Le développement durable, une raison d'être ou une stratégie de vente ?

De Movilab
Aller à :navigation, rechercher

Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :


“En quoi un positionnement basé sur la protection de l'environnement naturel est-il efficace, et quel est son impact sur la stratégie de l'entreprise?“
En nous interrogeant sur le cas des chaussures de la marque Faguo, entreprise qui plante un arbre à chaque accessoire vendu, nous réfléchissons comment un positionnement commercial et marketing basé sur la protection de l'environnement naturel est-il efficace, et quel est son impact sur la stratégie globale de l'entreprise?


Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

http://fr.slideshare.net/hajerbenmariem/dossier-de-production-27806826

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]

Insérer ici votre vidéo (à uploader dans Youtube) - due date : 19/11 au plus tard

Aide pour les jardiniers wiki au lien suivant

Nous tenons à remercier chaleureusement lister ici les personnes interviewées, avec leur fonction et le nom de l'organisation pour laquelle il/elle travaille

Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

Le modèle Eco-responsable et ses limites :

Certaines règles éco-responsables voient le jour dans toutes les entreprises. Parfois anodines, elles tendent à sensibiliser sur cette nouvelle problématique : • La consommation de papier à l’imprimante • Eteindre son ordinateur plutôt que le mettre en veille • L’emploi de personnel handicapé (quota) • Le bilan carbone.

Parfois précurseurs, certaines entreprises ont surfé sur cette vague tendance pour développer des business florissants. Dans l’industrie de la mode, ce nouveau défi du 21 siècle est également présent : parfois sans grande communication (Lacoste par exemple qui travaille énormément sur ces problématiques de développement durable), parfois en l’utilisant comme un axe marketing majeur. Faguo est l’une d’entre elles.

Faguo est une marque responsable créée en 2009 par deux amis encore étudiants. A 22 ans, Frédéric et Nicolas partent ensemble en Chine pour effectuer un échange universitaire. A leur retour, une idée a germé, celle de créer une marque de Sneakers.

Nous sommes allés a la rencontre de Nicolas pour savoir ce qu’il se cachait derrière le slogan « une paire achetée, un arbre de planté ». Nicolas nous reçoit dans ses bureaux dans le 18ème arrondissement à Paris. Son discours est bien rodé et il maitrise parfaitement son sujet. Il nous parle avec passion des forets en France qui ont vu le jour grâce a sa marque, du transport des marchandises qui se fait par porte conteneur depuis la chine jusqu’au Havre puis par péniche jusqu'à paris (moins polluant qu’un Saint Petersburg- Paris en camion), de son bilan carbone qu’il maitrise de la production au client, de sa collaboration avec un ESAT pour stocker ses marchandises. (Il souligne d’ailleurs amusé que celui-ci est même moins cher que les concurrents, alors pourquoi se priver).

Arrive alors notre question sur la Chine, là ou se situe sa production.

Les normes de travail ne sont pas les mêmes qu’en France et, a la différence d’un de ses concurrents (Veja), Nicolas reconnait que malgré ses efforts il a une vision moins précise sur chacun de ses producteurs. Nous lui avons demandé s’il comptait ramener sa production en France, et ce n’est pas a l’ordre du jour.

Ces efforts éco-responsables de Faguo justifient-ils le prix (50€ en moyenne pour une paire de chaussures) de ces paires de chaussures produites en chine ? C’est au client de décider. Pour Nicolas, les clients achètent avant tout une paire de chaussure parce que le design leur plait. La vision éco-responsable est un plus qui a surtout été mis en avant par les medias à la création de l’entreprise. Pour l’heure, Faguo continue a se développer et cherche a conquérir de nouveaux marchés.

Nous remercions Nicolas d’avoir répondu a nos questions et nous lui souhaitons bonne chance pour la suite.

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

'[['Question 1 : En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général? Et plus largement de la société ? ]]

Thomas : Ce cours ne m’a pas réellement apporté une nouvelle compréhension du business et de la société mais plus une nouvelle manière de voir le business par l’approche du développement durable. Et ce point de vue n’est pas à négliger vu l’importance grandissante du développement durable de nos jours.

Vincent : Ce cours met en relief les nouvelles problématiques auxquelles les entreprises doivent répondre notamment en termes de développement durable et RSE. D’une part j’ai découvert que le développement durable peut s’applique à toutes les dimensions de l’entreprise (management, production, marketing, logistique…). D’autre part la RSE est devenu un sujet incontournable pour les entreprises, pour leur communication. Il est clair qu’aujourd’hui incorporer le développement durable dans la stratégie d’une entreprise est bénéfique non seulement en termes d’image mais aussi pour le fonctionnement de l’entreprise elle-même. Fermer les yeux sur le développement durable serait une véritable erreur stratégique. Attention au greenwashing tout de même. Plus largement, depuis les années 1980 et plus récemment depuis la crise économique de 2008, les sociétés occidentales se confrontent aux limites du capitalisme intensif. Le gâchis, les problèmes environnementaux sont ignorés de personne. Pour cela la notion de développement durable est vouée à se propager davantage dans nos sociétés.

