Thème : Animation
Tags : Cartographie, Intelligence Collective, Animation, Agenda, Evenementiel, Coopération, Numérique, Tiers-Lieux, réseau, Accessibilité, Communauté, Compétences, Mobilisation, Charte, Territoire
Thème : Animation
Tags : Cartographie, Intelligence Collective, Animation, Agenda, Evenementiel, Coopération, Numérique, Tiers-Lieux, réseau, Accessibilité, Communauté, Compétences, Mobilisation, Charte, Territoire
Ajouter étape de développement Pensez à ajouter le commun sur la fiche de l'étape pour le rendre visible ici. Il faudra peut-être éditer/enregistrer le commun pour que ça apparaisse tout de suite sur cette page, sinon cela demande quelques minutes)
×
Annuler
Question formulée :
Comment faire pour que des bénévoles puissent s'investir dans l'association alors qu'il y a déjà des bénévoles dans nos activités ?
Prise de note :
Même problématique à l'épicerie gratuite, membres du bureau très présent donc du mal à aller chercher de nouveau bénévole. Il essaie de concentrer leur énergie sur les nouveaux bénévoles en trouvant des espaces d'expression pour qu'iels se sentent bien, on teste de donner des responsabilités aux personnes.
A Edulab même problématique, gros turn over car sur la fac.
Proposer un bénévole référent sur la semaine, et que tout le monde puisse y trouver sa place
Avoir un document sur lequel c'est visible de qui aimerait faire quoi, mais avoir une personne qui prend la charge de dire il faut que ça tourne pour que les mêmes personnes ne restent pas toujours au même endroit. Un rôle de médiation ? Obliger à laisser la place pour que tout le monde est la possibilité de développer les compétences, il y a une temporalité qui oblige à ce que ça tourne.
Des associations ont des modalités de présidence qui oblige à ne pas rester plus de trois ans, sinon il faut apprendre à la nouvelle personne à le faire, ça permet aussi de faire en sorte d'impliquer les nouvelles personnes. Être dans un systéme de transmission des compétences et des rôles, tu perds pas ton rôle mais tu le transmets.
Il y a déjà beaucoup de choses de faite pour intégrer les nouvelles personnes
Question c'est plutôt d'identifier les espaces où il y a du potentiel d'agir, il y a déjà du monde la dessus mais il y a de l'espaces par ici. Quelles opportunités sont possibles ?
Cela demande d'identifier les profils des personnes qui viennent, mais c'est un peu moins convivial car moins de possibilité mais c'est plus sur la question des espaces libres, donner des missions ?
Partage de fiches : ce que j'aimerais partager, ce que j'aimerais trouver, organiser des rencontres un peu comme une foire à l'emploi, et l'association met en lien pour voir si ça marche.
Avoir une grande base de données pour cartographier ce qu'il est possible de faire
La bulloterie ressource sur movilab, créer lors de nuit debout, s'organiser pour connaitre les compétences de chacun > lien avec le Groupe d'entraide de ESS Cargo & Cie ?
Synthèse :
> Il y a un vrai travail à réaliser sur les espaces où il y a de l'implication possible et comment on le donne à voir
> Ce qui vient mettre en avant le rôle essentiel des facilitateur.ices des tiers-lieux qui ont un rôle de médiation essentiel pour la dynamique bénévole Nombre de participant·es : 11
Question formulée : Comment lancer une communication qui inviterait à la participation ? Comment faire connaître, faire comprendre, faire aimer et faire participer à un projet ?
Contexte : L’équipe du tiers-lieu pédagogique de la BU centrale souhaite lancer une campagne de communication pour favoriser l’identification du lieu et la proposition d’ateliers par les étudiant.e.s.
