Le mouvement des locavores : enquête

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comment satisfaire les besoins de la clientèle de façon durable, alors que la disponibilité des produits est limitée ?

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Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :
Le mouvement des locavores : comment satisfaire les besoins de la clientèle de façon durable, alors que la disponibilité des produits est limitée ?

Afin de répondre au mieux à cette problématique, nous allons confronter l’idéologie du « ne manger que des produits locaux » face à la demande des consommateurs d’avoir toujours un large choix au moment des courses.

Les principales questions auxquelles nous tenteront de répondre seront : Comment faire face à la demande de variété et de choix des clients alors que la gamme de produits est restreinte par la zone géographique ? Comment s’opère la relation client dans ce système de distribution ? Quelles sont les techniques pour détourner le client des grandes surfaces ? Est-ce une relation satisfaisante et lucrative pour tous les intervenants de la chaine de valeur ?

Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

Dossierdeproductionlocavores3.png

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]



Nous tenons à remercier chaleureusement :

  • Amaury - ENVIES D'ICI
  • Laeticia - Cliente
  • Marie-Anne - LA FERME DES ANNEAUX

Merci à eux pour leur participation et leur temps consacré à notre projet.

Nous tenons également à remercier nos professeurs pour leur aide et leur soutien.

Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

Afin de répondre au mieux à notre problématique, nous allons confronter l’idéologie du « ne manger que des produits locaux » face à la demande des consommateurs d’avoir toujours un large choix au moment des courses. Les principales questions auxquelles nous tenteront de répondre seront : Comment faire face à la demande de variété et de choix des clients alors que la gamme de produits est restreinte par la zone géographique ? Comment s’opère la relation client dans ce système de distribution ? Quelles sont les techniques pour détourner le client des grandes surfaces ? Est-ce une relation satisfaisante et lucrative pour tous les intervenants de la chaine de valeur ?

Selon le New Oxford American Dictionary, un locavore est une « personne qui recherche de la nourriture produite localement ». La distance-limite habituellement associée au mouvement est la même que celle du défi lancé par Jessica Prentice, soit 100 miles (160 km). Défendu par de plus en plus de convaincus, le locavorisme est présenté comme une alternative aux conséquences négatives de la mondialisation. En privilégiant au maximum les produits locaux dans leur alimentation, les locavores contribuent ainsi à aider l’économie qui les entoure tout en diminuant leur empreinte carbone sur la planète. Et les locavores, ne sont pas justes des « écolos bobos », car depuis son arrivée en France en 2008, le locavorisme semble séduire de nombreux consommateurs tout simplement éclairés et avertis des enjeux du développement durable. Le locavorisme permet ainsi aux petits producteurs, aux coopératives de cultivateurs, aux AMAP (Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne) et aux commerçants et artisans locaux de vivre et de résister à la concurrence. Ce mode de consommation permet d’aider au maintien de la diversité des paysages, des cultures et des écosystèmes. Enfin, qui dit local, dit aussi de saison, ce qui permet aux populations de profiter de produits frais et plus savoureux que lorsqu’ils sont cueillis et expédiés depuis des milliers de kilomètres ou cultivés sans soleil naturel par exemple.

A travers notre reportage, nous avons constaté que le locavorisme nécessitait une redéfinition du modèle d’offre et de demande traditionnel : il n’appartient plus aux fournisseurs de répondre aux besoins des consommateurs, ce sont ces derniers qui doivent s’adapter à l’offre disponible dans leurs régions. Cet aspect contraignant du locavorisme se contrebalance par la qualité des produits consommés et se justifie par ses enjeux écologiques et environnementaux évidents. Il permet également la création de nouveaux emplois dans la chaîne de valeur (effectuer le conditionnement d’épices dans la région permet de considérer ce produit comme local).

