Entreprise sans patron : la hierarchie est-elle indispensable ?

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Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi est la suivante :
La hiérarchie est-elle indispensable au bon fonctionnement de l'entreprise ?

Nous avons remarqué qu'aujourd'hui des entreprises tentent de mettre en place de nouvelles formes de management, en rupture complète avec l'entreprise traditionnelle. Une forme de management a retenu particulièrement notre attention : celle des entreprises sans hiérarchie. Nous souhaitons grâce à notre projet de Sustainable Performance partir à la découverte de ces entreprises, comprendre leur fonctionnement et étudier leur viabilité économique à long terme.

Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

Lien slide share : http://fr.slideshare.net/Amandeep92/dossier-de-production-groupe-133-paris

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]


Nous tenons à remercier chaleureusement M.Phillipe Weber, coach et formateur centré sur le développement personnel et M.Anthony, manager chez Côté Sushi (Versailles)

Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]


La hiérarchie en entreprise a été développée lors du taylorisme afin d’optimiser la productivité des ouvriers. Basée sur le principe de la répartition des tâches et d'un lien de subordination entre un chef/manager et un employé, la hiérarchie apparaît comme un modèle d'organisation efficace et indispensable au sein de l’entreprise. Pourtant, cette organisation qui se présente sous la forme d'une pyramide est de plus en plus critiquée. Une étude américaine montre par exemple que seulement 11% des salariés sont aujourd’hui motivés par leur travail, il est donc grand temps de se poser des questions sur le système hiérarchique et de le remettre en cause pour proposer des solutions nouvelles et innovantes. Suite à nos recherches, nous avons découvert les entreprises sans hiérarchie, un type de management innovant qui nous a paru très intéressant, mais qui pose beaucoup de questions : comment l’entreprise fonctionne-t-elle ? Est-elle viable économiquement ? Est-ce une pratique applicable à toutes les entreprises ? En somme, est-ce qu’une entreprise peut fonctionner normalement avec ce type de management ?

L'entreprise avec hiérarchie : une organisation simple et cadrée

Avant de se lancer dans l’exploration des entreprises sans hiérarchie, nous pensons qu’il est important de re-contextualiser le monde actuel très traditionnel de l’entreprise. Selon Henri Fayol, l’un des précurseurs du management, la structure hiérarchique est telle « qu’un subordonné ne reçoit d’ordre que d’un homme à qui il doit rendre des comptes ».

En effet, la hiérarchie est une structure simple qui permet la répartition claire des responsabilités, le maintien d’une discipline et de barrières. Elle semble nécessaire car elle fixe un cadre de travail et des objectifs nets à respecter. Les N+1 sont présents pour fédérer les équipes, s'assurer de l'avancée des objectifs et régler les problèmes en cas de conflits. Cette organisation pyramidale est une forme de motivation. Afin de gravir les échelons, les employés sont tenus de fournir un travail sérieux et productif qui sera récompensé.

Pourtant, on observe de plus en plus un mal-être des employés au sein des entreprises : augmentation du stress au travail, burn out, dépression, suicides, démissions... Face à cet échec social, n’est-on pas arrivé à un moment où il devient nécessaire de remettre de la vie dans l’entreprise ? Et d’intégrer pleinement le salarié au cœur de celle-ci ? C'est le pari qu'on fait les entreprises sans hiérarchie !

L'entreprise sans hiérarchie : vers une réussite économique ET sociale

Notre objectif, lorsque nous sommes partis à la découverte des entreprises sans hiérarchie, était de découvrir si cette pratique managériale qui semblait relever plutôt de l’utopie était réellement applicable et performante. Aucun de nous ne connaissait ce type de management, ce fut donc une découverte pour tous. Il est temps de revenir sur les éléments qui nous ont semblé pertinents pour répondre à nos interrogations.

