L'entomophagie est une substitution mieux adaptée au mode de consommation actuel. Comment ce nouveau business de l'alimentation parviendra-t-il à séduire le grand publique?

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L'entomophagie: comment ce nouveau business de l'alimentation parviendra-t-il à séduire le grand public?

L'entomophagie: Comment ce nouveau business de l'alimentation parviendra-t-il à séduire le grand public?[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :
L'entomophagie est une réponse envisageable pour se substituer à notre mode de consommation actuel qui n'est pas compatible avec le rythme de l'accroissement démographique. Comment ce nouveau business de l'alimentation parviendra-t-il à séduire le grand public?

Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

Voici notre dossier de production (suivre le lien) [1]


Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]

http://www.youtube.com/watch?v=UZhPUEQ2pkU&feature=youtu.be


Nous tenons à remercier chaleureusement:

David Faure chef étoilé au guide michelin, propiétaire du restaurant l'Aphrodite ainsi que son épouse

Cédric Auriol, fondateur de l'entreprise Micronutris, numéro 1 européen de l'élevage et de la production d'insectes

Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

Notre article répond à la problématique suivante; Quels risques encoure-t-on avec la démocratisation des pratiques entomophages et comment y remédier ?

Nous nous sommes inspiré des interviews que nous avions eu afin de réaliser notre documentaire et su site de la FAO.

Vous trouverez l'article en cliquant sur le lien suivant:

http://www.slideshare.net/slideshow/embed_code/28568541

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

1.	En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général? Et plus largement de la société?

Geoffrey Barany : « Ce cours m’a permis de mieux connaître et de comprendre les enjeux, problématiques auxquelles les entreprises sont confrontées en terme de développement durable, à travers les différents reportages. En outre, j’ai pu remarquer que les entreprises prennent de plus en plus en compte ces enjeux et adaptent leur activité pour répondre aux demandes des consommateurs mais aussi pour s’adapter aux contraintes qu’elles connaissent dans leur activité. »

Coumba Diallo : « Ce cours m’a permis de prendre conscience de l’expansion des nouveaux « business model ». En effet ces nouvelles alternatives prendront de plus en plus d’ampleur dans notre future.”

Alexandra Mirete : « Ce cours m’a permis de comprendre qu’aujourd’hui les consommateurs sont de plus en plus demandeurs de produits éco-responsables et que les entreprises aussi petites soient elles se confrontent ainsi à un nouvel enjeu. Le développement durable dans son ensemble (économie, social, environnemental) est une notion qui touche tous les types de business et les dirigeants ne peuvent plus fermer les yeux car ils s’agit non seulement de satisfaire les consommateurs mais également d’évoluer dans un environnement durable. »

Agnès Trucco : « Le fait de devoir s’intéresser au développement durable sous l’aspect de performance permet d’avoir un regard sur l’investissement des entreprises à cet égard et plus particulièrement comment elles tirent une valeur de cet engagement. Les conditions actuelles nous pousse à penser plus durablement, nombreux sont les entrepreneurs qui ont saisi l’opportunité de se lancer sur cette voie. »

Stéphane Varsi : « Ce cours m’a permis de me rendre compte à quel point le développement durable est devenu la pierre angulaire du commerce de demain avec de nouveaux enjeux dans le business, de nouvelles possibilités, mais aussi de nouveaux risques qu’il faut apprendre à gérer pour les entreprises. Grâce à ce cours, j’ai pu prendre conscience que le développement durable est désormais présent dans tous les secteurs du business et a su s’imposer dans les entreprises comme une notion indispensable.