Hajer : Ce cours m’a donné une idée sur l’existence et la croissance du Business dans le sens du développement durable qui devient une valeur prédominante dans les sociétés puisqu’il faut avoir une vision à long terme étant donné les contraintes de ressources naturelles rares d’où la nécessité de trouver des solutions pour les futures générations à partir des techniques du développement durable .

Jean : Ce cours permet de mettre en avant une autre facette du business. On constate que les entreprises ne sont pas tournées uniquement vers la recherche du profit. Celui ci est nécessaire mais il existe aussi de nouvelles problématiques ; autour du développement durable notamment. Le business est à l’image de la société : elle laisse place à de belles initiatives.

Laura : Je dirais que ce cours m’a apporté une nouvelle compréhension du business en général par l’approche du développement durable. En effet, nous avons pu constater et comprendre l’importance du développement durable au sein d’une entreprise. De nos jours, on peut dire que c’est réellement un élément stratégique pour une entreprise. J’ai pu découvrir que le développement durable s’applique à toutes les dimensions d’une entreprise et il devient de plus en plus important d’en tenir compte que soit pour une entreprise, ou pour la société en général.

Maxence : Ce cours ne m’a pas réellement donné une nouvelle compréhension du business en général. En revanche, j’ai pu constater l’importance du développement durable, qui est aspect majeur de notre société, au sein des entreprises et ce quel que soit leur secteur d’activité.

[[Question 2 : Qu’avez-vous le plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez-vous formuler les compétences acquises ? ]]

Thomas : Le cours était centré sur un projet à réaliser en équipe où chaque membre du groupe avait une tâche spécifique à réalisé. Mais aussi ce projet tout comme dans une entreprise nécessitait une communication entre les différents domaines d’activité afin d’avoir le meilleur rendu possible.

Vincent : J'ai essentiellement appris que le DD était présent partout. J’ai acquis une bonne culture générale en terme de DD. Et je me suis rendu compte de l’importance cruciale de la RSE des entreprise. Personnellement j’ai toujours pensé que l’écologie et le développement durable étaient surtout une mode, un mouvement de pensée bienpensant, un genre de révolte anticapitaliste plutôt douce (le hippie est devenu bobo ou hipster). Bien que je ne suis toujours pas convaincu par le DD pour des raison que je n’étalerai pas ici, j’en ai tout du moins compris l’importance et surtout celle que les gens y accordent.

Hajer : Tout au long de ce cours j’ai appris à m’organiser au sein d’une équipe afin d’effectuer mes tâches dans les délais pour permettre le bon déroulement du travail d’équipe d’une manière harmonieuse . De plus , j’ai acquis de nouvelles notions concernant le développement durable , qui était un concept totalement étrange , comme les concepts de consommation collaborative qui pourrait être bénéfique pour mes futurs projets car c’est un axe en voie de croissance surtout pour les nouvelles entreprises.

Jean : Ce cours m’a permis de développer un large panel de compétences. Le Networking : la recherche et la prise de contact était le travail de base de notre reportage. Il s’est fait en deux temps. Le premier nous a permis de déterminer notre problématique, le second de filmer le corps du reportage. L’investigation : Tout n’est pas accessible sur internet ! Pour ce projet, nous avons dû aller au fond des choses et ainsi trouver les « vraies » réponses à nos questions. La vidéo : Ce travail m’a permis de débuter l’apprentissage d’un nouvel outil de communication et avec lui ses contraintes (droit à l’image, montage, musique sans droit d’auteur…).

Laura : Ce cours était très enrichissant de plusieurs points de vue. Premièrement, j’ai beaucoup appris sur le développement durable, qui est de plus en plus présent de nos jours, et qui n’est pas qu’une simple mode dont certaines entreprises se servent pour améliorer leur image. D’un point de vue plus général, ce cours a été bénéfique dans le sens où nous avons du réaliser un reportage dans une période de temps relativement cours. Nous avions chacun des tâches précises, mais une bonne communication était nécessaire afin de mener notre projet à bien.

Maxence : Ce cours a été relativement enrichissant, puisque dans une période relativement courte, nous avons réalisé des interviews, des micro trottoirs, des montages vidéos, dans le but de répondre à la problématique que nous nous étions donnés au départ. Cela a aussi apporté des compétences de leadership, par le biais duquel chaque membre du groupe était responsable de sa spécialité.

