Comment Vinci fait elle pour allier une politique de développement durable (contraintes légales, environnementales, performance durable) à ses projet de développement routier dans son management d'équipe ?

De Movilab
Aller à :navigation, rechercher

Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :
Comment Vinci fait elle pour allier une politique de développement durable (contraintes légales, environnementales, performance durable) à ses projet de développement routier dans son management d'équipe ?


«En 2012, Vinci Autoroutes a continué à investir dans l’extension et la modernisation de ses réseaux, et a poursuivi sa politique de développement des services tout en optimisant ses performances opérationnelles.» Notre reportage va donc porter sur l’entreprise Vinci, leader des constructions routières en France. L’idée est de savoir comment Vinci manage ses équipes pour qu’elles soient sensibilisées par les problématiques environnementales et écologiques. Par ailleurs, elle s’est vue décerner le prix Pinocchio, dénonçant leurs conséquences environnementales et sociétales néfastes. À quelques jours de la cérémonie des Pinocchio, Vinci aura-t-elle convaincu les amis de la terre de ses progrès ?


Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]


Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]


Nous tenons à remercier chaleureusement Bernadette Moreau, Directrice Développement Durable et Qualité - Vinci Autoroute

Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

Comment Vinci manage-t-elle ses équipes pour qu’elles prennent en compte les nouvelles contraintes environnementales légales ainsi que des performances durables tout en développant son réseau routier ?

Aujourd’hui, il existe deux sources de pollution majeures qui sont l’industrie et le transport. Etant donné que le transport représente 48% des émissions de CO2 en France, nous avons décidé de nous focaliser sur les politiques environnementales que Vinci autoroute pouvait mettre en place pour allier une politique de développement et d’aménagement du réseau autoroutier avec une politique de développement durable dans le management de ses équipes.

Depuis une dizaine d’années, Vinci, le géant du transport, souhaite réellement devenir un acteur clé dans le développement durable. Elle a mis en place en 2010 le paquet vert autoroutier. Son réseau routier représente 4 363 km d’autoroute en France. Ainsi elle a choisi de se focaliser sur deux axes importants de développement durable : un axe sur tout ce qui est en rapport avec la construction du réseaux, et un axe sur l’utilisation au quotidien de ce dernier.

Pour tout ce qui est la construction du réseau, Vinci utilise différentes méthodes en adaptant leur construction en fonction des enjeux environnementaux rencontrés. Par exemple, lorsqu’un tracé d’autoroute se trouve sur un passage de migration d’une espèce animale, plusieurs méthodes peuvent être utilisées pour ne pas nuire à leur passage. Vinci met en place des tunnels de passage pour une sécurité optimale, ou elle déplace les animaux concernés dans le but de protéger et sauvegarder l’espèce. Concernant la flore, Vinci s’engage toujours à racheter des terrains pour réimplanter les espèces détruites lors de la construction d’autoroute. Il y a aussi une politique de protection des ressources en eau, mise en place en 2010. Par exemple, Vinci suit mensuellement les volumes d’eau utilisés sur chaque projet. Dans leur processus de construction, il y a aussi une utilisation de matériaux recyclés, avec une optimisation des déchets.

Vinci a une approche innovante de la problématique environnementale concernant l’utilisation des autoroutes puisqu’elle part du principe qu’un usager à un certain degré de tolérance face aux contraintes. Le développement durable ne doit excéder ce degré de tolérance, sinon il ne sera pas utilisé par la majorité des utilisateurs. De ce fait, Vinci a décidé de développer ses infrastructures pour limiter ces contraintes. L’utilisation par exemple de véhicules électriques est de plus favorisé, de nombreuses bornes de recharge rapide sont placées sur les aires d’autoroute, les parkings des locaux du groupe sont équipés de bornes de recharge. Vinci a aussi adhéré au programme en 2005 à « Abeille sentinelle de l’environnement », c’est un engagement contre l’utilisation de produits toxiques et de pesticides, pour la protection des plantes mellifères, et pour la promotion du rôle de l’abeille. Vinci sensibilise aussi les utilisateurs fréquents des péages en leur envoyant dans leur facture leur émission de CO2, et en favorisant l’utilisation du covoiturage.