Pierre Wall : « Grâce à cette démarche de reportage, nous sommes capables de nous confronter à de réels problèmes et à des professionnels. Les échanges que nous avons eus à travers les interviews nous ont permis de mieux comprendre le marché spécifique auquel notre sujet se rapportait, à ses enjeux, à sa contribution aux changements sociétaux et justement aux conséquences pour la société en général. Ce cours nous a donc permis de nous rendre compte à quel point le développement durable est un facteur de changement de la société et des entreprises mais aussi qu’il dépend de celui-ci. Il n’y a pas de réelles démarches de développement durable sans une prise de conscience de ses acteurs. »

2. Qu’avez-vous le plus appris dans le cadre de ce cours? Pouvez-vous formuler les compétences acquises?

Geoffrey Barany : « Ce cours m’a permis d’apprendre : - sélection d’informations pertinentes pour le montage du reportage vidéo - préparation d’une interview avec le journaliste et cadrage lors du reportage »

Coumba Diallo : « J’ai principalement appris à faire du montage de vidéo: Synthétiser un maximum tout en gardant une histoire cohérente.”

Alexandra Mirete : « Ce que j’ai le plus appris dans le cadre de cours est de mettre en forme un scénario. - Tri des informations les plus pertinentes - Mise en place d’une interview »

Agnès Trucco : « Compétences acquises : - tri des informations - organisation des pensées pour le projet de production - montage vidéo»

Stéphane Varsi : « J’ai du apprendre à gérer plusieurs projets et plusieurs échéances en même temps en tentant la plupart du temps de fournir la même qualité de travail, j’ai renforcé mes aptitudes à travailler en groupe, en m’adaptant aux personnalités et au différents niveaux d’implication de chacun. Malheureusement, j’ai passer plus de temps à monter la vidéo du projet final qu’à réellement enquêter sur l’impact du développement durable dans les entreprises.”

Pierre Wall : « Durant ce projet, j’ai appris comment monter une vidéo. J’ai également appris à faire preuve de synthèse et de logique pour ne sélectionner que les informations les plus importantes. J’ai appris à m’attacher à la pertinence des informations et à la cohérence du scénario. J’ai également appris beaucoup sur le marché de l’entomophagie, qui constituait notre sujet, ainsi que sur son histoire, son origine et les implications qu’il pourrait avoir dans notre société. »

3. Comment avez vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage? De qui avez vous le plus appris (de vos pairs? De l’interviewé? De vos prof?)

Geoffrey Barany : « Cette expérience a été plutôt enrichissante, notamment grâce à la réalisation du reportage. En effet, le format de ce cours, diffère de ce que j’ai pu faire auparavant. Ce que j’ai appris : - De mes pairs : le travail en équipe très enrichissant notamment au moment de la sélection des informations clés pour la vidéo finale. - De l’interviewé : enrichissement personnel. Grâce au reportage dans le restaurant, mais aussi avec les deux autres intervenants, j’ai beaucoup appris sur les pratiques entomophages. - De la part des profs : structure de la problématique, et utilisation de la plateforme Wiki, Movilab, et de la SKEMA Banque »

Coumba Diallo : « Cette nouvelle expérience fut intéressante, d’une part grâce au sujet choisi (les pratiques entomophages). Mais également, grâce aux différents acteurs rencontrés, tous passionnés de ce sujet.”

Alexandra Mirete : « J’ai trouvé cette expérience très enrichissante car je n’avais jamais eu à réaliser de court métrage et cela m’a permis de me confronter à des problématiques auxquelles je n’avais jamais fait face. J’ai trouvé très difficile le fait de trier les informations pour la vidéo car tout le contenu des interviews me semblait pertinent (45 minutes au total avec 3 intervenants). J’ai vraiment beaucoup appris des intervenants sur le sujet des pratiques entomophages. »

Agnès Trucco : « Notre reportage se portait sur les pratiques entomophages, un sujet que je ne connaissais que très vaguement. Nous avons interviewé trois personnes, il est toujours intéressant d’apprendre en parlant à des professionnels captivants. N’ayant jamais effectué de montages vidéo dans le passé, cet aspect a été le plus difficile selon moi. »

Stéphane Varsi : « Comme dit précédemment, vu la quantité de travail que le montage représente pour quelqu’un de novice en la matière, mon temps a été presque entièrement dédié à la post production du reportage, ce qui m’a fait occulter certaines parties intéressantes durant le processus d’enquête. En résumé, j’ai plus appris de moi même sur les compétences en post production que j’ai pu développer que sur les personnes interviewées ou sur les personnes de mon groupe.”