Une entreprise sans hiérarchie, c’est avant tout une structure qui replace le salarié au cœur de l’entreprise. Il est responsabilisé, et donne son avis sur l’entreprise et sur son travail. Par exemple, lorsque sa machine ne fonctionne plus, le salarié choisit lui-même le matériel pour la remplacer, car c’est le plus à même de comprendre les besoins de son poste. Les services périphériques en deviennent presque superflus. Comment un service d’achat éloigné de la réalité de chaque poste de travail peut-il mieux choisir une machine que le salarié qui travaille dessus chaque jour ?

Le but premier des entreprises sans hiérarchie est certes de rendre heureux les salariés, mais, cela fonctionne aussi économiquement, car le profit revient en même temps que le bien-être dans l’entreprise. Par exemple, FAVI, fonderie française qui fonctionne sans hiérarchie, paie actuellement ses salariés sur 17 mois, une vraie réussite !

La communication au sein de l’entreprise est rétabli et les conflits disparaissent ou se résolvent d’eux-mêmes. Pour preuve, il n’y a presque plus de licenciement, les personnes qui ne se sentent pas à l’aise ou qui ne s’impliquent pas démissionnent. Nous sommes bien loin des schémas actuels dans les entreprises classiques !

Ce type de management est encore à ses débuts, et de nombreux enjeux sont encore à relever. Une chose est sure, ce n’est pas une utopie et cela fonctionne ! Aujourd’hui, les conférences et les formations se multiplient pour mettre en valeur cette pratique et qu’elle soit comprise par chaque salarié. Il est également important qu’au sein de chaque entreprise se trouve un leader éthique et moral garant de cette pratique managériale innovante qui a pour but de remettre la créativité et l’innovation au sein de l’entreprise.

Mais d’ailleurs l’expression « entreprises sans hiérarchie » est-elle vraiment adaptée ? Il s’y cache des réalités assez différentes de ce qu’on pense y trouver au début. Selon nous, il serait plus adapté d’appeler cela une entreprise à intelligence collective. A voir ce qu’en penseront les spécialistes dans les prochaines années, et les évolutions de ce type de management dans le futur !

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]


Question 1 : En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et plus largement de la société ?

Elodie : Les recherches fournies pour ce cours m’ont permis de découvrir véritablement le monde de l’entreprise mais également ses failles et les adaptations nécessaires. Je ne connaissais pas les entreprises sans hiérarchie, et je ne pensais pas que cela pouvait être réalisable. En ce sens j’ai pu comprendre un nouveau mode de fonctionnement.

Coline:Grâce à ce cours, et plus particulièrement à notre sujet, j’ai découvert que le management traditionnel en entreprise n’est pas le seul à exister. Je n’avais jamais fait attention à cela avant, et en fait, les formes innovantes de management sont très nombreuses et très prometteuses.

Camille : Ce cours m’a permis de découvrir des nouvelles formes de management innovantes. En effet, celles-ci sont nombreuses, plus intéressantes les unes que les autres. Le monde actuel et son économie est en pleine transformation, les entreprises de demain qui seront saisir ces changements et adapter leur style de management seront forte de succès. La société, quant à elle est prête à accueillir ces changements, il suffit de bien les expliquer.

Amandeep : Notre sujet m'a permis de prendre conscience des problématiques actuelles au sein des entreprises. De plus, les entreprises sans hierarchie me semblait une vision utopique mais la réussite de nombreuses entreprises m'a fait changer d'avis.

Alix:Ce cours m’a permis d’approfondir un sujet que j’avais déjà étudié lors d’un électif. Mais cette fois-ci nous étions au cœur du sujet et avons été en lien direct avec le milieu des entreprises sans hiérarchie. Ce fut très intéressant d’échanger avec des spécialistes mais aussi d’avoir l’avis des citoyens qui est très diversifié à ce sujet la.

Oliver:Notre sujet était centré sur une nouvelle forme de business, à savoir, « l’entreprise sans hiérarchie », par conséquent, cela m’a permis de découvrir et de comprendre le « business » d’un manière différente. Je me suis également rendu compte à quel point la société était ancré dans un mode de gouvernance des entreprises assez traditionnel, tout en ayant une envie de changer, d’évoluer vers un système moins contraignant.