Synthèse et formulation proposée :
1) Les moyens
Identifier des partenaires du territoire susceptibles d’être intéressé par le tiers-lieu
Plusieurs partenaires ont été évoqués:
-associations étudiantes
-formations porteuses de projets étudiants
-étudiant.e.s en VEE : projet d’engagement sur la proposition d’un atelier au tiers-lieu
Rituels et animations : les animations peuvent être des portes d’entrée pour les nouveaux arrivant.e.s. A l’EDULAB par exemple, les formations sont régulières, elles permettent d’initier à l’aspect technique du lieu. Ces animations sont représentatives du lieu c’est à dire à la fois uniques, régulières, identifiables et attractives. Elles peuvent être animées par une équipe d’étudiant.e.s.
Plusieurs formats ont été proposés :
-Formations et ateliers cours (différents de la programmation de la BU)
-Lecture collective – arpentage en cohérence avec l’activité de la BU et ses ressources.
Risque que l’espace collaboratif ne soit pas suffisamment identifiable vis-à-vis de la BU ?
-Slow life pour répondre à la recherche de sérénité par les étudiants. Le tiers-lieu pourrait proposer des temps pour se poser et faire ensemble.
2) La forme
Susciter l’engagement avec des messages comme « Faites de cet espace le vôtre ! »
Susciter l’expression Montrer que l’espace peut évoluer et qu’il est ouvert à différents usages. Une fois que les usagers ont formulé leur avis, il faut le respecter et le considérer dans la démarche du projet.
Question formulée : Quels types de projets pourrait on mener et comment les différentes structures pourraient s'y impliquer ?
Synthèse et solution proposée :
Prise de note :
Avec l’espace des langues il y a la possibilité de participer à un projet européen sur les différentes radios européennes qui proposent des chansons dans toutes les langues. Il y a un volet pédagogique et participatif.
Les associations étudiantes ont plusieurs temps forts dans l’année (Halloweek par exemple) peut-être qu’on pourrait se saisir de ces moments et que ce soit également des temps forts pour nos structures ?
Faire plus d’ateliers ensemble. Faire des projets à plusieurs en se répartissant les tâches permettrait de mettre en place des ateliers sans que ce soit une charge de travail plus élevée.
Temps fort sur un thème qui serait décliné par les structures participantes. Par exemple à la BU il y a la journée mondiale du recyclage. On pourrait envisager une programmation commune dans le cadre d’un thème.
Avoir des ressources et documents partagés, que l’on pourrait s’échanger entre structures. Cela permettrait de comprendre comment on fonctionne et d’aller plus loin (exemple comment est-ce que l’on accueille les étudiant·es en VEE).
A Saint Brieuc il y a des journées thématiques une fois par mois. Ce serait intéressant d’avoir une ou deux fois dans l’année une thématique commune qui fédérerait les tiers lieux. On agencerait en fonction des spécificités de chacune.
Les chercheuses et chercheurs présents souhaitent que l’on puisse également intégrer la dimension de recherche et pédagogique dans ces projets.
Au fablab quand un projet est mené on le documente, certains projets sont réutilisés dans d’autres régions, pays.. Mettre à disposition des ressources pour l’extérieur.
L’ESS cargo a déjà participé à des projets de recherche participatives sur l’impact et l’utilité sociale des tiers lieux notamment.
Si des recherches se font cela peut déjà être avec les chercheuses/chercheurs présents au sein du Groupe de Travail Tiers Lieux.
Il ne faut pas oublier que le campus est un lieu de recherches et d’enseignement mais également un lieu de vie pour les étudiant·es.
L’ESS cargo est ouvert sur le quartier et 80 % de son activité c’est de l’animation.
Nombre de participant·es : 14
Structures présentes : Espace des langues, Tiers-lieu SCD, ESS Cargo, Ty Maz, Edulab, Radio C-lab
Question formulée : J'aimerais que la communauté m'aide à trouver des moyens d'impliquer les usagers dans la co-construction d'événements.
Synthèse et solution proposée :
Contexte - La co-construction d'ateliers ou d'animations avec les usagers est constitutive des tiers-lieux. La question est posée en référence au tiers-lieu pédagogique de la bibliothèque universitaire centrale mais permet l'échange de pratique des participants. Le Tiers-lieu vient d'ouvrir ses portes et les ateliers donnés n'ont pas attiré les étudiants. Il s'agit de réfléchir aux moyens de faire connaître le lieu et d'inciter les usagers à participer à sa programmation.