Pierre Wall : « Je me suis personnellement enrichi à travers plusieurs aspects de ce projet : - La motivation et l’organisation du travail en groupe ainsi que ses limites Les interviews : - Découverte d’un nouveau marché, d’une nouvelle idéologie (l’entomophagie) - Découverte de personnalités engagées, passionnées - Découverte d’enjeux sociaux et économiques cruciaux pour l’avenir. » 4. A quel pourcentage estimez)vous avoir utilise les ressources du wiki et les liens associés (inférieur à 25%, entre 25% et 50%, entre 50% et 75%, au delà de 75%?) ?

Geoffrey Barany : « Je pense avoir utilisé le Wiki entre 25 et 50%. Ce qui a été le plus utile : - différents exemples proposés sur le site, pour nous aider dans notre projet - explications quant à la démarche à suivre (calendrier, étapes, etc.) »

Coumba Diallo : « -25% La ressource la plus utilisé du wiki fut le mur des compétences.”

Alexandra Mirete : « Je pense avoir utilisé le wiki entre 25 et 50%. J’ai régulièrement consulté le calendrier et j’ai ponctuellement utilisé les ressources pour mener à bien le projet mais un wiki est une plateforme sur laquelle je ne me sens pas du tout à l’aise. »

Agnès Trucco : « A moins de 25%, mes sources principales ont été les informations obtenues des interviews et le site de la FAO (Food and agriculture organization). Je ne me servais du wiki que pour consulter le calendrier et mettre en ligne les documents nécessaires »

Stéphane Varsi : « Étant également le banquier du groupe, j’estime notre utilisation de la SkemBank à 20%. Trop d’offres non sérieuses, de transactions non menées a terme (paiement de services non rendus in fine.), sans aucun contrôle d’administrateurs pour réguler cela. “

Pierre Wall : « Je pense avoir utilisé les ressources du wiki à moins de 25%. En effet, j’ai beaucoup de mal à m’intéresser à une chose comme le développement durable uniquement avec des cours sur internet. J’ai un réel intérêt pour cette problématique et j’aurais souhaité de vrais cours et des échanges avec les professeurs autour de ces enjeux. » 5. Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui-ci? Quel a été l’apport de la bourse de compétences? Comment les compétences ont-elles circulé? Geoffrey Barany : « Le concept de la SKEM Banque est selon moi une idée intéressante en terme de travail collaboratif. En effet, dans le cadre de notre projet, il a permis de débloquer certaines situations : pour le montage de vidéo, notre chargé de post production a pu obtenir des cours de montage, et nous avons aussi pu rendre des services, mais aussi en rendre. »

Coumba Diallo : « Ce cours n’a pas réellement changé mes habitudes collaboratives. De mon point de vue, favoriser l’entraide en y accordant une note, n’était pas judicieux. En effet, cela a incité les fausses transactions.”

Alexandra Mirete : « Oui l’échange de Skems était une très bonne idée qui a permis de réellement générer des pratiques collaboratives. Il s’agissait de quelque chose que je n’avais jamais expérimenté et j’ai trouvé cela très agréable de pouvoir compter sur les groupes pour certaines échanges. »

Agnès Trucco : «Il est souvent enrichissant de travailler en groupe et je trouve que cela est important. Quant à la bourse de compétence, nous avions généralement un contact direct avec les collaborateurs avant de procéder à l’échange de skems. »

Stéphane Varsi : « Étant avant tout responsable du montage, le reste du groupe m’a surtout aidé à pré monter les vidéos que nous souhaitions utiliser pour le reportage. Les membres du groupe travaillant de manière assez indépendante et avec un niveau d’implication plus ou moins élevé, les échanges consistaient surtout à faire en sorte de finir le projet à temps. La plupart des échanges en bourse ont été bénéfiques, mais l’un des service que nous avions payé n’a jamais été réalisé, et le remboursement impossible sans pouvoir rencontrer le groupe. L’absence d’administrateurs dans ce genre de situation est extrêmement préjudiciable.”