Ce système remet en cause la mondialisation même, il permet le soutien au développement de sa propre région plutôt qu’aux autres pays. A grande échelle, il pourrait même engendrer une réduction de la production de certains produits, voire le recul de certains pays en développement (diminution de la consommation de fruits exotiques par exemple), si bien que le locavorisme peut être considéré comme un retour en arrière de la société. En période de crise, d’insécurité, consommer local signifie entre autre se replier sur soi, revenir aux traditions rassure. Nous pouvons donc nous demander si cette absence de certains produits, devenus courants dans notre mode de consommation, ne va pas motiver les producteurs à se lancer dans la production de nouvelles variétés non adaptées à leur environnement. Les enseignes de la grande distribution pourraient également se lancer dans la commercialisation de produits dits locaux à plus bas prix, dont l’origine ne serait pas forcément locale. Ainsi, le développement du locavorisme soulève notamment la possibilité de nouveaux scandales alimentaires, en devenant un mouvement de grande ampleur. Mais il est difficile d’imaginer un essor spectaculaire du lovacorime. Les critiques à son encontre sont vives : consommer local ne signifie pas que le produit n’a pas été cultivé à l’aide d’engrais et de pesticides. Un produit non local mais bio s’avère alors de meilleure qualité. D’autres avancent que le locavorisme n’est qu’une mode éphémère, car ne consommer que deux ou trois légumes différents (en hiver par exemple) en découragera plus d’un. Il est vrai que les consommateurs doivent garder en tête que manger est aussi un plaisir.

Sources :

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et plus largement de la société ?


  • Julie : J’ai mieux compris le système de la chaîne de valeur ainsi que le fonctionnement des lobby de la grande distribution.
  • Céline : Cela m’a permis de découvrir la chaîne de fonctionnement : de l’agriculteur à l’assiette et m’a fait découvrir un mode de consommation que je ne connaissais pas.
  • Sophie : Ce cours m’a donné une nouvelle compréhension du business en général car il m’a permis d’approcher de plus près les problèmes des entreprise notamment la pérennité et l’intégration du développement durable.
  • Arnaud : Ce cours m’a permis de voir que le sustainable business est totalement viable, mais qu’il a aussi ses limites. Je pense que la mentalité de la société est l’élément central de ce business : Suivant comment va évoluer cette mentalité, le sustainable business explosera, stagnera ou s’effondrera.
  • Estelle : Ce cours m’a permis de m’intéresser à un nouvel enjeux auquel doivent faire face les entreprises : le développement durable. En effet c’est un sujet dont on entend de plus en plus parler et dont on ne connaît pas toujours les enjeux et problèmes que cela soulève. J’ai donc pu me rendre compte que toute entreprise est concernée par la thématique du développement durable et que c’est un sujet qui doit être de plus en plus pris en compte.Au niveau de la société c’est aussi un sujet qui commence à prendre de l’ampleur dans la tête des consommateurs qui essayent de se sensibiliser à ce thème.Grâce à ce travail j’ai donc pris conscience de ce que soulevait le développement durable et que c’était un domaine qui était assez mal connu et qui devait être plus approfondi.
  • Emma : Ce cours m’a permis de m’intéresser d’avantage aux problématiques du développement durable concrètement au sein des entreprises. Grâce à la première étape du travail demandé, lors de la recherche du sujet à exploré dans notre future video, pendant le Brainstorming, on s’est concentré sur divers questionnements concernant cette thématique et cela m’a fait connaitre les nombreux d’enjeux importants lié au développement durable. Plus largement, je me suis rendu compte que moi-même je ne connaissais pas la bonne définition du développement durable et que très peu de gens dans la société avait conscience de l’entendu du sujet et de ses implications dans le monde de l’entreprise.


Qu’avez-vous le plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez-vous formuler les compétences acquises ?


