Air France et le développement durable

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Notre problématique porterait sur l’importance d’impliquer les salariés d’une entreprise qui a pourtant une activité polluante (Air France par exemple) dans la réduction de celle-ci. En effet, aujourd’hui nous ne pouvons pas nous passer des compagnies de transport et pourtant ces entreprises font parties des plus polluantes au monde (émission de CO2, gaspillage en eau, …). C’est la raison pour laquelle notre problématique serait :


Dans quelle mesure une compagnie de transport, Air France, qui a une activité polluante, peut elle réussir à réduire ses coûts en émission de CO2, en gaspillage d’eau, ect? Comment arrive-t-elle à sensibiliser ses salariés sur ces domaines ?


Notre dossier de Production[modifier | modifier le wikicode]

Fichier:Dossier de Production groupe 72.jpg


Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]

Pour des raisons de confidentialité, nous ne pouvons insérer notre reportage sur ce Movilab. Cependant, nous tenons à remercier chaleureusement Madame Aurélie Flouret, chargée du développement durable pour la partie industrie de Air France, pour sa gentillesse et le temps qu'elle nous a accordé.


Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

  • Comment Air France, en impliquant ses salariés, arrive à réduire son impact environnemental ?

Aujourd'hui, avec l’évolution de nos sociétés occidentales, du commerce de plus en plus internationale et du désir croissant de parcourir le monde, l’avion est devenu LE moyen de transport incontournable pour les trajets de plus de 500km. Quand hier nous utilisions l’avion essentiellement pour voyager d’un continent à un autre, aujourd’hui il est de plus en plus fréquent de prendre l’avion pour faire un Paris-Marseille. Air France est la plus importante compagnie aérienne française et dispose d’une notoriété dans le domaine qui nous amène à s’interroger sur sa politique interne. D’autant plus qu’Air France a récemment intégré dans sa labellisation une partie développement durable. Mettre en place une politique de développement durable ce n’est pas s’intéresser uniquement à l’environnement. En effet, lorsque l’on parle du développement durable, il faut prendre en compte les 3 aspects : environnement, social/sociétal et économie/gouvernance. A travers l’interview d’Aurélie Flouret, nous nous sommes particulièrement intéressés aux aspects environnementaux et sociaux.


  • Air France & le développement durable

Tout d’abord, l’idée d’Air France est de réduire autant que possible l’impact environnemental de l’entreprise. Ceci passe par un programme mis en place par l’entreprise dont les objectifs sont fixés par la Direction Générale : réduire la consommation d’eau, les consommations liées au chauffage et l’électricité, les déchets industriels dangereux. Pour atteindre ses objectifs, Air France a lancé différentes actions comme la construction de bâtiments en respectant les critères Haute Qualité Environnementale (HQE) [certification du « bâtiment Equinoxe » d’Orly], la réduction des émissions de Composés Organiques Volatiles (COV) à Air France Industries grâce à l’utilisation de peinture à base d’eau et enfin le lavage à l’eau des moteurs permettant de réduire leur consommation de carburant et les émissions de CO2.

Aussi, Air France a toujours chercher à promouvoir une politique de RH responsable, c’est-à-dire assurer l’employabilité du personnel, assurer sa formation et également son bien-être au travail. Air France contribue activement au développement local en travaillant avec les CFA pour avoir des élèves en apprentissages venant de la région afin de les former et de pouvoir les embaucher par la suite. Pour développer l’aspect social de sa politique de développement durable, la DGI d’Air France a fixé plusieurs objectifs : Réduire le nombre d’accidents au travail avec arrêt, construire une gestion prévisionnelle des emplois et des compétences partagée et encadrant la construction de parcours professionnels, fixer à environ 45h le nombre moyen d’heures de formation par salarié et enfin stimuler le nombre de PIQ émis.


  • Mais qu’est-ce que les PIQs ?

PIQ : Programme Innovation Qualité est une des actions lancées par la DGI pour réaliser les objectifs fixés en termes de développement durable social. Les PIQs ont une dimension participative ; grâce à eux les salariés d’Air France peuvent faire part de leur innovation créative. Les salariés font connaitre leurs bonnes idées pour qu’elles soient utiles aux autres salariés. Les PIQs permettent à Air France se s’inscrire dans une dynamique de progrès permanent orienté vers la satisfaction du client et des parties prenantes, se démarquer de la concurrence et inscrire réellement l’entreprise dans un développement durable. Ce programme PIQ a permis d’accélérer les dynamiques de progrès : en 2012, le programme PIQ c’était 21 millions d’euros de valorisation économique. Les PIQ ont permis d’améliorer l’environnement, la santé et la sécurité au travail, de développer le réflexe de coopération entre différents métiers en interface et enfin donner l’opportunité aux salariés de participer à l’atteinte des objectifs et des résultats d’Air France dans des conditions favorables au développement de l’esprit d’initiative et la créativité.

