Comment réduire efficacement les consommations d’énergie dans le secteur du bâtiment tout en maintenant le niveau de performance ?

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Groupe n° 37[modifier | modifier le wikicode]

Votre campus : Lille

ROLE DANS LE GROUPE
NOM DE L'ETUDIANT(E)
PORTABLE (non obligatoire)
Le référant caméraman
Carine Roux
carine.roux@skema.edu
Le référant chargé de production
Cécile Roux
cecile.roux@skema.edu
Le référant journaliste
Pachy Francois
pachy.francois@skema.edu
Le référant post-production
Clémence Pol
clemence.pol@skema.edu
Le jardinier wiki
Nil Amara
Nil
Le banquier du groupe
Caroune Demirdjian
caroune.demirdjian@skema.edu


Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

Notre problématique cible les déperditions d’énergies du BTP , en nous fondant sur le témoignage de Jacques Ferret, meilleur ouvrier de France 2011 dans le secteur de l’énergie, nous proposons d’aborder le sujet son l’angle des stratégies RH en posant :

1- Quelles peuvent être les initiatives pour remédier aux déperditions et gaspillages auxquels sont soumis nos bâtiments, à l'image de l'Hôtel de Région du Nord ?

2- Quels sont les enjeux RH dans un secteur tel que le bâtiment afin d'assurer la montée en compétences des ouvriers tout en les sensibilisant à la préservation énergétique ?

3- Comment cette montée en compétences peut-elle avoir une influence sur les comportements manageriaux des entreprise en terme de responsabilité écologique ?


Dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

Lien vers notre dossier de production

Lien vers l'autorisation des droits d'image

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]


Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

Les stratégies RH : les solutions contre les déperditions énergétiques du bâtiment

Quelles peuvent être les initiatives pour remédier aux déperditions et gaspillages auxquels sont soumis nos bâtiments, à l’image de l’hôtel de région du Nord ?

Quels sont les enjeux RH dans un secteur tel que le bâtiment afin d'assurer la montée en compétences des ouvriers tout en les sensibilisant à la préservation énergétique ?

Comment cette montée en compétences peut-elle avoir une influence sur les comportements managériaux des entreprises en terme de responsabilité écologique ?


L’épuisement des ressources énergétiques accompagné d’une augmentation de leurs prix ainsi que les enjeux du réchauffement climatique nous invitent à remettre en cause le secteur du bâtiment. En effet, environ la moitié de la consommation finale d’énergie en France est utilisée dans les secteurs du bâtiment comprenant les logements et les locaux du tertiaire (bureaux, commerce, restauration). Ces consommations d’énergie provoquent l’émission de près de 20% des émissions de gaz à effet de serre, un chiffre qui ne cesse d’accroître depuis les années 90. En ce qui concerne les logements, le chauffage représente la principale consommation énergétique tandis que dans le tertiaire ce sont des usages spécifiques de l’électricité en fonction du type du domaine d’activité (ex : la cuisson dans la restauration). Malgré les réglementations thermiques de 1975 qui ont permis de faire baisser la consommation énergétique dans ce secteur, de nombreux bâtiments aussi bien anciens que nouveaux sont en dessous de leur potentiel d’économie d’énergie.

La mise en place de stratégies RH se révèle comme une solution pour améliorer la performance énergétique des bâtiments. C’est ce qu’assure Jacques Féret, élu meilleur ouvrier de France 2011 dans la catégorie des métiers de service à l’énergie. Technicien de formation, il a obtenu ce titre pour avoir réussi à diminuer de 25% la consommation énergétique de l’Hôtel de région Nord-Pas-de-Calais en agissant sur l’efficacité énergétique active, l’un des trois leviers d’amélioration de la performance énergétique d’un bâtiment. Elle repose sur des travaux d’exploitation des équipements techniques afin d’optimiser la production et la diffusion énergétique. Aujourd’hui formateur auprès de grandes entreprises françaises spécialisées dans la production énergétique, Jacques Féret incarne la montée en compétence des techniciens qui à travers la formation et la passion de leur métier gravissent les échelons professionnels. Jacques Féret diplômé d’un BEP techniques est parvenu à devenir manager puis meilleur ouvrier de France dans les services de métiers à l’énergie. Son métier actuel de formateur consiste aussi bien à instruire les techniciens en vue d’améliorer leurs compétences que de coacher les managers des grands groupes de services à l’énergie dans une optique de préservation énergétique. En effet, la performation énergétique repose sur l’aspect technique pour l’installation et la maintenance des équipements mais aussi managérial pour la prise de décisions en faveur de l’environnement. Ces dirigeants doivent également avoir un rôle de coach auprès des techniciens pour veiller à l’application des objectifs de préservation de l’énergie.