  • Julie : J’ai approfondi mes connaissances sur le logiciel Imovie et ce projet m’a permis d’améliorer mon organisation dans les travaux de groupe, notamment au niveau de la coopération.
  • Céline : J’ai pu découvrir le logiciel Imovie, apprendre à créer des page wiki et à développer mon sens de l’organisation grâce au travail en groupe.
  • Sophie : J’ai appris dans le cadre de ce cours, l’analyse d’une situation bien réelle d’une entreprise ainsi que sur les bénéfices d’un travail de groupe. J’ai appris à développer mon autonomie ainsi que mon organisation et mon esprit critique par rapport à un sujet tel que le développement durable et les entreprises.
  • Arnaud : Découverte d’un exemple concret de sustainable business. Travail en équipe, réaliser une vidéo.
  • Estelle : Dans le cadre de ce cours j’ai acquis des connaissances surtout sur le thème de notre reportage qui est la consommation locavore. Je ne connaissais pas ce mouvement et tout ce que cela comprenait. Mes connaissances sur ce nouveau mode de consommation se sont donc développées. Concernant mes compétences, j’ai pu développer celles concernant la réalisation et tout le travail que comprenait le tournage d’une vidéo. C’est un travail assez conséquent qui nécessite beaucoup de compétences et connaissances que j’ai pu apprécier et acquérir grâce à certains membres du groupe qui les maîtrisaient.
  • Emma : Ce que j’ai le plus appris lors de ce cours concerne directement notre choix de problématique sur la consommation locale. J’ai appris à quel point il était difficile de joindre les choix/responsabilité éthique avec l’économie capitaliste d’aujourd’hui. Plus précisément sur le thème des Locavores, j’ai essayé de comprendre si ce n’était qu’un effet de mode ou un vrai mouvement militant contre le système de la grande distribution. Je me suis donc interroger sur ma propre façon de consommer et savoir si je serais prête à me déplacer jusqu’au seul magasins qui vendent localement ou non. Ce travail permet vraiment de se remettre en question au sujet de notre implication personnelle au final dans le développement durable. J’ai acquis des compétences de communication pour démarcher plusieurs entreprises pour travailler avec nous, puis sociales pour pouvoir intéresser suffisamment des passants pour les interroger et surtout à renforcer mes capacités à travailler en groupe. J’ai remarqué une nouvelle fois mes forces et faiblesses dans une implication d’équipe.


Comment avez-vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De qui avez-vous le plus appris (de vos pairs, interviewé, prof,…) ?