En outre de toutes ses politiques environnementales, Vinci forme et sensibilise ses équipes à ses politiques dans un but de sensibilisation et de qualité. En effet depuis 2000 Vinci Construction Grand projet est certifié ISO 9001 et depuis 2004 elle a reçu l’accréditation ISO 14001. Ces deux certifications sont liées au système de management, avec pour ISO 14001 une focalisation sur le management environnemental. Ceci prouve que Vinci prend bien en compte le développement durable dans son management d’équipe. De plus, pour sensibiliser au maximum ses employés au développement durable, Vinci met en place la démarche QSE (qualité sécurité environnement), dont le but est de former encadrer le personnel et les sous-traitants afin de promouvoir et veiller au respect des règles en vigueur. En 2010 il y a donc eu 14 181 heures de formation à l’environnement pour les employés de Vinci Autoroute.

En dépit de toutes ces mesures mises en place, on peut se demander si Vinci met vraiment tout en place pour protéger l’environnement, ou si cela n’a vraiment qu’une portée médiatique ? En effet en 2012 Vinci s’est vu remettre le prix Pinocchio donneur, pour un projet dont le groupe est concessionnaire, il s’agit de l’autoroute Moscou-Saint Petersburg qui traversera la forêt de Khimki, abritant 1 000 hectares de chênes centenaires, bouleaux, lac, rivière, marécages sauvages. Les contraintes environnementales n’ont pas été entièrement prises en compte et la population se voit lésée par ce projet, ce qui nous montre que les actions mises en place par Vinci pour respecter la biodiversité restent très limitées.


Toutes les informations utilisées proviennent du site internet de Vinci Autoroutes http://www.vinci-autoroutes.com/

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

1) En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et plus largement de la société ?

Manon Debus-Pesquet : J’ai pu me rendre compte grâce à ce travail sur la performance durable au sein des entreprises, que quelque soit le secteur d’activité, cette notion de durable, de social et de responsabilité de chacun est très présente. C’est donc un élément qui fait son chemin au sein du business et plus largement au sein de la société si l’on en croit la multitude de projets sur ce thème.

Manuel Dupont : Ce cours ne m’a pas donné de nouvelle vision sur le business mais plutôt sur l’aspect développement durable de ce dernier. En effet J’ai pu voir que le développement durable au sein de l’entreprise prenait une part de plus en plus importante et faisait partie des décisions stratégiques d’une entreprise. En ce qui concerne la société j’ai pu voir que là encore le développement durable était au cœur des problématiques, et que chacun pouvait y prêter attention.

Alix Guenier : Ma compréhension du monde de l’entreprise a un peu évolué dans le sens où je comprends désormais mieux comment le développement durable est mis en place dans des entreprises qui au départ ne sont pas faites pour être écologiques. En effet ces entreprises fonctionnent avec le développement durable comme elle le font sur d’autres types de problématiques. On retrouve des processus très poussés qui ont pour but d’améliorer la maîtrise de l’écologie et ensuite un grand nombre d’indicateurs qui vont fournir des informations permettant ainsi d’améliorer les pratiques.

Lia Ianora : Ce cours m’a donné une nouvelle compréhension du business car j’ai pris conscience que la notion de performance durable était omniprésente, peu importe le secteur d’activité. De plus, je me suis rendue compte que la performance durable ne s’appliquait pas qu’aux entreprises mais aussi à la société, pour que celle ci continue de se développer tout en protégeant ses ressources.

Cécile Pradeau : Ce cours m’a permis de découvrir l’aspect développement durable dans le management au cœur des entreprises, certes je savais que cette problématique était importante mais je ne pensais pas qu’elle soit même appliquée dans le management d’équipe (Vinci réalise énormément d’heure pour former ses équipes au développement durable).

Marie Scontrino : Dans le contexte de la problématique abordée par mon groupe, la principale chose que j’ai retenue de cette expérience est l’effet de pression du groupe. En effet, en abordant le thème du développement durable on se rend rapidement compte que les entreprises mettent des mesures en place plus pour suivre la tendance et ne pas être pointées du doigt que parce qu’elles se sentent concernées par la performance durable d’un point de vue écologique.


2) Qu’avez-vous le plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez-vous formuler les compétences acquises ?

Manon Debus-Pesquet : Cela a ouvert ma curiosité sur ce sujet pour des entreprises, peut être que je prendrais en compte les projets qu’ont les sociétés pour postuler dans un futur job. Cela apprend aussi à s’organiser, à formuler clairement des questions pour être compris, aller droit au but pour être compris de la personne qui va regarder le reportage, et j’ai pu affiner mes compétences en montage

Manuel Dupont : Ce que j’ai appris dans ce cours est comment une entreprise pouvait mener son activité tout en faisant attention à l’impact environnemental qu’elle pouvait avoir. En ce qui concerne les compétences acquises, j’ai surtout appris à répartir les tâches entre les différentes personnes concernées au sein d’un groupe.