La formation des techniciens et des managers à la performance énergétique est une pratique qui connaît un succès grandissant dans les pays occidentaux sensibilisés à la préservation des ressources énergétiques. Cependant, les pays émergents, plus préoccupés par la croissance économique de leur pays que du respect de l’environnement, n’ont pas ou très peu cette culture de préservation de l’énergie. Il semble ainsi indispensable de diffuser cette culture de formation de performance énergétique des bâtiments à travers notamment l’efficacité énergétique vers ces pays. Les stratégies RH : les solutions contre les déperditions énergétiques du bâtiment

Quelles peuvent être les initiatives pour remédier aux déperditions et gaspillages auxquels sont soumis nos bâtiments, à l’image de l’hôtel de région du Nord ?

Quels sont les enjeux RH dans un secteur tel que le bâtiment afin d'assurer la montée en compétences des ouvriers tout en les sensibilisant à la préservation énergétique ?

Comment cette montée en compétences peut-elle avoir une influence sur les comportements managériaux des entreprises en terme de responsabilité écologique ?


L’épuisement des ressources énergétiques accompagné d’une augmentation de leurs prix ainsi que les enjeux du réchauffement climatique nous invitent à remettre en cause le secteur du bâtiment. En effet, environ la moitié de la consommation finale d’énergie en France est utilisée dans les secteurs du bâtiment comprenant les logements et les locaux du tertiaire (bureaux, commerce, restauration). Ces consommations d’énergie provoquent l’émission de près de 20% des émissions de gaz à effet de serre, un chiffre qui ne cesse d’accroître depuis les années 90. En ce qui concerne les logements, le chauffage représente la principale consommation énergétique tandis que dans le tertiaire ce sont des usages spécifiques de l’électricité en fonction du type du domaine d’activité (ex : la cuisson dans la restauration). Malgré les réglementations thermiques de 1975 qui ont permis de faire baisser la consommation énergétique dans ce secteur, de nombreux bâtiments aussi bien anciens que nouveaux sont en dessous de leur potentiel d’économie d’énergie.

La mise en place de stratégies RH se révèle comme une solution pour améliorer la performance énergétique des bâtiments. C’est ce qu’assure Jacques Féret, élu meilleur ouvrier de France 2011 dans la catégorie des métiers de service à l’énergie. Technicien de formation, il a obtenu ce titre pour avoir réussi à diminuer de 25% la consommation énergétique de l’Hôtel de région Nord-Pas-de-Calais en agissant sur l’efficacité énergétique active, l’un des trois leviers d’amélioration de la performance énergétique d’un bâtiment. Elle repose sur des travaux d’exploitation des équipements techniques afin d’optimiser la production et la diffusion énergétique. Aujourd’hui formateur auprès de grandes entreprises françaises spécialisées dans la production énergétique, Jacques Féret incarne la montée en compétence des techniciens qui à travers la formation et la passion de leur métier gravissent les échelons professionnels. Jacques Féret diplômé d’un BEP techniques est parvenu à devenir manager puis meilleur ouvrier de France dans les services de métiers à l’énergie. Son métier actuel de formateur consiste aussi bien à instruire les techniciens en vue d’améliorer leurs compétences que de coacher les managers des grands groupes de services à l’énergie dans une optique de préservation énergétique. En effet, la performation énergétique repose sur l’aspect technique pour l’installation et la maintenance des équipements mais aussi managérial pour la prise de décisions en faveur de l’environnement. Ces dirigeants doivent également avoir un rôle de coach auprès des techniciens pour veiller à l’application des objectifs de préservation de l’énergie.

