nouvelles pour moi. En effet, au cours de ma scolarité, j’ai eu l’occasion de participer à plusieurs modules sur le développement durable, dispensés lors d’amphithéâtre. Les travaux finaux à restituer se présentaient sous une autre forme : des présentations orales agrémentés d’interviews. Les interviews n’était donc pour moi pas une découverte, cependant l’aspect « montage vidéo » l’était. En cela, je pense que la méthode d’apprentissage est assez novatrice : apprendre par sois même en allant collecter l’information

Louise Le Bolay :Texte italique Ce type de projet est très enrichissant et l’approche innovante. J’ai apprécié travailler sur un projet avec une approche différente. La cohésion et l’investissement de tous les membres de l’équipe nous ont permis de faire évoluer le projet comme nous le souhaitions. Les différentes rencontres avec les professionnels en charge du projet de L’Union m’ont appris autant sur l’Union, le projet d’éco-quartier, que sur l’organisation d’un projet durable en général.

Jordan Manoukian :Texte italique Très enrichissant, beaucoup mieux qu’un cours magistral (ennuyant). En effet les acteurs de cette nouvelle expérience nous ont laissés beaucoup d’autonomie ce qui rends le cours intéressant car c’est une preuve de confiance. La naissance d’un leader pour le groupe et primordial et se fait automatiquement, chacun a une tâche a remplir et le rendu est en générale plus personnel et appréciable qu’un travail imposé. On apprends tout au long du travail, des interviewés évidemment ( de part les réponses pertinentes qu’on attends d’eux ; et des profs qui ont su nous mettre dans la bonne voie avec des explications très claires sur la manière de dirigé nos travaux.

Léo Pillemont :Texte italiqueJ’ai trouvé cette expérience très enrichissante car extrêmement original de par son concept et son univers. C’est une nouvelle méthode pour travailler qui se repose sur une démarche plus pédagogique. J’ai le plus appris de mes pairs, car chacun a su apporté des compétences qui leurs étaient propre et c’était enrichissant pour tout le monde. Très enrichissant, beaucoup mieux qu’un cours magistral (ennuyant). En effet les acteurs de cette nouvelle expérience nous ont laissés beaucoup d’autonomie ce qui rends le cours intéressant car c’est une preuve de confiance. La naissance d’un leader pour le groupe et primordial et se fait automatiquement, chacun a une tâche à remplir et le rendu est en générale plus personnel et appréciable qu’un travail imposé. On apprend tout au long du travail, des interviewés évidemment (de par les réponses pertinentes qu’on attends d’eux ; et des profs qui ont su nous mettre dans la bonne voie avec des explications très claires sur la manière de dirigé nos travaux.


4) A quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés (inférieur à 25%, entre 25 et 50%, entre 50 et 75% ? Au-delà de 75%) ? Qu’est ce qui a été le plus utile pour vous ? Si faible utilisation, pourquoi ?

Alexandre Augst :Texte italique J’ai utilisé les ressources du wiki et les liens associés à un pourcentage de 25 à 50%. Je l’ai surtout utilisé au départ, au moment de la découverte du projet et pour comprendre ce que l’on attendait de nous. Pourquoi une si faible utilisation : j’estime que les liens et pages sont trop nombreuses et nous avons tendance à nous perdre un peu. De plus, les deadlines étant à certains moments très rapprochées, il était difficile de prendre le temps de tout regarder.

Sami Bourdier :Texte italique Entre 25 et 50%, le wiki fournit énormément d’infos sur beaucoup de points mais je m’en suis peu servi globalement. Il est surtout utile pour les exemples de contrat de droit à l’image, pour la skem banque, et pour les tutoriels de montage vidéo.

Emeline Goujon :Texte italique Etant jardinière, j’ai particulièrement pu utiliser de manière fréquente les ressources du Wiki. Je jugerais donc avoir utilisé les ressources du Wiki au-delà de 75%. En effet, j’ai à chaque étape du projet consulté les liens dispensés sur le movilab qui permettaient de nous aider à avancer dans le projet. Cependant, je pense que certains liens dispensant certaines informations (comme pour le dossier de production) ne contenaient pas assez de détails et restaient donc assez flous.

Louise Le Bolay :Texte italiqueL’utilisation du wiki ainsi que les différents supports mis à notre disposition, ont été utilisé à 75% par notre équipe. Les échanges de services ou de matériel nous a facilité la tache dans la réalisation du tournage.

Jordan Manoukian :Texte italique L’utilisation des ressources wiki se situe entre 25 et 50 %, il est vrai que pour saisir l’information et comprendre les questions demandées nous nous sommes dirigés vers le wiki mais pour certains travaux l’intuition a été notre premier instinct.

Léo Pillemont :Texte italique J’ai utilisé les ressources wiki a 50% environ. N’étant pas jardinier, je n’y suis pas allé tous les jours. Cependant j’ai trouvé utile de pouvoir observer l’avancée des travaux des autres groupes, pouvoirs comparer les problématiques, et j’ai trouvé utile les ressources mises en ligne pour nous aider dans certaines étapes comme la rédaction de l’article de presse.


5) Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaborative intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui-ci ? Quel a été l’apport de la bourse de compétences ? Comment les compétences ont-elles circulé ?

Alexandre Augst :Texte italique Ce cours n’a pas eu une réelle influence sur mes pratiques collaborative intra et inter groupes. Certes, nous avons tout de suite su nous organiser dans notre groupe et travailler en équipe mais cela s’est fait plutôt naturellement. Quant à la pratique collaborative inter groupes, la Skem Bank a énormément favorisé les contacts avec les autres groupes. Concernant la Skem Bank, c’est une excellente idée mais pas forcément toujours facile à utiliser, des erreurs peuvent être commises et il est impossible de revenir dessus après. Cependant, elle n’était pas toujours très utilisée ou consultée sauf les jours précédents les deadlines ce qui est dommage. Dans l’ensemble, la bourse de compétence nous aura bien aidé pour réaliser notre projet.