Alix Guenier : Je n’ai pas spécialement l’impression d’avoir développé des compétences particulières via ce cours mais je dirais que je me suis vraiment intéressé à un sujet particulier qui lui m’a donné une certaine image d’un modèle écologique en particulier. Cela m’a donc permis d’améliorer des connaissances.

Lia Ianora : J’ai pris conscience de l’omniprésence de la performance durable au sein des entreprises et des sociétés. Ce travail m’a permis de développer ma capacité d’analyse, notamment lors de la réalisation du support de l’interview, et de synthèse lors du montage.

Cécile Pradeau : J’ai appris des compétences techniques, tout ce qui est montage de vidéo. Tout ce qui est aussi en rapport avec la préparation et réalisation d’un entretien filmé. Je pense aussi avoir appris un peu plus sur qu’est le développement durable, car même si on le voit chaque année, et qu’on connaît la définition il y a toujours de nouvelle variable, ou de nouveau exemple mis en place par les entreprises.

Marie Scontrino : En tant que jardinière j’ai bien évidemment appris comment alimenter un wiki, mais également l’utilisation de Slide Share. En tant qu’élève, j’ai renforcé mon aptitude à travailler en groupe. De plus, nous avons pu apprendre de cette expérience qu’il faut toujours avoir un plan B et nous avons su nous organiser et nous remobiliser face à l’imprévu, chose qu’il ne m’était jamais arrivé lors d’un devoir.


3) Comment avez-vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De qui avez-vous le plus appris (de vos pairs ? de l’interviewé ? de vos profs ?) ?

Manon Debus-Pesquet : Au vu des délais j’ai vécu cette expérience comme un stress. N’étant pas dans les mêmes groupes nous avons eu du mal à trouver du temps pour travailler tous ensemble cela dit le projet reste très intéressant. J’ai appris le plus de mes pairs avec qui nous avons fait du bon travail je pense ainsi que de la personne que nous avons interviewé, très disponible.

Manuel Dupont : Je pense surtout avoir appris lors des recherches nécessaires pour notre interview ou pour notre rapport.

Alix Guenier : Le fait de se mettre dans la peau d’un journaliste était une approche intéressante et nouvelle. On cherche à mieux exposer un certain sujet et d'en comprendre l’ensemble des enjeux. Je pense que la personne dont j’ai appris le plus c’est l’interviewé en effet, elle a effectué énormément d’action dans le développement durable pour Vinci de ce fait elle avait énormément de connaissance à partager. Nous avons eu la chance de pouvoir discuter longuement avec elle, de ce fait elle a pu nous exposer de nombreux éléments différents.

Lia Ianora : Tout d’abord, je tiens à préciser que ce n’est pas une « nouvelle » méthode d’apprentissage pour moi. En effet, à l’IUT j’ai du aussi réaliser des projets de la sorte, faire des mini films, réaliser des interview etc. Néanmoins, comme nous l’avons signalé en amphi de clôture, avec le problème des délais, j’ai très mal vécu cette expérience. Pour ma part, c’était plus du stress et non du plaisir ! Néanmoins, je pense que j’ai beaucoup appris de mes pairs, car malgré les délais et nos emplois du temps différents, nous avons tout de même réussi à finaliser le projet.

Cécile Pradeau : J’ai plutôt bien vécu cette expérience d’apprentissage, certes les délais étaient courts et nous avions du mal à nous retrouver mais je pense que ce sera un peu le cas dans nos métiers futurs, donc il faut savoir s’adapter. Je pense avoir le plus appris de la personne et des recherches effectuées sur le sujet.

Marie Scontrino : J’ai trouvé ce projet très intéressant car il sollicitait de nombreuses connaissances que l’on n’a pas souvent l’occasion de mettre en place comme le montage vidéo ou le cadrage par exemple. Cette idée a éveillé notre imagination et notre créativité puisqu’il nous fallait donner vie à une problématique à partir d’un thème. Je pense avoir beaucoup appris de mon équipe qui est restée motivée et enjouée même lors des dernières minutes !


4) A quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés ? Qu’est ce qui a été le plus utile pour vous ? Si faible utilisation, pourquoi ?

Manon Debus-Pesquet : J’ai du utiliser les ressources du wiki moins de 25%. Je pense que cela est du au fait que je ne l’ai jamais utilisé, donc je n’avais pas le réflexe de le faire et le fait d’avoir un jardinier a surement joué puisque je me reposais sur elle pour avoir les informations utiles.