La formation des techniciens et des managers à la performance énergétique est une pratique qui connaît un succès grandissant dans les pays occidentaux sensibilisés à la préservation des ressources énergétiques. Cependant, les pays émergents, plus préoccupés par la croissance économique de leur pays que du respect de l’environnement, n’ont pas ou très peu cette culture de préservation de l’énergie. Il semble ainsi indispensable de diffuser cette culture de formation de performance énergétique des bâtiments à travers notamment l’efficacité énergétique vers ces pays.

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

Questions :

1) En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et plus largement de la société ?

2) Qu’avez-vous le plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez-vous formuler les compétences acquises ?

3) Comment avez-vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De qui avez-vous le plus appris (de vos pairs ?de l’interviewé ? de vos profs ? …)

4)A quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressources wiki et les liens associés (inférieur à 25%, entre 25 et 50%, entre 50 et 75%, au delà de 75%) ? Qu’est-ce qui a été le plus utile pour vous ? Si faible utilisation pourquoi ?

5) Ce cours a t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui-ci ? Quel a été l’apport de la bourse de compétences ? Comment les compétences ont-elles circulé ?

Réponses :

Cécile Roux :

1) En réalisant ce petit film nous nous sommes rendus compte de toutes les démarches à suivre au préalable, de l’organisationnel au légal et ce constat est adaptable à toutes les situations de business. De plus, le thème qu’est la performance durable, bien qu’ancrée dans la plupart des modèles des sociétés développées, est très porteur et de ce fait très formateur. Nous en entendons parler régulièrement mais peu sont impliquées dans les démarches et le progrès de celle-ci ! Nous avons donc aussi pris conscience qu’en traitant un tel sujet (qui touche tous les domaines) nous nous sommes ouverts l’esprit et nous avons transmis un savoir acquis durant nos recherches aux autres étudiants de SKEMA et à toute personne qui verra cette vidéo.

2) Dans le cadre de ce cours, nous avons appris à respecter les rôles que nous avions tout en ayant un esprit « corporate ». En effet, nous étions tous à l’écoute les uns des autres et nous sommes mutuellement aidé dans les tâches que nous avions, surtout lorsque ces dernières étaient longues. Etant tous investis dans le projet, nous prenions toutes les décisions ensemble ce qui était important. Le rôle qui m’était attribué était celui de la production, j’ai donc usé de compétences organisationnelles principalement, de gestion et relationnelles. Enfin je considère que le management était aussi présent dans ce rôle, bien que, comme dit précédemment, nous étions tous présents dans le travail de manière égale.

3) Ce travail était différent de ceux réalisés précédemment et j’ai apprécié travaillé un thème qui me tient tout particulièrement à cœur de cette manière. Cette nouvelle expérience fût enrichissante puisqu’elle nous a permis de manier des outils et donc des compétences peu utilisées auparavant. Il a ainsi été prouvé que tous sujets peuvent être traités de plusieurs manières. J’ai particulièrement appris de l’interviewé qui a eu un parcours très atypique mais aussi des professeurs qui nous ont apporté cet enseignement.

4) Je pense avoir utilisé les ressources wiki entre 50 et 75% car nous nous y sommes référés plusieurs fois que ce soit pour les deadlines ou les étapes à mener qui y étaient expliquées mais aussi pour les liens mis qui nous ont servis à différentes reprises. Cependant, je ne pense pas avoir utilisé plus de 75% du wiki parce que je n’étais pas jardinier wiki et donc, par exemple, je n’étais pas en charge de télécharger nos différents travaux.

5) Je peux affirmé que ce cours a eu une réelle influence sur nos pratiques collaboratives puisque nous ne nous connaissions pas tous et c’était donc un vrai travail de groupe. De plus, nos rôles étant différents, nous étions tous impliqués et concernés par ce travail de manière personnelle. L’esprit de groupe a été essentiel. Nous avons proposés nos services afin de partager les connaissances que nous avions avec les autres et avons également profité de la connaissance d’autres groupes pour la transmission de savoir (par exemple sur les manières de filmer, en plus de l’aide déjà apportée sur le wiki).


François Pachy :

1)Avant ce cours, j’étais déjà persuadé que dans la société existaient et vivaient les questions liées à la performance durable. Je suis moi-même assez sensible à celles-ci. Mais j’étais néanmoins sceptique quant à la capacité des entreprises à s’en emparer et à les appliquer à elles-mêmes. À travers cette interview j’ai pu voir que la performance durable dans les entreprises n’était pas qu’une façon de faire de la communication. Sans généraliser à toutes les entreprises, le témoignage de Jacques Féret m’a convaincu de l’intérêt que portent les grands groupes à la performance durable.