Question 2 : Qu’avez-vous le plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez-vous formuler les compétences acquises?

Elodie : J’ai pu apprendre à travailler dans un groupe nombreux (6 personnes) sachant que nous ne nous connaissions pas forcément au départ. Nous avons également dû apprendre à travailler à distance et via les réseaux sociaux afin d’être plus performant. Cela m’a donc permis d’apprendre une nouvelle façon de travailler. Ce qui a été particulièrement différent des autres travaux de groupe a été le contact avec les entreprises et la recherche de contact liés à notre sujet.

Coline : Dans ce cours, j’ai découvert une pratique managériale que je ne connaissais pas par le passé. Grâce à nos recherches, je saisis maintenant les enjeux relatifs aux entreprises sans hiérarchie : les côtés positifs, les côtés négatifs et les enjeux futurs. Je pense que je serais plus apte dans le futur à comprendre et à analyser les différentes formes de management en entreprise.

Camille: Ce que j’ai le plus appris dans le cadre de ce cours est le travail en équipe avec des gens que je ne connaissais pas auparavant. De plus, on partait sur un sujet complètement méconnu, il a donc fallu faire de nombreuses recherches. La répartition des tâches s’est bien faite, notamment car nous avons eu des réunions mensuelles.

Amandeep: Travailler avec des personnes que je ne connaissais pas et avec des outils de travail inhabituel (wiki, reportage...).Etant jardinier wiki, j'ai appris à utiliser quelques outils informatiques alors que je ne suis pas douer dans ce domaine. J'ai donc apprécier ce nouveau challenge.

Alix: En tant que journaliste, j’ai appris à m’exprimer devant une caméra, ce qui n’était pas gagné d’avance pour moi qui ai une vitesse d’élocution très élevée...!De plus, le contenu de ce cours est la préparation et la création du reportage. J’ai donc appris à anticiper les travaux, s’organiser en équipe, et être efficace lors des réunions pour gérer au mieux la réalisation du reportage. Ainsi pendant ce cours j’ai appris à m’exprimer oralement à travailler en équipe et à être consciencieuse dans les tâches à réaliser.

Oliver:Grâce à ce cours, j’ai pu découvrir une facette du monde de l’entreprise que je ne connaissais pas du tout. Je pense avoir compris les aspects négatifs et positifs d’une entreprise sans hiérarchie. Ce projet m’a également permis de travailler en équipe et à distance de manière assez efficace.

Question 3 : Comment avez vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De qui avez vous le plus appris (de vos pairs ? De l’interviewé ? De vos profs ? …)

Elodie : Cette expérience s’est plutôt bien déroulée dans l’ensemble. Nous avons su travailler en équipe et répartir les tâches grâce à des réunions mensuelles. J’ai notamment beaucoup appris grâce à la rencontre de professionnel : c’est la partie du cours que j’ai préféré car nous avons pu être en lien direct avec des experts du management. Le skype avec Philippe Weber a été d’autant plus intéressant que j’ai vraiment découvert une nouvelle forme de management.

Coline:Cette expérience d’apprentissage a été très intéressante et enrichissante, mais pas évidente. Le fait de devoir rendre un documentaire vidéo est quelque chose d’inhabituel, il a fallu très bien se coordonner en groupe pour avoir un rendu cohérent et qui apporte une réponse à notre sujet. Le moment que j’ai trouvé le plus intéressant a été le skype avec Philippe Weber, car il nous a expliqué avec précision le concept des entreprises sans hiérarchie.

Camille:J’ai apprécié cette nouvelle expérience d’apprentissage. Par le passé, j’ai souvent fait des travaux de groupe mais réaliser une vidéo était pour moi une grande première. Le wiki est aussi un outil intéressant mais pas assez facile d’utilisation à mon goût. J’ai beaucoup appris lors de notre interview Skype avec le coach Philippe Weber qui nous a donné beaucoup d’informations et d’exemples détaillés pour illustrer ces propos.