Manuel Dupont : Je n’ai pas forcément beaucoup utilisé les ressources de wiki. Je pense donc que cette utilisation est inférieure à 25%. En effet j’avais beaucoup de mal à trouver les informations que je cherchais. J’ai quand même pu découvrir certaines fonctionnalité de puisque j’étais le banquier de mon équipe.

Alix Guenier : Moins de 25%. Je ne m'y suis jamais rendu pour une raison simple qui est le manque de motivation pour apprendre à me servir de l’outil. J’ai aussi eu la chance de ne pas avoir d’obligation de m'y rendre. De mon point de vue pour que les personnes se rendent plus facilement sur Wiki, il faudrait qu’il y ait en quelque sorte une obligation de se rendre 30min dessus en fonction de notre poste. Le fait qu’on demande « qu’au jardinier » de s’y rendre n’est pas vraiment motivant pour que les autres s'y rendent.

Lia Ianora : J’ai utilisé les ressources de wiki moins de 25%, non pas parce que j ‘avais la flemme mais parce que m’étais 1h à trouver une information. Le wiki n’est pas clair, pas tout le temps fiable (cf tous les groupes supprimés suite à une mauvaise manipulation), et n’a pas une ergonomie des plus évidentes.

Cécile Pradeau : Inférieur à 25%, je n’y suis allée que pour voir les deadlines et la trame de l’article que nous devions faire.

Marie Scontrino : En tant que jardinière j’ai beaucoup utilisé le wiki (>75%) car je me suis vraiment servie de tous les tutoriels pour chaque rendu. Je ne peux donc pas choisir la rubrique qui m’a le plus aidé car je me suis servie de tout et à chaque fois. Les explications étaient claires et je n’ai pas eu de mal à mettre en forme notre page wiki.


5) Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui-ci ? Comment les compétences on-elles circulé ?

Manon Debus-Pesquet : A SKEMA nous avons énormément de travaux de groupe. En l’occurrence, mon groupe pour ce cours était je pense très équilibré tant niveau affinité que complémentarité. Je ne sais pas si on peut vraiment dire que mes pratiques collaboratives ont été influencées mais les travaux se sont très bien passés et nous avons été efficaces. Ensuite avec Facebook nous avons déjà l’habitude de collaborer entre nous et nous avons aussi utilisé cet outil là pour communiquer entre les groupes. Cependant, comme nous utilisons régulièrement les réseaux sociaux pour parler entre nous, l’utilisation de la banque de SKEMS n’est pas forcément un réflexe. On a plutôt tendance à échanger gratuitement juste pour s’aider.

Manuel Dupont : En ce qui concerne l’influence de ce cours sur les pratiques je pense qu’elle a été très faible. En effet nous nous connaissons déjà tous ce qui facilite les échanges. De plus la bourse de compétence a été utilisée à des fins plus matérielles que techniques.

Alix Guenier : Je pense que ma contribution principale a été d’apporter le contact qui nous a permis d’avoir une interview. J’ai aussi apporté l’ensemble du matériel qui a permis d’effectuer le film sauf un micro et un trépied. Les échanges avec l’équipe se sont fait de manière naturelle dès le départ puisqu’on se connaît relativement bien et nous avions déjà travaillé ensemble.

Lia Ianora : Etant donné que nous avons des travaux de groupes dans la plupart de nos cours, je ne pense pas que ce cours en particulier a eu une influence particulière sur nos méthodes de travail. Par contre, le fait d’avoir pu choisir nos groupes nous a permit de nous réunir par affinité, mais aussi en sachant qu’il n’y aurai pas de « passager clandestin». Ainsi, comme nous nous connaissions tous déjà, nous avons tout de suite pu repartir le travail selon les compétences de chacun.

Cécile Pradeau : Ce cours n’a pas eu d’influence particulière étant donné que nous travaillons beaucoup en groupe, et que nous faisons partie d’association, donc nous avons vraiment l’habitude d’échanger entre nous. De plus dans notre équipe nous nous connaissions tous depuis l’année dernière donc cela a facilité les échanges. Nous avons très peu utilisé la bourse de compétences, plus pour des apports matériels que technique.