2) En tant que journaliste, j’ai pu mener une interview, parler devant une caméra, choses que je n’avais jamais réalisées auparavant. Au-delà de réelles compétences, je pense avoir vécu des expériences qui permettent d’avoir une autre vision sur des sujets qu’à travers un cours classique.

3) Le parcours de notre interviewé était pour moi très enrichissant. Il nous a montré que les seuls diplômes ne permettaient pas tout, que la volonté et l’amour de son métier autorisaient chacun à s’élever dans l’entreprise et être fier de ce que l’on fait. Concernant les profs, je leur en sais gré de nous avoir fait travailler autrement.

4) Je pense avoir utilisé les ressources entre 50 et 75%, notamment pour le dossier de production, les façons de filmer, les sujets possibles. Ayant rapidement trouvé notre sujet et l’interviewé, nous n’avons pas trop exploré toutes les pistes. De plus, n’étant pas jardiner, je me suis assez reposé sur la personne qui l’était sans m’intéresser plus que ça au wiki.

5) Les compétences ont plutôt circulé pour notre cas avec des gens que l’on connaissait déjà avant le projet. Il est en effet plus facile de prêter quelque chose de valeur à quelqu’un en qui on a confiance et que l’on connaît. Néanmoins, cela nous a aidé puisqu’on a pu se procurer ainsi une caméra notamment.


Nil Amara :

1) Ce cours m’a avant tout permis de me former ma propre perspective du monde des affaires, et m’en a donné une vision multipolaire. Le monde des affaires et plus largement la société n’est qu’une palette de talents et passions diverses, le tout étant de pouvoir créer une alchimie parfaite de ces combinaisons afin d’obtenir un meilleur résultat pour notre société et la planète.

2) La symbiose d’idées et l’organisation à titre personnel ont été les fondements requis et acquis dans le cadre de ce cours. Mon rôle était de tenir à jour le wiki en parvenant à retranscrire notre travail en amont pour le proposer de manière cohérente sur la plateforme de partage mise à notre disposition.

3) C’est à vrai dire avec entrain que j’ai vécu cette expérience. J’ai beaucoup appris dans un premier temps du groupe avec lequel nous avons porté ce projet. Mais l’événement marquant de cette aventure reste notre interview avec Jacques Féret, technicien passionné et passionnant, qui grâce à ses travaux sur l’Hotel de région, la facture énergétique du bâtiment a pu être réduite de 25 %... Pari d'un technicien qui n'a qu'un BEP en poche. Ce fût une expérience humaine très enrichissante et instructive.

4) Les ressources wiki étaient très claires et bien fournies, en tant que jardinier du groupe je ne pense pas avoir rencontrer des difficultés particulières quant à son utilisation. J’estime donc en conséquence avoir utiliser pleinement (au delà de 75%) les ressources wiki et les différents liens associés afin d’obtenir un travail de qualité et complet.

5) Un travail de groupe n’est qu’une addition de spécificités. En cela nous étions mon équipe et moi à la fois complémentaires, autonomes et collectivement bien organisé. La mise en place du système de compétence a de plus permis un travail inter groupes afin de pouvoir rechercher les outils dont ne disposions pas. Et malgré la spécificité de nos rôles nous avons développé un élan d’entraide mutuelle afin de pouvoir à la fois toucher à tous les postes disponibles mais également nous entraider à la tâche.


Carine Roux :

1)Grâce à ce cours, j’ai pu m’apercevoir que le monde du business en général n’était qu’un ensemble de facteurs agissant les uns après les autres, allant de la phase administrative, légale à la phase productive, organisationnelle tout en passant par différents problèmes qui peuvent intervenir. Sur notre sujet qu’était la performance durable nous a permis de faire un reportage sur un sujet qui nous touche tous mais qui n’est pas encore assez pris en compte.

