Partage 2.0 : solution durable ou tendance du moment ?

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Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :

Partage 2.0 : Tendance du moment ou solution durable ?

Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

Ici le lien direct de notre dossier de production, accessible via slide share[1]

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]

Nous tenons à remercier chaleureusement Neville RICOUR, cofondateur de OUISTOCK et Clara LEBLANC, stagiaire chez FOSBURIT, qui nous ont accordé leur temps précieux pour notre projet. Nous souhaitons également à remercier toutes les personnes qui ont acceptées d'être filmées et de répondre à nos questions et madame CUISSI qui nous a aiguillés tout au long de ce projet.




Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

PARTAGE 2.0 : TENDANCE DU MOMENT OU SOLUTION DURABLE ?

  • L’économie collaborative concerne tout le monde et peut être utilisée par chacun, sans aucune modalité de restrictions particulières. Certaines personnes l’utilisent sans même s’en rendre compte car le nom de cette économie n’est pas encore rentré dans nos mentalités, contrairement à son usage. En effet, il s’agit d’une totale remise en question de notre mode de vie et de notre économie traditionnelle. Les mots clés de cette économie sont « partage » et « usage » ce qui paraît étrange dans un mode de vie où nous sommes à l’ère du chacun pour soi et d’une économie encore plus axée sur le profit.
  • En dehors de la crise économique, d’autres facteurs ont contribué au développement de cette économie notamment de le digital. Celui-ci permet de mettre en contact deux personnes ou plus sans que celles-ci ne soient obligées de se rencontrer physiquement et de proposer tout type d’objet. La grande force de l’économie collaborative est de s’intéresser à des secteurs qui étaient oubliés par l’économie traditionnelle par au vu du peu de profit qui pouvait en être retiré ou du peu de clients potentiels. De plus, la manière de communiquer avec le client est différente car les entreprises de l’économie collaborative sont là pour servir d’entremetteur – c’est-à-dire qu’il y a une rupture de service totale car il n’y a pas de contact physique entreprise – client ou plus exactement le client n’est pas obligé de contacter l’entreprise pour avoir ce qu’il souhaite : un contact. Ce n’est pas pour autant que la personne est livrée à elle-même, un service client existe en cas de questions, un besoin d’être rassuré ou d’informations complémentaires. N’oublions pas le maître mot de l’économie collaborative qui est proximité. Trouver ce dont vous avez besoin à côté de chez vous, dans le lieu qui vous arrange le plus. Les entreprises de l’économie collaborative ne fonctionnement pas de la même manière que les entreprises de l’économie traditionnelle. Ce n’est pas parce que l’entreprise possède une structure des employés et des clients –même fidèle - qu’elle est forcément pérenne. La concurrence entre entreprise du même secteur au sein de cette économie est plus coriace car, au final, une seule entreprise pourra sortir vainqueur, celle qui aura le mieux fait jouer l’effet volume. Il faut donc voir ces entreprises comme une alternative voire une complémentarité de l’économie traditionnelle. Les emplois ne sont pas détruits mais transférés vers un autre secteur ! Regardez, quand Edison a créé l’électricité, les personnes travaillant dans les usines à bougies se sont reconvertis dans les usines à ampoules !
  • À cela s'ajoute l'arrivée des entreprises traditionnelles sur le marché de l'économie collaborative, par exemple la SNCF qui a ouvert un service de covoiturage, l’économie collaborative fait face à de nouveaux enjeux.
  • Comment la législation peut-elle intervenir pour réguler l’économie collaborative ? Un équilibre législatif peut-il être trouvé entre l’économie traditionnelle et l’économie collaborative ?

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

Astrid :

  • Le travail de groupe ; discussion, compromis ..
  • L’adaptabilité : lors des micros trottoirs ou interviews, de savoir quoi répondre, où trouver comment rebondir sur les propos des gens
  • L’accroche : surtout pour les micros trottoirs, comment aborder les gens d’une certaine manière pour leur donner envie de participer et de répondre à notre questionnaire
  • L’analyse plus approndie de ce qu’est véritablement le partage 2.0, si on l’utilise , on ne sait pas forcément ce que c’est au premier abord.
  • L’analyse de l’économie collaborative que je pensais être une tendance du moment mais qui, après les interviews, les discussions, les articles .. s’avère être plutôt le début d’une nouvelle économie

Anaïs :

  • Ce travail a renforcé mes connaissances du travail de groupe : aller d'un choix de sujet jusqu'à la réalisation d'un reportage a comporté de nombreuses étapes où les réunions, dialogues, recherches et compromis ont étaient nombreux et de mieux en mieux réalisés. Nous avons appris à mener à bien une réunion et rendre le temps alloué profitable.
  • En faisant les recherches pour le sujet, j'ai découvert plein de nouveaux concepts et sujets possibles. J'ai d'ailleurs grâce à ces recherches, approfondie mes connaissances en énergies fossiles et soulevé de nombreuses questions pour lesquelles j'effectue des recherches.
  • Notre sujet a aussi été source de d'apprentissage: je pensais que l'économie collaborative était une tendance due à la crise mais j'ai découvert qu'elle était déjà très bien implantée et qu'elle s'accompagnait d'une réelle évolution des mentalités. Je sais désormais que des entreprises "traditionnelles" se sont développées sur ce marché (comme la SNCF avec son service covoiturage)
  • Il y a un grand nombre d'entreprises et de services accessible grâce au partage 2.0

Nicolas :

  • J'ai appris beaucoup sur la consommation collaborative, je ne pensais pas que c'était un modèle économique qui était autant implanté dans les moeurs et dans les habitudes de consommations.
  • J'ai appris à travailler en groupe et à devoir s'organiser pour des travaix communs

Tiphaine :

  • Ce projet était enrichissant car c'était pour moi, nouveau de rendre notre travail de groupe sous un autre format. J'ai pu en apprendre plus sur le travail d'investigation, mais aussi sur l'économie collaborative et en quoi celle-ci s'applique à de nombreux domaine.

Guillaume :

  • Ce travail de groupe m'a permis d'améliorer mes connaissances dans l'économie collaborative et notamment de découvrir le réel potentiel de cette economie que je pensais etre plutôt un mode de consommation dit "de dépannage" fonctionnant uniquement grâce à l'interet pecunnier qu'en retire chaque individu. J'ai pu aussi decouvrir les "joies" du micro-trottoir, constatant la difficulté de trouver des personnes qui acceptent de répondre non pas de répondre à nos questions mais qui acceptent d'etre filmées.

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