Prise de note :
Un bilan a été fait au Tiers-lieu de l'Espace des langues. Les demandes des étudiants étaient les suivantes : plus de régularité car le moment ne convient pas forcément aux usagers, participation des étudiants dans l'animation. Pour communiquer efficacement, bien expliquer aux différents mouvements étudiants qu'il s'agit de proposer des choses POUR les étudiants.
Les étudiants peuvent penser qu'ils n'ont pas leur place dans ces lieux du campus. L'Edulab a proposé un week-end de découverte animé par les étudiants. Les étudiants ont des idées : il s'agit de les inciter à les formuler, et de les accompagner dans la réalisation de leurs projets. Utiliser leur langage et proposer des moments de convivialité sont des éléments essentiels. C'est mieux d'éviter d'être trop formel, d'utiliser le tutoiement... Il s'agit d'échanger. Les usagers peuvent être guidés dans leur initiative et pas trop contraints par des interdits.
IDENTIFICATION DU LIEU
Le tiers-lieu doit être identifié comme un lieu où des activités sont organisées, notamment proposées par d'autres usagers et où chacun peut trouver sa place. Il faut souligner la possibilité de chacun de participer aux animations. L'ESS Cargo propose un grand panneau, à l'extérieur du bâtiment, avec la programmation de chaque semaine, mais aussi une partie présentant la possibilité de proposer ses idées (vous avez un projet ? Proposez vos idées....). Un tiers-lieu peut aussi donner à voir ce qui a déjà été fait.
Il est utile d'aller vers les étudiants en leur proposant des temps de visite, ou des espace games et des concours qui contribuent à les faire venir dans le tiers-lieu. Un parcours type peut aussi être présenté aux étudiants. La vidéo faite par le service communication sur l'étudiant qui visite le campus pourrait servir de modèle pour visualiser les tiers-lieux.
L'identification passe aussi par un logo (visibilité de l'extérieur), et par le lieu choisi. Le Ty Maz de Saint-Brieuc est au coeur du campus et permet donc une meilleure visibilité. Il est aussi multi-activités, ce qui peut attirer des étudiants différents (culture, solidarité, développement durable, cuisine, pédagogie...).
Avoir une identité c'est aussi avoir un nom. Le "tiers-lieu" pédagogique ou non, n'est pas parlant. L'ESS Cargo s'est doté d'un champ lexical spécifique (escargot, salade avec la Salle Ade, salicorne...). Les jeux de mots peuvent aussi contribuer à attirer l'attention des usagers. Le Ty Maz propose les Tyz commandements (les lieux tu respecteras, au baby-foot tu joueras...). Une solution peut être de demander aux étudiants de proposer des noms, mais il faut déjà qu'ils comprennent bien ce qui peut se faire dans le lieu concerné. La charte est utile dans ce cadre : identifier ce qu'il est possible de faire dans le tiers-lieu, ce qui s'y est déjà fait, ce qui est autorisé (parler à voix haute), les différents usages possibles.
CRÉER DU LIEN
Pour créer du lien avec les usagers, il faut pouvoir les écouter, discuter avec eux. Au fur et à mesure, la personne référente se fait connaître et les étudiants peuvent plus facilement lui parler de leurs projets. Il s'agit aussi d'impliquer les usagers (vous avez des photos de l'activité ?), de les mettre à l'aise (présence d'un animal de compagnie). Le lien doit être entretenu pour perdurer. Il faut aussi penser à utiliser des systèmes d'inscription simples (QR codes ?).
L'ESS Cargo propose aussi une permanence hebdomadaire qui accueille les étudiants et qui peut les aider à organiser leurs projets.
Le lien avec les autres services de l'université et les associations étudiantes permet aussi de mieux faire connaître le lieu. Le réseau peut ainsi s'agrandir et mobiliser davantage. Des activités peuvent aussi se faire "ensemble" pour avoir une plus grande résonance. Des étudiants référents existent dans certaines formations. Il est possible de demander la liste des étudiants référents aux enseignants responsables des formations ; ils sont des bons relais d'information auprès des autres étudiants.