2) Pendant ce cours j’ai appris surtout le fait de travailler avec d’autres de manière organisée, chacun à sa place et chacun motivé pour que le rapport soit intéressant, ce qui est une bonne première image du monde de l’entreprise ou nous serons toujours confronté à travailler pour d’autres ou avec d’autres etc.. Mon rôle était d’être le caméraman, j’ai aidé aussi aux autres tâches afin d’être complètement dans le sujet, je pense avoir reconnu mes compétences organisationnelles, de polyvalence, d’écoute et de persévérance ? En effet un travail de groupe demande ces compétences car on ne travaille pas toujours quand ni comment on le veut mais de manière à satisfaire son équipe aussi tout en faisant le meilleur travail possible.

3) Cette nouvelle expérience m’a bien plu même si certaines tâches étaient difficiles à accomplir en un laps de temps devenu trop court, mais cela a été une expérience innovante dans ses manières de travailler, ce qui ne peut que nous ouvrir l’esprit un peu plus et nous familiariser avec d’autres modes d’opérations. De plus, cela portait sur un sujet différent à savoir le développement durable, sujet important et peut-être pas assez discuté, donc j’ai trouvé cela bien de travailler sur un nouveau sujet. J’ai appris beaucoup de l’interviewé évidemment, sur sa vie atypique, sa formation, ses envies et ses pensées, mais j’ai appris aussi de mes pairs car un travail de groupe représente une entreprise miniature où chacun a sa tâche et la réalise de telle ou telle manière, il y a une sorte de management qui se crée, grâce à laquelle les deadlines et les exercices sont respectés.

4) Je n’ai pas beaucoup utilisé les ressources wiki, car étant caméraman j’ai surtout regardé explications pour créer un bon film, les plans, coupes etc.. De plus j’allais sur le site pour vérifier les tâches à faire, les deadlines et aussi pour voir notre évolution de skems. Avec chacun notre rôle, le wiki a été assez exploité.

5) Ce cours à évidemment eu une influence sur nos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre de ce projet, car au sein de notre groupe nous avons appris à nous connaître et à travailler ensemble, cela nous a aussi permis de modifier des comportements ou des méthodes de travail qui n’étaient pas les bonnes et aussi nous a permis de se motiver pour d’autres que soi, comprendre que cela n’engageait pas que nous mais une équipe entière. Inter groupes, nous avons fait des échanges de savoir ce qui a été bénéfique à la fois pour eux et pour nous. Les compétences ont circulé soit par affinité au sein des groupes, soit via le site qui était mis à notre disposition sur des problèmes bien spécifiques.


Clémence Pol :

1) De l’élaboration de la vidéo jusqu’à son montage, nous avons été confrontés aussi bien à des difficultés légales que techniques. C’est grâce à cette pluralité des tâches et des difficultés que l’on retrouve également dans le business et la société elle-même que nous pouvons dire que ce travail nous a permis d’avoir une bonne compréhension du business ; et qui plus est de la société.

2)Pour commencer, j’ai beaucoup appris sur le sujet en lui-même, les économies d’énergie. Lors de l’interview, j’ai pu découvrir plein de choses qui m’étaient jusqu’alors étrangères. En plus de cela, j’ai pu beaucoup apprendre du travail de monteur. Même si celui-ci n’est pas directement relié à nos études actuelles. Sinon j’ai également appris du travail d’équipe et du partage des tâches. En effet, j’étais en charge de la post-production, il s’agissait pour moi de respecter ma place dans la chaine de travail et d’être à l’écoute des membres de mon équipe.

3)Très honnêtement, j’ai plus appris de l’interviewé, de mes pairs et de moi-même. Pour commencer, je manquais de connaissances concernant le sujet traité, j’ai donc commencé par apprendre de notre invité, Jacques Féret. Il nous a en effet bien expliqué la logique et le développement exact des travaux sur l’énergie. Ensuite, j’ai beaucoup appris de mes pairs avec qui j’ai travaillé en équipe du début à la fin de la vidéo. Nous avons conservé un esprit d’équipe et le partage des tâches. Pour finir, j’ai appris sur moi-même ou plutôt par moi-même lorsque j’étais en charge de la post-production. Même si j’avais déjà effectué quelques montages, je n’étais pas sure de moi et j’ai du continué à apprendre du montage, des logiciels et de la technique.