''Question 3 : Comment avez-vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De qui avez-vous le plus appris (de vos pairs ? De l’interviewé ? de vos profs ?)''

Thomas : Je pense que ce projet n’était pas tant différent que sa d’autres projets concernant l’expérience d’apprentissage puisqu’il fallait travailler en équipe et cela concerne n’importe quel type de projet. La seule chose réellement différente serait le fait d’avoir eu à effectuer des tâches « sur le terrain » comme l’interview ou les micro-trottoirs et cela nécessite ainsi une autre méthode et organisation du travail et du temps.

Vincent : Très (très) bien. J’ai adoré M. Sempels, son dévouement, sa passion. Il a l’esprit très innovant, peut être un peu trop au vue des critiques émises par certains reçus au dernier. Le format du cours m’a beaucoup plu : l’interactivité, l’autonomie, le reportage… Le reportage et sa préparation permettent de bien creuser les problématiques du DD, davantage qu’un cours magistral standard. Aussi l’expertise de M. Sempels (surtout) et l’interview m’ont beaucoup appris. M. Sempels est un des meilleurs professeurs que j’ai eu l’occasion de croiser. J’ai énormément apprécié son investissement personnel pour ce cours.

Hajer : J’ai surtout appris de mon professeur Christophe Sempels malgré que j’aurais aimé qu’ils soit plus présent sur le campus de Paris . je préfère que les cours soient en contact direct avec notre professeur pour permettre une meilleure interactivité et échange d’informations ainsi que pour acquérir plus de notions en développement durable , avoir plus d’exemples et applications réelles de ce concept. En tant que jardinière , j’ai aussi appris des compétences des jardiniers des autres groupes grâce au wiki et je m’en sors plus facilement et plus rapidement .

Jean : J’ai vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage très positivement. La phase d’apprentissage se fait naturellement au fur et à mesure de l’avancement du projet. Le cœur de l’apprentissage est l’interview. C’est sur celle-ci que repose toute notre analyse. Les professeurs nous donnent les outils pour comprendre et recentrer notre réflexion.

Laura : Personnellement, j’ai très bien vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage. Il s’agissait bien sûre d’un travail de groupe, donc rien de nouveau de ce point de vue. Cependant, c’est le côté innovant du cours que j’ai apprécié : l’interactivité, l’autonomie, etc. J’ai adoré M.Sempels et son dévouement. Je trouve qu’il a vraiment beaucoup apporté à ce cours grâce à son esprit innovant et son investissement personnel. J’ai notamment été surprise par la culture générale de certains de mes pairs, qui en savait d’avantage que moi sur le développement durable par exemple.

Maxence :Ce cours était vraiment intéressant, alors qu’il ne le paraissait pas au départ. Le fait de s’impliquer à fond dans les différentes tâches pour élaborer ce film a été vraiment très intéressant, et nous sommes fiers du résultat. Cela a d’autant plus permis de réapprendre à travailler en équipe, avec des profs passionnés.

[[Question 4 : A quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés (inférieur à 25%, entre 25 et 50%, entre 50 et 75%, au delà de 75%) ? Qu’est ce qui a été le plus utile pour vous ? Si faible utilisation, pourquoi ? ]]

Thomas : J’estime avoir utilisé 50 à 75%, surtout concernant toute la production et les étapes de production d’un film car je ne m’y connaissait absolument pas et avais besoin d’informations.

Vincent : Inférieur a 25% : les lectures étant souvent très longues, j’ai vite renoncé.

Hajer : J’ai utilisé entre 50 et 75% les données du wiki . j’avais la possibilité de connaitre les méthodes de publication de notre travail durant toutes les étapes de la réalisation du projet . de plus , j’avais consulté le wiki pour comprendre des notions du développement durable qui étaient très bien expliquées .

Jean : Je n’ai que très peu utilisé les ressources du wiki (entre 25 et 50%). Je l’ai utilisé essentiellement pour y trouver des réponses techniques sur la construction d’une problématique ou la structure d’un reportage vidéo. Chaque élève pouvait naviguer sur le wiki en solo et ainsi apporter ses réponses à d’autres questions.

Laura : Je pense avoir utilisé les ressources du wiki entre 25 et 50%, surtout pour lire les indications pour le projet, et notamment tout ce qui concernait les étapes de production d’un reportage. Le seul inconvénient est que les lectures étaient parfois un peu longues.

Maxence : Je pense avoir utilisé ces ressources entre 50 et 75%, notamment pour compléter le wiki, mais aussi découvrir les différentes facettes de la réalisation d’un film et d’une interview.