  • Julie : Ce fut un projet positif et stimulant qui nous a permis d’apprendre de tous. Néanmoins, je pense que commencer en septembre aurai été une meilleure solution car cela nous aurait donné plus de temps et aussi donné l’occasion de nous connaitre. Je suggère aussi de réduire le temps de choix des groupes et des problématiques pour allonger le temps de production. (Et peut être ajouter un amphi au milieu pour pouvoir poser des questions une fois dans l’action).
  • Céline : J’ai été très déçue des cours de wiki car c’est une compétence que j’aurai aimé plus approfondir. Je trouve également que ce cours s’attache plus à la forme qu’au fond, comme par exemple la rigidité sur des règles futiles (temps, musique, …) mais peu de conseil sur la méthodologie de répondre à une problématique par un reportage.
  • Sophie : Cette expérience a été intéressante pour moi. Elle m’a permis de découvrir une autre façon de travailler en groupe et d’exercer une parfaite autonomie dans le travail de groupe. J’ai beaucoup appris sur moi-même mais également sur les autres et les bons modes de fonctionnement d’un groupe pour réaliser un travail (partager les tâches, entraides…).
  • Arnaud : Intéressant mais monopolise trop de temps. J’ai le plus appris des interviewés, acteurs direct du business.
  • Estelle : Cette nouvelle expérience a été très enrichissante car c’est un mode d’apprentissage totalement nouveau et à l’opposé de tout ce que nous avons pu faire auparavant. Au début cela m’a paru très surprenant et très compliqué à mettre en œuvre et surtout à réaliser étant donné que nous étions des novices dans ce domaine. C’est vrai que ce travail a été assez difficile à réaliser sachant que le temps qui nous était accordé était plutôt restreint, que le travail nécessitait beaucoup de ressources et que nous avions en parallèle beaucoup de travail à fournir pour nos cours. Je déplore donc que ce travail ne nous ait pas été donné en début de semestre, période où nous avions plus le temps et que nous pouvions nous investir un maximum dans ce projet que nous aurions pu réaliser plus pleinement. Les personnes qui m’ont le plus appris sont les intervenants, qui du fait de leur réelle implication dans le développement durable, ont pu m’apporter des connaissances précises et appuyées d’exemple me permettant de me rendre réellement compte de la réalité des choses.
  • Emma : Cette expérience a été à la fois difficile et enrichissante. Difficile à cause du temps très très important nécessaire pour faire le travail de A à Z sachant que le projet aurait pu nous être donné avant novembre (EN DEBUT D’ANNEE) pour nous laisser plus de temps, nous avons eu l’impression de bâcler la vidéo seulement à cause du manque temps et non d’un manque d’investissement. Nous aurions préféré aller plus en profondeur dans la vidéo. Puis il a également été parfois compliqué de s’accorder sur une seule et même vision sur le projet en étant 6 personnes différentes. C’est également une expérience très originale car le support de cours est totalement nouveaux et BEAUCOUP plus attractif que les slides sur un power point. On doit se découvrir de nouveaux talents dans la filmographie mais le plus intéressent reste de sortir des murs de l’école pour apprendre. J’ai pu réellement apprendre des professionnels qui ont eu la gentillesse de nous faire part de leur expérience et implication dans le développement durable. Par leur vision professionnelle on comprend beaucoup plus les enjeux concrets et les difficultés aux quotidiens pour cette implication.

A quel pourcentage estimeriez-vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés (inférieur à 25%, entre 25% et 50%, entre 50% et 75%, supérieur à 75%) ? Qu’est ce qui a était le plus utile pour vous ? Si faible utilisation, pourquoi ?


  • Julie : J’ai peu utilisé les ressources (moins de 25%) notamment parce que je les ai trouvées mal organisées, peut être que vous devriez ajouter un lexique ou une bibliothèque pour que ce soit plus intuitif.
  • Céline : J’ai très peu utilisé les ressources (moins de 25%) sauf l’espace collaboratif pour les jardiniers que j’ai trouvé très bien organisé et simple d’utilisation.
  • Sophie : Entre 50% et 65%, la banque a été très utile pour pouvoir échanger des prestations avec les autres équipes ainsi que des informations.
  • Arnaud : Environs 50%. Utile pour trouver une problématique, en apprendre plus sur le développement durable, sur la manière de réaliser une vidéo.
  • Estelle : Pour ma part j’estime que j’ai utilisé les ressources du wiki de façon à répondre aux questions majeures que j’ai pu me poser lors de la phase de préparation ainsi que pendant la phase de réalisation de la vidéo. J’ai notamment utilisé les ressources pour connaître les modalités de réalisation de ce projet ainsi que de me renseigner sur le vaste champ d’action du développement durable et les enjeux principaux. La bourse wiki a été la ressource qui a été la plus présente pour ma part dans ce projet étant donné que j’étais banquière et qu’il était nécessaire d’utiliser ces ressources pour le bon fonctionnement du projet. J’estime donc mon utilisation des ressources wiki entre 50% et 75%.
  • Emma : J’ai utilisé personnellement à moins de 25 % le wiki car j’étais chargé de production et je n’ai pas eu l’occasion de me servir véritablement du wiki, seulement de voir de loin la gestion de nos échanges de Skems. Le plus utile fut d’avoir une jardinière qui a eu une petite formation sur son fonctionnement et qui a pu gérer de tout et des soucis liés au wiki.


Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui-ci ? Quel a été l’apport de la bourse de compétences ? Comment ces compétences ont-elles circulé ?