Amandeep: Le premier cours d'introduction m'ouvert l'esprit dans un certain sens. Pour moi, le développement durable se limiter aux questions environnementales. Mais le professeur m'a permis de réaliser comment la notion de performance durable intervenait aussi au sein des stratégies d'entreprises. Enfin, l'entretien Skype avec M.Weber a été un moment clé car il nous a beaucoup aidé à comprendre le concept d'entreprise sans hierarchie.

Alix: J’ai trouvé cette expérience d’apprentissage intéressante et originale. C’est finalement nous qui « créons » le cours, on apprend par notre travail. La personne qui m’a le plus appris lors de ce cours est Monsieur Phillipe Weber. Spécialiste dans son domaine, il nous a permis de comprendre le principe des entreprises sans hiérarchie et nous a éclairé sur toutes les autres questions qui nous semblaient pertinentes. il était clair et concis dans ses réponses. Notre interview avec lui était vraiment très intéressant.

Oliver:Cette expérience a été très enrichissante. En voyant l’intitulé du cours au début de l’année, je ne m’attendais pas du tout à devoir faire un reportage sur un tel sujet. J’ai été agréablement surpris et finalement, j’ai trouvé ce cours assez ludique, notamment avec la « skem bank ». Je pense avoir le plus appris lors de l’entretien avec le manager de chez côté sushi qui a une visions très pratique du monde de l’entreprise et qui m’a fait redescendre de notre nuage. Un monde sans hiérarchie, c’est pas si facile à mettre en place.

Question 4 : À quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés (inférieur a 25%, entre 25 et 50%, entre 50 et 75% ? Au delà de 75%) ? Qu’est ce qui a été le plus utile pour vous ? Si faible utilisation, pourquoi?

Elodie : Je pense avoir utilisé les ressources du Wiki entre 25 et 50% et particulièrement au début du cours lorsque nous ne connaissions que très peu les enjeux. Avec notre sujet nous avons du beaucoup cherché sur internet.

Coline:Je pense avoir utilisé les ressources du Wiki dans une proportion inférieure à 25%. Elles sont si nombreuses qu’il me semble compliqué de les utiliser entièrement. Nous les avons beaucoup utilisées au début de notre travail, pour comprendre l’idée du cours et pour découvrir des sujets qui auraient pu nous intéresser. Cependant, une fois le sujet trouvé, nous avons essentiellement cherché sur d’autres supports.

Camille : Je pense avoir utilisé les ressources du wiki à moins de 25% car comme je l’ai dit, difficile d’utilisation. On cherche souvent assez longtemps pour trouver l’information qu’il nous faut. On s’est servis d’autres supports pour nos recherches notamment internet.

Amandeep: Comme j'étais chargé de la page wiki, je dirais avoir utilisé les ressources entre 25-50%, notamment pour comprendre son utilisation ou pour s"inspirer des sujets de l'an passé.

Alix:J’estime avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés d’une proportion inférieure à 25%. En effet, celles-ci sont si nombreuses est difficiles d’utilisation que je ne m’en suis pas vraiment servi. De plus, en tant que journaliste l’utilisation du wiki n’était pas mon activité principale.

Oliver: Je pense avoir utilisé le wiki entre 25 et 50%, surtout au début car nous avions très peu de données sur le monde de l’entreprise sans hiérarchie.

Question 5 : Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaborative intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui ci ? Quel a été l’apport de la bourse de compétences ? Comment les compétences ont-elles circulé?

Elodie : Non il a eu peu d’influence car à Skema, ou même avant Skema j’avais déjà eu à travailler sur de nombreux projets de groupe, notamment à l’étranger avec de parfaits inconnus. Cependant, la bourse de compétence nous a permis d’avoir un aspect relativement nouveau.

Coline:Ce cours nous a forcé à collaborer à l’intérieur de notre groupe, et avec les autres groupes. Cependant, nous sommes déjà habitués à ce genre d’interaction avec les travaux en groupe dans les autres matières. La bourse de compétence nous a permis de renforcer cette interaction inter-groupe, et de prendre conscience de ce que chaque personne peut apporter beaucoup à un projet.