Ainsi, nous avons pu constater qu’Air France mène une réelle politique de développement durable sur les 3 aspects que comporte ce dernier. Aujourd’hui, lorsque l’on observe le contexte économique mondial, on peut se demander si Air France va réussir à maintenir cette politique qui semble novatrice et déjà bien développer. En quoi consistera la politique de développement durable mise en place par Air France dans 10 à 20 ans ?


 

Learning Log[modifier | modifier le wikicode]

En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général? Et plus largement de la société ?


  • Mathilde : Je n’ai pas vraiment remarqué que ce cours devait m’apporter une nouvelle compréhension du business. Grâce à notre sujet et aux vidéos des autres groupes, j’ai pu constater que les entreprises étaient vraiment sensibles au développement durable même si d’extérieur elles ne le montrent pas tant. Je pense qu’aujourd’hui les entreprises sont plus ne avances sur les questions de développement durable que la société et les gens qui la composent.
  • Clara : Ce cours m’a permis de comprendre qu’en tant que future manager d’une entreprise, la problématique du développement durable était un enjeux actuel sérieux dont nous nous devons d’en être ambassadeur et de les véhiculer au sein de notre entreprise. Plus largement dans la société, il en est du devoir de chacun de continuer les petits gestes du quotidien qui contribuent à la préservation de notre planète et à son bon fonctionnement.
  • Charles : Au travers de nos différents travaux, ce cours m’a permis de me rendre compte que les questions de développement durable occupaient une place de plus en plus importante dans la plus part des entreprises et secteurs d’activités (grande consommations, transport, luxe etc.). Concernant la société, il me semble qu’au travers des différentes vidéos on constate une prise de conscience qui s’installe, même si un certain scepticisme persiste quand à la sincérité des entreprise dans les actions qu’elles mènent.
  • Amandine : Ce cours m’a permis de découvrir par moi-même le fonctionnement interne d’une entreprise : son rôle, son but, comment elle arrive à faire accepter ses idéaux au sein de son entreprise et comment elle arrive à inscrire sa politique par rapport aux autres entreprises. De plus ce cours m’a permis de découvrir l’importance que prend le développement durable au sein de notre société. Dorénavant, le développement durable n’est plus qu’un problème environnemental, c’est aussi un enjeu sociétal, économique et politique. Enfin, j’ai pu découvrir l’importance que doivent accorder les managers à ce domaine.
  • Chloé : Ce cours m’a permis de comprendre comment une entreprise parvient à sensibiliser ses salariés à une cause qui nous concerne désormais tous : le développement durable. J’ai également appris que dans le monde de l’entreprise, tout comme dans la vie de tous les jours, les êtres humains ont besoin d’avoir sans cesse des retours sur investissement, que malheureusement l’altruisme est rare même pour une cause qui aura des impacts notre futur : le respect de l’environnement. J’ai également appris que la concurrence entre les entreprises est présente dans tous les domaines (pas seulement au niveau des prix mais également sur l’image que renvoie l’entreprise) et que certains efforts sont nécessaires mais pas suffisants pour faire la différence avec des concurrents.
  • Jérémy : Notre approche de la société Air France fut réellement intéressant. J’ai pu me rendre compte de l’organisation d’une grosse société. Mais plus intéressant fut notre entretien avec Mme Fleuret, vraiment concerné par le developpement durable.


Qu'avez-vous ls plus appris dans le cadre de ce cours? Pouvez-vous formuler les compétences acquises ?