4) Je dirais que j’ai utilisé le wiki entre 50 et 75%. J’y ai eu beaucoup recours pour connaître l’emploi du temps exact et les différentes échéances. Mais j’en ai surtout fait l’usage durant le travail de post-production. Je me suis beaucoup aidée de la vidéo « essai ». Puis j’ai également beaucoup appris des différentes techniques de caméra et de montage, disponibles sur le wiki, que j’ai utilisé durant tout le travail de montage.

5) Je dirais que ce cours a eu une influence importante sur nos pratiques collaboratives. Il faut prendre en compte que nous avons travaillé ensemble, du début à la fin du projet, alors que nous nous connaissions pas tous, que nous ne suivons pas les mêmes parcours académiques et que pour cette raison, nous n’avons pas les mêmes emplois du temps. Nous avons donc du faire avec ces différences et ces divergences afin d’être efficaces ensemble. Nous n’avons pas lésiné sur le fait de dialoguer, de communiquer au sein du groupe pour partager nos connaissances mais aussi nos mécontentements pour qu’il n’y ait pas de conflits au sein du groupe, et que nous restions efficaces.


Caroune Demirdjian :

1) Ce cours m’a permis de réaliser l’importance de la performance durable dans le business. La responsabilité écologique et sociale des entreprises représente l’un des enjeux majeurs du monde du travail. Aujourd’hui, si dans les pays développés on constate une plus grande sensibilité des entreprises à la performance durable, les pays en développement notamment les émergents sont plus préoccupés par la croissance économique de leur pays que par son respect environnemental et social. Il faut donc une prise de conscience sociale dans ces pays pour une évolution au sein des entreprises.

2) Etant responsable du compte SKEM, j’ai appris à utiliser une banque virtuelle et à gérer un compte factice. J’avais comme responsabilité de publier les offres de notre équipe et d’acheter des services dont nous avions besoin. Ce système d’achat nous a permis notamment de louer une caméra ainsi qu’un micro ce qui nous a été vraiment très utile lors de notre interview.

3) J’ai beaucoup aimé apprendre à travers l’interview-portrait de Jacques Féret, meilleur ouvrier de France 2011 dans les services à l’énergie, que nous avons réalisé. J’ai trouvé très captivant et enrichissant de se renseigner sur un sujet à travers le témoignage d’une personne sur sa propre expérience. Grâce à cet interview, j’ai beaucoup appris sur les méthodes de formation des ouvriers du BTP ainsi que des managers des grandes entreprises de production énergétique.

4) J’estime avoir utilisé les ressources wiki entre 50 et 75% notamment pour me renseigner sur les enjeux de ce cours et pour la mise en problématique de notre sujet. Les informations sur la composition du dossier de production m’ont également beaucoup servi.

5) Ce cours a eu une influence sur la répartition et la prise de responsabilité de chaque membre de mon équipe. Même si nous avions chacun un rôle spécifique dans ce projet, nous nous aidions tous pour mener à bien le travail. Par exemple, même si je n’avais pas le rôle de la journaliste, j’ai participé à la rédaction de l’article WIKI. En ce qui concerne le compte SKEM, j’effectuais les transactions qu’après avoir consulté l’avis de chacun.

Feedback final du professeur[modifier | modifier le wikicode]

Votre thématique est trop large. Vous abordez trois thèmes différents auxquels vous n’apportez pas les réponses. Vous ne pouvez pas vous baser sur une seule source d’informations pour bâtir votre argumentaire. Pas assez de diversités dans votre approche qui est trop diffuse et pas suffisamment pointue. Cela donne l’impression que vous avez fait une interview et que vous avez ensuite établi votre thématique.
Les sujets abordés portent sur le management en général, sans liens très spécifiques avec la thématique. Beaucoup de généralités sur le management (exemple, lorsqu’il est question à deux reprises de sportifs de haut niveau).
Les questions sont trop peu pertinentes et sont centrées sur la personne interviewée plutôt que sur la problématique. Votre article apporte très peu de valeurs ajoutées et ne répond pas aux questions que vous vous posez.
Le présentateur hésite trop dans l’introduction. Vous auriez pu faire de nouvelles prises jusqu’à obtenir une présentation fluide. Le montage est brutal, des phrases sont coupées.
La caméra tremble par moment, on entend des bruits de fonds. Vous auriez pu davantage habiller le documentaire de musique.
La conclusion est sommaire. Le générique de fin est bien fait.




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