  • Julie : C’était une bonne idée mais handicapant quand on a peu de compétence à apporter.
  • Céline : La bourse de compétences été une bonne idée mais les transactions de Skems n’étaient pas très encadrées (annonce à 300 pour un paiement à zéro accepté !). De plus, la recherche des compétences s’est faite par nos propres contacts, la plateforme n’a servi qu’au moment du paiement.
  • Sophie : Oui, ce cours a eu une influence sur mes pratiques collaboratives dans le cadre de projets de groupe. La bouse aux compétences a pu être utile cependant il reste plus facile d’essayer de tout gérer en groupe ainsi que de chercher ses compétences dans un cercle plus restreint.
  • Arnaud : La bourse nous a été très utile. Les compétences ont beaucoup circulés et avec une bonne fluidité.
  • Estelle : C’est vrai que ce cours m’a permis de me rendre compte des différents moyens qui étaient mis à notre dispositions pour travailler en groupe et les nombreux apports de chacun. Le fait de pouvoir collaborer au travail d’autres groupe et de partages nos connaissances, nos compétences et ceci dans une simulation associé à une monnaie virtuelle est un concept qui nous rapproche au plus près de la réalité.La bourse de compétence a d’abord été difficile à utiliser car nous avions du mal à voir quelles étaient les compétences réelles que nous avions à proposer et celles dont nous avions réellement besoin. Nous avons fait plusieurs transactions au fur et à mesure des besoins que nous avions lors de la phase de préparation pour la collecte d’informations, pour le tournage avec la location d’une caméra ou encore pour la post-production. Nous avons aussi aidé d’autres groupes qui avaient besoins de certaines de nos compétences et cela est assez gratifiant. Je regrette par contre l’interface du site ne permettant pas d’avoir plus accès aux transactions pour les réaliser ou les modifier une fois faite s’il y avait une erreur. De plus la visibilité de nos offres n’étaient pas toujours au rendez-vous car des groupes de pouvaient pas voir toutes nos annonces.
  • Emma : Ce projet m’a poussé à m’adapter aux opinions et visions des autres participants du groupe, différentes des miennes. J’ai également réfléchi à mon comportement tout au long du déroulement du travail et me suis remis en question sur les côtés de mon caractère personnel (grande impatience, rapidement énervé en moment d’anarchie, besoin d’être constamment cadré et efficace sans perdre de temps, manque total de connaissance en informatique et en construction de vidéo ) qui ne sont pas adaptés aux travaux de groupe. Maintenant que j’en ai pleinement conscience, il me reste à faire un travail sur moi-même pour m’améliorer et corriger ses défauts difficiles à gommer. Le rapport avec la bourse de compétence a été moindre pour notre groupe car nous n’avons pas eu énormément de besoins de services extérieurs, oui les échanges que l’on a effectué nous ont été bénéfiques mais dans une petite quantité donc cela a été assez contraignant de faire des échanges de SKEMS pendant tout le travail. On a d’abord pu s’aider aux niveaux des réseaux sociaux pour certains questionnements que l’on se posait, au niveau du travail demandé pour s’échanger nos connaissances, puis sur le wiki. Les compétences nécessaires se sont bien réparti entre les membres du groupe en utilisant les forces principales de chacun.

Feedback final du professeur[modifier | modifier le wikicode]

Bon travail ! Votre problématique est bien amenée. Elle est claire et bien ciblée. Votre approche permet de couvrir pas mal de points d’entrée. La mise en tension engendrée par la demande des locavores et l’offre est au cœur de votre analyse. Votre article journalistique complète bien votre reportage.
Le reportage est dynamique et original. L’histoire est cohérente et fait sens par rapport à la thématique abordée. Le montage est bien fait, seules certaines coupures sont un peu trop brutales.
Vos conclusions prennent un peu trop de raccourcis, mais restent néanmoins intéressantes.

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