''Question 5 : Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui ? Quel a été l’apport de la bourse de compétences ? Comment les compétences ont-elles circulé ?''

Thomas : Ce projet a impliqué d’une part un échange de compétences au sein du groupe pour s’entraider et rendre le meilleur projet possible mais également inter groupe à travers la bourse de compétences et d’autre part une forme de compétition inter groupe également à travers la bourse de compétences.

Vincent : Ce sont souvent les mêmes compétences dont les étudiants ont besoin (concernant le wiki au début puis pour du matériel de tournage et le montage à la fin). La banque Skem était peut être de trop : énormément de groupes ont fait des opérations fictives…

Hajer : Ce cours m’a vraiment poussé à avoir le sens de collaboration puisque tu ne pourras jamais t’en sortir seul . j’avais posé beaucoup de questions à d’autres groupes pour comprendre les mécanismes de postage par exemple. C’est essentiellement un cours de pratiques collaboratives et d’entraide. La banque Skem est également une très bonne pratique collaborative à la fois financière puisqu’on apprend à fructifier notre trésorerie et utile dans le sens ou on pourra nous dépanner pour du matériel , des contacts ou des compétences

Jean : Ce cours n’a pas eu d’influence sur nos pratiques collaboratives intra groupe qui restent sensiblement les mêmes. Le constat est totalement différent sur nos pratiques inter groupes. C’était un grand défi de faire participer trois campus sur le même projet et la bourse des compétences était notre lien. Ce fil rouge a permis de créer une émulation positive car pour gagner : il fallait s’entraider, s’aider, communiquer.

Laura : Ce projet nous a amené à beaucoup échanger, que ce soit au sein de notre groupe, ou avec les autres groupes. La bourse de compétences a permis d’échanger afin de s’entraider, tout en gardant un certain esprit de compétition, même si je n’ai pas été réellement convaincue de son utilité.

Maxence : Un aspect important qui a joué dans ce projet est cette relation avec les membres de groupes d’autres campus, avec à la fois une certaine entraide, mais aussi une compétition sur la bourse de compétence, pour obtenir ou vendre des informations, du matériel, de l’entraide ou des contacts, dans le but de créer des échanges monétaires fictifs.

[[ Question 6 : Quelles sont vos critiques et suggestions d’amélioration pour ce cours ?]]

Thomas : La seule chose à améliorer serait peut être d’avoir un délai plus important pour la production car avec les emplois du temps de chacun et l’emploi du temps de l’interviewé, cela ne coïncidait pas forcément et ainsi on avait moins de temps pour la production quand finalement on avait réussi à trouver un créneau horaire.

Vincent : Il faut présenter ce cours dès le début de l’année en raison de son format particulier. J’ai été un peu perdu (car surpris) au début du cours. Je ne savais pas ce qu’était un wiki par ex.

Hajer : Je trouve que le cours est intéressant mais il ne s’est pas bien déroulé sur le campus de Paris suite aux problèmes techniques. Je propose d’avoir plus de cours interactifs avec notre professeur de développement durable , l’organisation de tutoriels pour le tournages et le montage des vidéos , l’élargissement des délais surtout pour pouvoir fixer un RDV avec les entreprises à l’avance.

Jean : Je n’ai pas de critiques significatives sur ce cours. Le format de travail du cours est très intéressant car totalement nouveau et passionnant. La vidéo est un outil de communication très fort et accessible à tous. J’ai pu pousser ma réflexion sur des problématiques nouvelles et développer de nouvelles compétences. Les délais ont pu paraitre un peu justes, mais après réflexion, je pense qu’ils pourraient être largement suffisants avec une meilleure organisation interne du groupe.

Laura : Ce cours, et la manière dont il a été présenté par M.Sempels, nous a vraiment donné envie de nous investir. Cependant, une critique que je pourrais faire est qu’il faudrait peut-être une meilleure organisation.

Maxence : Beaucoup disent que le délai n’était pas assez long, cela ne m’a pas dérangé et m’a plus appris. Peut être mieux donner les consignes au départ, le wiki étant relativement mais pas assez consulté. Cours vraiment intéressant et qui nous a donné l’envie de nous investir

Commentaire du professeur[modifier | modifier le wikicode]

Bonne investigation sur Fago, vidéo OK! Petite déception sur l'article qui n'apporte pas de nouveautés par rapport à la vidéo.




Accueil - Définition de MoviLab - Qui porte et constitue MoviLab ? - Pourquoi contribuer sur ce wiki ? - Comment contribuer sur ce wiki ? - Conciergerie MoviLab - Mentions légales

Soutenir Movilab

Vous pensez que nous allons dans le bon sens ? Si vous en avez l'envie nous vous invitons à nous rejoindre ou à faire un don.