MOTIVATION
Lier les activités aux enseignements peut être un élément fort de motivation. Les étudiants en master création numérique se sont réunis deux jours pour créer ensemble un projet, et devaient y travailler tout le semestre avec les enseignants, mais l'implication a diminué au fil du temps car ce n'était ni noté ni validé. L'Edulab a pris quelques étudiants en VEE. Ces étudiants sont motivés car ils agissent pour quelque chose qui leur tient à cœur et cela est aussi validé dans leur formation. La difficulté posée par les VEE est le besoin d'une personne qui accueille et accompagne l'étudiant, puis valide l'UE.
Les liens avec les enseignants peuvent donc être moteurs mais il paraît utile de croiser ce lien avec la vie étudiante. Le tiers-lieu doit permettre aussi de "s'évader" hors des cours.
Il est possible aussi d'engager des étudiants en service civique : ils reçoivent une rémunération, valident un engagement et suivent leurs cours. L'ESS Cargo aménage leur emploi du temps. Ces étudiants en service civique sont les plus à même d'inciter les autres étudiants à venir dans le tiers-lieu.
Une activité cuisine peut être par exemple un élément déclencheur pour que les étudiants repèrent le lieu. Pour s'appuyer sur une journée mondiale, un panneau peut l'afficher, être visible de l'extérieur et appeler les étudiants à proposer leurs projets ou leurs idées.
Répondre aux besoins exprimés par les étudiants, à leurs souhaits d'engagement, c'est l'objectif. Mais la prise de risques permet de leur faire découvrir de nouvelles choses.
COMMUNICATION
Le papier est encore apprécié. Les flyers sont pris et regardés par les étudiants : ils sont répartis sur les tables, au CROUS... Les sondages sur Instagram sont aussi très utiles pour impliquer les étudiants. Le site est peu regardé par les étudiants, si ce n'est pour faire des recherches, "les nouvelles de Rennes 2" n'est pas connu, pour Rennes 2 les étudiants consultent plutôt le service communication que les réseaux sociaux de la BU.
Nombre de participant·es : 11
Structures présentes : Espace des langues, Tiers-lieu SCD, ESS Cargo, Ty Maz, Edulab, Stagiaire (x1)
Créer une cartographie des Tiers Lieux du campus de l'université Rennes 2 et avoir une identification physique (ex. marquage au sol)
Donner de la visibilité aux Tiers-Lieux : le "Village des Tiers-Lieux" lors d'événement comme la Campus Week ou les JPO
Concevoir un réseau des Tiers-Lieux de l'enseignement supérieur
Partir des besoins des usagers : projet d'un chatbot, FAQ
Proposer un format permettant l'interconnaissance entre Tiers LieuxIl manque un support pour identifier les Tiers-Lieux du campus pour renseigner les usagers selon leurs besoins et projets. L'idée d'un chatbot a également été évoquée pour avoir une entrée par besoin de l'usager et moins par l'offre proposée par les Tiers-Lieux Il serait intéressant d'identifier un représentant des Tiers Lieux de l'université Rennes 2 auprès notamment de Bretagne Tiers Lieux.
Il faudrait mieux communiquer sur la dimension d'ouverture aux différents publics et sur ce que chaque tIers-lieu propose. La question de la communication sur le site internet de Rennes 2 : avoir une entrée "le réseau des Tiers-Lieux" ? Avoir un agenda collectif pour communiquer sur les événements. Il faudrait aussi localiser les Tiers lieux sur le campus : logo/signalétique/marquage au sol
Envisager un travail commun, une réflexion avec d'autres Tiers-Lieux d'universités, d'enseignement supérieur.×
Créer un document avec un fichier ou du texte
Mutualiser les moyens
Décrire un tiers-lieux
Ajouter un défi
Raconter une rencontre
Créer une page de texte libre
Annuler
Vous pensez que nous allons dans le bon sens ? Si vous en avez l'envie nous vous invitons à nous rejoindre ou à faire un don.