Marie Scontrino : Les travaux de groupe sont monnaie courante chez Skema donc je pense que la méthode est acquise. Cependant il est vrai qu’il est plus agréable de choisir son groupe selon les affinités autant pour l’ambiance de travail que pour la communication qui s’en voit simplifiée. Concernant l’inter groupe j’ai surtout travaillé avec les jardiniers de quelques équipes car il est arrivé que l’on fasse certaines manipulations ensemble.


6) Quelles sont vos critiques et suggestions d’amélioration pour ce cours ?

Manon Debus-Pesquet : Il faudrait commencer le cours beaucoup plus tôt dans l’année car les délais sont trop justes, dès la rentrée si possible. Il faudrait un accompagnement plus présent à la formation de la problématique, des formations pour le montage et tournage car certains groupes se retrouvent désavantagés. Eventuellement que l’école prête du matériel car ce n’est pas évident non plus. Et je n’ai pas tellement apprécié aussi que les heures d’interview qui tombent sur les heures de cours ne soient pas des absences justifiées. Cela nous pénalise alors qu’on essaye de faire comme on peut.

Manuel Dupont : En ce qui concerne le cours, je trouve que les deadline sont vraiment trop courte. De plus les court en Amphi ce font seulement en vidéo conférence et cette dernière ne fonctionne que très rarement donc nous n’apprenons vraiment pas grand-chose. Un cours avec une personne physique et sans vidéo ou reportage à faire serait beaucoup plus intéressant.

Alix Guenier : J’ai deux suggestions. La première concerne la mise en autonomie des équipes. En effet l’idée de que les équipes se gèrent seules est bonne mais il faudrait favoriser leurs interactions. L’idée serait que certaines équipes puissent proposer des formations aux autres équipes sur des créneaux horaires aménagés spécialement pour. Ces formations permettraient d’obtenir des Skem. Plutôt que les gens le fassent de manière très informelle, cela deviendrait beaucoup plus formel et serait donc plus impliquant. La deuxième est de laisser plus de délais aux équipes pour effectuer l’interview et le montage. J’apprécie beaucoup le fait que ce soit un cours qui à la volonté d’être innovant. Il reste des choses à améliorer mais il s’agit d’un beau projet.

Lia Ianora : Comme nous l’avons souligné lors de l’amphi de clôture, les délais étaient beaucoup trop courts, surtout parce que ce n’était pas notre seul projet. Lorsque nous devons concilier plusieurs projets de groupes en même temps avec des délais pour certain trop cours, c’est juste infaisable. Ainsi, il faudrait parler de ce projet dès le début du semestre, puisqu’on puisse commencer petit à petit à penser à la problématique, rechercher des interlocuteurs et surtout pour qu’on puisse réaliser ce projet sereinement.

Cécile Pradeau : Je pense que les délais devrait être un peu plus long, et par rapport au amphi comme il y a eu un problème de connexion, nous n’avons pas pu suivre parfaitement le cours, je préfère personnellement des « vrais cours » plus que des cours en vidéo live car je trouve qu’il a beaucoup moins d’échange, et la qualité des vidéos lives n’est malheureusement pas encore parfaite…

Marie Scontrino : Ce cours est innovant et ludique, cependant, comme nous l’avons dit en amphi nous aurions pu nous y consacré pleinement s’il avait plutôt été prévu en début d’année. Les ressources sont adaptées et suffisantes, peut être le reportage pourrait-il être allongé jusqu’à 10 minutes ? Je sais que cela représente beaucoup pour les correcteurs mais nous avons été un peu frustrés de ne pas pouvoir intégrer certaines parties de l’interview de Madame Moreau qui était très intéressante. En conclusion, concept rafraichissant et stimulant et avec lequel on se laisse vite prendre au jeu !


Feedback final du professeur[modifier | modifier le wikicode]

Votre problématique est bien définie, elle est claire et aborde bien l’angle managérial.
Cependant, il est très étonnant de constater que votre reportage vidéo aboutit à une conclusion tout à fait différente de votre article journalistique. Pourquoi ne pas avoir abordé les mises en tension, le prix Pinocchio dans votre reportage vidéo ? La vidéo est avant tout descriptive avec une mise en valeur par l’entreprise elle-même.
Vous aviez bien démarré par une intro originale, c’est dommage que ce ne soit pas plus cohérent jusqu’à la fin du reportage qui au final, se concentre avant tout sur une seule interview. Quelques variations de son sont constatées.
Votre article journalistique reflète mieux votre analyse.

Soutenir Movilab

Vous pensez que nous allons dans le bon sens ? Si vous en avez l'envie nous vous invitons à nous rejoindre ou à faire un don.