Pierre Wall : « Les échanges et la coopération sont très importants et nous ont aidés dans certaines situations. Je pense néanmoins que les systèmes collaboratifs devraient avant tout être basé sur une idéologie solidaire et que dans le cas de la Skem Bank, il y avait un intérêt beaucoup plus pécunier et également intéressé puisque nous savions que les échanges compteraient dans la note. Je pense qu’un système de partage de compétences, plus basé sur l’échange et moins sur l’achat/vente aurait pû être très intéressant. »

6. Quelles sont vos critiques et suggestions d’amélioration pour ce cours?

Geoffrey Barany : « Pour ma part, le concept du cours, bien qu’étant intéressant et ayant du potentiel, manque encore de structure et ne permet pas d’appréhender au mieux les enjeux de la thématique, Performance Durable. En effet, je n’ai jamais eu l’occasion de suivre des cours de performance durable par le passé, et il a été difficile, notamment au moment du choix de la problématique, de bien définir et de cadrer le sujet.

Comment améliorer le cours ? - Mettre en place un cours en face à face sur la performance durable pour clairement définir les enjeux - Moins se baser sur le simple e Learning, qui n’est pas tout le temps adapté - Avoir plus de cours entre les différentes étapes du projet »

Coumba Diallo : « Les objectifs de ce cours devraient être mieux établis et plus explicités. Le « learning by doing » est intéressant, mais il nous faut avant cela, des bases théoriques (plus de cours).”

Alexandra Mirete : « Je trouve que ce format de cours est vraiment très intéressant car en effet il s’agit de quelque chose de tout à fait inédit et j’ai trouvé cela très motivant. Par contre il y a bien quelque chose que je regrette car n’ayant pas suivi la L3 à SKEMA, j’aurais vraiment souhaité avoir un cours de développement durable avant de faire cette vidéo. Je me suis rendue sur les vidéos en ligne mais le « e-learning » n’est pas adapté à tous et je fais partie de ces personnes qui ont besoin d’avoir le professeur en face de soi. Pour résumer, le format de ce cours est très interactif et m’a permis de comprendre le lien management et développement durable au sein des entreprises, la matière se prête bien à ce format qui ne serait pas applicable à beaucoup de matières mais des heures de cours supplémentaires pour pouvoir s’appuyer sur de la théorie sont, je pense, nécessaires. »

Agnès Trucco : « C’est une idée qui a le mérite d’être innovante. Ce format est plus stimulant et requiert un investissement considérable. Cependant, n’ayant pas de professeur accessible en personne, je me suis souvent sentie livrée à nous-même, sans savoir si le travail que nous effectuons correspondait aux attentes. Par exemple, nous avions demandé s’il était possible de prolonger la vidéo d’une minute, mais suite à un malentendu, alors que nous pensions avoir eu l’accord de notre professeur, nous avions été informé la veille du délai que cela était interdit. De plus, la charge de travail est très élevée, notamment avec la post-production (encontre de problème techniques etc…), il a été difficile de concilier avec les autres matières. »

Stéphane Varsi : « Le montage d’un reportage sur le développement durable peut être un projet très intéressant pour une école de journalisme, mais pour des amateurs en école de commerce, l’implication que cela demande nous empêche de nous investir à 100% dans toutes les matières et le travail personnel conséquent qu’elles requièrent.”

Pierre Wall : « Le format de cours est en soi un système intéressant et enrichissant. Aller à la rencontre des acteurs du développement durable a été une très bonne expérience. Même s’il est important dans la réponse à une problématique d’allier le fond et la forme, je reste avec l’impression que ce cours a été beaucoup plus axé sur la forme du reportage que sur la problématique de fond. J’aurais aimé avoir plus d’informations, de vrais cours, des échanges avec les professeurs autour du développement durable. »

Commentaire du professeur[modifier | modifier le wikicode]

Bonne enquête, sujet très original. L'article est juste un peu répétitif de la vidéo.




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