Sami Bourdier :Texte italique Ce cours nous a appris à répartir efficacement les taches, à prospecter en inter groupes pour trouver du matériel ou des compétences. L’apport de la skem banque a été énorme car il a permis de réunir des qualités et du matériel indispensables pour notre vidéo et que nous n’avions pas dans notre groupe (dessin, trépieds, …)

Emeline Goujon :Texte italique J’ai pu utiliser la skem bank en supportant le banquier groupe et je me suis aperçue que c’était un outil très utile. Nous n’aurions pas forcément sollicité l’aide d’autre groupe sans cette plateforme comme lorsque nous avions besoin d’un trépied par exemple (dont ne disposions pas). De plus, j’ai moi-même pu dispenser plusieurs formation Wiki afin d’aider certains groupes en difficulté (même à des groupes basés à Sophia Antipolis) ce qui n’aurait pas été possible sans la plateforme skem bank mis à notre disposition. L’échange de Skems rajoutait à cela un petit enjeu : savoir dépenser de manière utile son argent tout en gardant en tête que l’objectif était également d’en gagner. Les compétences inter-groupe, dans notre cas, ont parfaitement fonctionné puisque nous avons su recevoir des compétences des autres groupes en sachant dispenser les nôtres à d’autre groupes. Au sein du groupe, l’échange d’idée et d’informations s’est toujours passé au mieux.

Louise Le Bolay :Texte italique Le travail en équipe nécessite une bonne communication interne, les compétences de chaque membre du groupe ont été mises à profil au fil du projet. La particularité de ce projet est la combinaison de compétition et de la collaboration entre les groupes. Nous avons essentiellement échangé du matériel nécessaire au montage, mais également de l’aide pour les différentes étapes du projet.

Jordan Manoukian :Texte italique Ce cours est certainement la meilleure façon de collaborer entre groupe, Avant tout car il y a une récompense mutuelle entre les acteurs. En effet nous avons pris contact avec une étudiante d’un autre groupe qui avait une compétence artistique (dessinatrice) elle nous a aidé pour la mise en forme de certain de nos plans moyennant une somme sur la skem banque. Effectivement la banque de compétence a été très utile pour la réalisation de certaine partie du projet comme le tournage et le montage vidéo faute d’équipement de notre part. Elle nous a permis de proposer nos compétences et d’avoir un solde égalitaire dans celle-ci.

Léo Pillemont :Texte italique La skem banque est une idée génial instaurant une interactivité avec les autres teams. Nous avons du interagir avec les autres et cette démarche nous a inculquer a chacun des notions de business et de réciprocité.


6) Quelles sont vos critiques et suggestions d’amélioration pour ce cours ?

Alexandre Augst :Texte italique Points d’amélioration : - Une Skem Banq plus rapide d’utilisation et possibilité de discuter entre groupe directement dessus - Une meilleure organisation des amphis (prévenir que 2 amphis sont disponibles plutôt que tout le monde se retrouve dans 1) - Difficulté de réaliser un dossier de production sans avoir les interviews de programmés etc… - Le système de Like qui ne reflète pas la qualité des vidéos, certaines qui ont été élus ne le méritaient pas forcément à mes yeux

Sami Bourdier :Texte italique Je pense qu’un point a améliorer serait la facilité de communication entre les groupes et les professeurs.

Emeline Goujon :Texte italique Pour moi, les points d’amélioration seraient les suivants : - Dispenser au moins un cours sur le développement durable au préalable, avant de lancer le projet. Certains n’en n’ont en effet jamais fait. - Faire respecter les consignes données dès le début du projet : musiques libres de droits, durée des vidéos, délais (repoussé pour la mise en ligne de la vidéo) - Ne pas devoir forcément attribuer un rôle à chacun. En effet, certains se disent parfois « je suis banquier ou bien jardinier alors je ne fais rien d’autre ». Malheureusement ce projet ne peut se passer d’aucun membre de l’équipe (peu importe sa fonction) au vu du travail à effectuer.

Louise Le Bolay :Texte italique La durée du projet est très courte, les recherches menées ainsi que les personnes contactées nécessiterait plus de temps. Le croisement avec d’autres matières pourrait approfondir le contenu des projets, rendre un travail indépendant dans chaque matière réduit l’intérêt. Effectuer une analyse marketing, commercial et financière combiné au travail sur le terrain effectué en sustainable performance nous permettrait de rendre une analyse complète sur un sujet, un projet d’étude complet. La sélection des vidéos finales n’a pas pris en compte le respect strict du cahier des charges (durée, musique libre de droit…) ce qui est dommage pour les équipes qui ont joué le jeu en réalisant une vidéo selon le cahier des charges.

Jordan Manoukian :Texte italique Je pense qu'il faudrait améliorer la skem banque et notamment sur les options de publications des compétences et l'échange entre groupe.

Léo Pillemont :Texte italiqueCe cours était original et très intuitif. Je n’ai pas beaucoup de critiques a formulé, sauf peut-être un petit peu plus d’amphi et de suivi tout au long du projet. Peut-être aussi plus d’interaction avec les campus étrangers pour obliger les élèves à coopérer avec des gens qu’ils ne connaissent absolument pas.


Votre feedback - Groupe 98[modifier | modifier le wikicode]

Il s’agit d’un très bon travail d’enquête. Très bonne diversité d’acteurs interviewés. L’article complémentaire est très intéressant. La problématique de management n’est pas très évidente dans la mesure où l’argent publique est omniprésent pour ce type d’initiative.




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