Camille:Ce cours a eu une influence sur mes pratiques collaboratives car les moyens de communication sont nombreux : direct, internet, Skype, réseaux sociaux. Cela laisse un large choix. Les compétences n’ont pas vraiment circulé sur le Wiki.

Amandeep: Comme toujours les réseaux sociaux nous ont permis d'interagir sur l'avancement du devoir. Par contre, la bourse de compétences en soi n'est pas une si bonne idée mais plus une contrainte. Je trouve qu'à SKEMA, les gens n'hésitent pas à demander ou proposer de l'aide si besoin. De plus, ça n'a pas toujours été facile de proposer un service utile.

Alix:Ce cours a eu peu d’influence sur mes pratiques collaboratives dans le cadre de projets car celles-ci sont toujours présentent lors de travaux de groupe : nous sommes habitués à collaborer via Facebook pour toute sorte de travaux d’équipe. En revanche, pour celui-ci, Skype a été un nouveau moyen de communication qui a parfaitement fonctionné.

Oliver: Pas vraiment car j’ai eu de nombreux travaux de groupe à rendre dans le cadre de mon cursus scolaire. La bourse de compétence était nouvelle et ça a été d’une grande aide. De plus cela m’a permis de me rapprocher d’autres groupes pour échanger des idées …

Question 6 : Quelles sont vos critiques et suggestions d’amélioration pour ce cours ?

Elodie : Je pense que le wiki n’est pas assez intuitif à utiliser et il est difficile d’arriver à trouver les réponses à nos questions ou bien faire des recherches sur nos sujets. De plus, la formation des groupes a également été difficile car en début d’année on connaît peu les personnes et on a tendance à se retourner vers des gens connus. Il aurait été intéressant de travailler avec des groupes déjà constitués, on aurait perdre moins de temps à trouver de nouvelles personnes.

Coline: J’ai bien aimé l’idée de découvrir un aspect du développement durable en entreprise, et d’expliquer notre réponse par le biais d’une vidéo. Les deadlines sont très utiles également, car sans cours réguliers, il est parfois difficile de structurer notre travail. Il serait peut-être bien d’avoir des TD affectés à cette matière, pour nous obliger à nous rencontrer de manière régulière.

Camille : Je pense qu’il faudrait peut-être organiser des TD avec un professeur qui puisse nous conseiller sur l’avancement de notre projet. Cela permettrait aussi de nous retrouver avec notre groupe à des dates fixes. Aussi, il serait bien d’organiser une conférence avec une entreprise qui est sensible à ces nouvelles questions.

Amandeep : Si les groupes pouvaient être imposés, cela éviterait de perdre une semaine et de se lancer directement dans la recherche d'un suejt. Les deadline nous ont permis d'organiser notre travail. Pas de banque de compétences car il s'agit plus d'une contrainte que d'une aide.

Alix:J’ai trouvé le principe du reportage amusant et original qui change de tous les travaux demandés dans d’autres matières. La durée du cours a pu me sembler très longue au début, mais finalement les deadlines aident dans l’avancement du travail et à ne pas se retrouver à une semaine de la fin sans rien.Je n’ai pas vraiment eu affaire avec le wiki mais lors de l’amphithéâtre de présentation, j’ai trouvé cela très compliqué et je me suis tout de suite dit que je ne serais ni jardinier, ni banquier ! Je suggérerai un ou deux TD au milieu du semestre pour faire un point avec les professeurs et pouvoir améliorer au mieux le travail.

Oliver : Dans l’ensemble j’ai trouvé ce cours assez bien organisé, les professeurs répondent assez vite à nos mail. Cependant, un TD n’aurait pas forcément était en trop.En ce qui concerne la skem Bank, c’est une bonne idée, par contre, je trouve cela assez difficile de trouver des compétences justement … En effet, il faut parfois faire défiler toute la page pour trouver un collègue qui a une compétence qui nous intéresse. En général, je trouve que la skem bank n’est pas très facile à utiliser.

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