  • Mathilde: En tant que journaliste je n’ai rien appris de réellement nouveau. J’ai surtout appris des choses sur le sujet que nous avons traité.
  • Clara: Dans le cadre de ce cours, j’ai appris de façon concrète comment une grande entreprise telle que air France approchait cette problématique de développement durable.
  • Charles: J’ai, par ce cours, appris les différentes actions qu’Air France met en place dans son programme de développement durable.
  • Amandine: Même si je savais que le développement durable ne touchait pas que le secteur environnemental, à travers notre reportage, j’ai appris comment Air France développait le développement durable dans les secteurs sociaux, économiques et environnementaux.
  • Chloé: Dans le cadre de ce cours j’ai surtout appris à pallier aux aléas de la vie (embouteillages, report de rendez-vous, retard…) et que finalement même si tout semble bien programmé, tout ne se passe pas comme on le prévoit. J’ai également appris que le développement durable sera une problématique à laquelle nous serons plus confrontés que nos parents une fois dans la vie active.
  • Jérémy: En tant que jardinier, j’ai appris les premières bases du « codage informatique », du moins a la mise en page du page wiki. J’ai clairement adoré.


Comment avez-vous vécu cette nouvelle expérience d'apprentissage? De qui avez-vous le plus appris (de vos pairs? de l'interviewé? de vos profs ? ...) ?


  • Mathilde: Je n’ai pas forcément apprécié le fait que l’on doive faire une vidéo sur laquelle nous sommes évalués, nous sommes en école de commerce, pas de cinéma, tout le monde ne sait pas monter une vidéo de qualité et nous n’avions pas le temps de vraiment apprendre à maîtriser ce genre d’outils. J’ai le plus appris de l’interviewée dont le discours était très intéressant d’une part sur le sujet de notre vidéo mais aussi sur les informations plus personnelles qu’elle a pu nous donner.
  • Clara: Cette nouvelle expérience d’apprentissage est innovante même si j’ai eu du mal à comprendre l’intérêt de nous demander de monter une vidéo et d’être aussi exigent sur sa qualité, cela n’est pas dans nos compétences et n’est pas une compétence nécessaire à notre avenir je pense. J’ai appris le plus de l’interviewé, Madame Aurélie Flouret, responsable du développement durable chez Air France. Elle nous a apporté beaucoup d’informations intéressante que j’ignorais totalement.
  • Charles: J’ai trouvé cette nouvelle expérience d’apprentissage assez innovante et stimulante. Cependant il est vrai que le fait de devoir faire une vidéo me semble inapproprié compte tenue de notre formation commerciale. En effet j’étais personnellement en charge du montage vidéo et j’ai passé des heures à apprendre à me service d’un logiciel de montage vidéo, chose qui ne me servira surement plus jamais ! Je pense donc avoir le plus appris de par moi-même en essayant de maîtriser des outils de montages vidéo.
  • Amandine: Sur le fond, cette nouvelle forme d’apprentissage m’a plu. Cela nous a permis de découvrir par nous même les politiques de développement durable mises en place au sein d’une société. De plus, on était vraiment acteur de ce cours et on a pu s’orienter dans les secteurs qu’on voulait. Par ailleurs, la personne qu’on a interviewé nous a énormément appris de choses. Nous sommes restées une heure à ses côtés et cette rencontre a été très enrichissante et professionnalisante. C’est elle qui m’a appris le plus de choses au sein de ce cours. Néanmoins, sur la forme, j’ai été déçu. En effet, on nous a demandé de faire un montage vidéo sauf que la plupart d’entre nous n’a aucune expérience en cette matière. Au sein de notre groupe, notre monteur a passé beaucoup de temps sur ce montage et malheureusement le résultat n’est pas à la hauteur du travail qu’il a fourni. Ainsi, notre vidéo perd de la pertinence parce qu’on n’est pas expert dans la matière du montage vidéo. De plus, cela nous pénalise vis-à-vis d’autres groupes qui ont d’excellents monteurs au sein de leur équipe. Enfin, à l’amphi de présentation de ce cours, le professeur a énormément insisté sur les droits d’auteurs, les droits à l’image en nous disant qu’il serait intransigeant à ce sujet et je trouve ça dommage que le message ne soit pas passé au sein du corps professoral. En effet, lors de l’amphi de clôture, une vidéo comportait plusieurs musiques connues et le professeur n’y a pas accordé une grande importance, c’est un élève qui lui a fait remarquer ceci.
  • Chloé: Je n’ai pas très bien vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage bien qu’elle soit plus ludique que de simples cours magistraux. En effet, je n’ai pas compris pourquoi on attendait un montage de qualité de la part d’étudiants en école de commerce. Certes, le fait d’avoir une certaine aisance en montage de vidéos est une qualité mais je ne pense pas qu’elle soit absolument nécessaire chez de futurs managers. En d’autres termes, j’ai un peu de mal à comprendre pourquoi nous sommes notés et surtout comparés sur un montage vidéo, chose que nous ne serons certainement pas amenés à refaire. Je pense que la rédaction d’un dossier nous aurait demandé moins de temps de mise en page ce qui nous aurait permis d’étoffer le contenu de notre travail et surtout l’étendue de notre savoir au sujet du développement durable. De plus je trouve cela dommage que vous ayez sélectionné parmi les meilleures vidéos celle d’un groupe qui n’a pas respecté les consignes (respect des droits d’auteurs) tandis que d’autres groupes (comme le mien) se sont démenés pour rester dans le cadre de celles-ci. J’ai néanmoins beaucoup appris de la personne que nous avons interrogée. Je l’ai senti passionnée par le sujet qui est aussi son domaine de travail. J’ai pris beaucoup de plaisir à l’écouter et à apprendre de son expérience et de son savoir.
  • Jérémy: La liberté dans le travail a été une vraie jouissance personnelle. J’ai appris tout seul, avec les nombreux sites internet, en particulier les pages d’aide de wikipédia. Je me suis littéralement éclaté.


A quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés (inférieur à 25%, entre 25 et 50%, entre 50 et 75%? Au-delà de 75%)? Qu'est-ce qui a été le plus utile pour vous? Si faible utilisation, pourquoi ?


  • Mathilde: Pour mon travail de journaliste, j’ai utilisé moins de 25% des ressources du Wiki. Ce qui m’a été utile étaient les consignes mises en ligne sur le wiki. Je n’avais pas besoin d’aller sur le wiki pour trouver des informations en lien avec notre sujet car la personne que nous avons interviewée nous a donné assez d’informations. J’avais juste besoin de connaitre les consignes pour la rédaction de l’article.
  • Clara: Etant banquière je pense avoir utilisé les ressources du wiki entre 25% et 50%. Pour ma part, ce qui a été le plus utile est le planning sur la page d’accueil. Il était très clair avec les liens des travaux à rendre quand il le fallait, cela nous a permit de toujours respecter les délais. Je ne sais pas si le site http://skem.skema.edu rentre dans les ressources du wiki mais je n’ai pas vu d’autre utilisation au wiki que le planning et ce site internet par rapport à mon rôle dans ce projet.
  • Charles: Mon rôle étant le montage vidéo, je ne me suis rendu sur le wiki seulement pour les explications et pour m’informer des différentes échéances. Je pense donc avoir utilisé le wiki à moins de 25%, même si celui-ci été très bien fait et facile d’utilisation.
  • Amandine: En tant que cameraman au sein de notre groupe, j’ai très peu utilisé le wiki. J’y suis allée pour toute la partie qui concernait les droits d’auteurs et les droits à l’image mais je n’y ai pas fait d’autres recherches. J’estimerai mon utilisation du wiki à moins de 25%. Cependant, il est vrai que le wiki est très facile d’utilisation et je n’ai eu aucun problème à l’utiliser.
  • Chloé: En tant que chargée de production, je n’ai pas été amenée à beaucoup utiliser le wiki.
  • Jérémy: Je pense avoir utlisé 50% du wiki, voire moins, parce que je pense qu’il est tellement vaste que je n’en ai même pas un aperçu global. Je ne me suis bien inspiré des technique de codage et mise en page des pages précédemment ancrées dans le wiki.


Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d'un projet comme celui-ci? Quel a été l'apport de la bourse de compétences? Comment les compétences ont-elles circulé ?


  • Mathilde: Ce cours n’a eu aucune influence sur mes pratiques collaboratives. Il m’a juste permis de trouver une idée d’innovation pour le cours de marketing. Je n’ai pas pu développer de nouvelles compétences, dans notre groupe chacun avait ses propres qualités et faisait bien son travail. Nous nous donnions des conseils plutôt sur le fond de notre sujet que sur la mise en forme.
  • Clara: Je n’ai pas l’impression que ce cours ai eu une influence sur mes pratiques collaboratives. En effet, le faite d’échanger des compétences réciproques avec d’autres est venue naturellement. Nous avons forcément des besoins et des capacités à partager. Le principe de skembank était simplement de le rendre concret par la monétisation des échanges.
  • Charles: Je ne pense pas avoir spécialement amélioré mes capacités de travail en groupe. J’ai simplement pu me rendre compte de l’importance des rendez-vous de groupe dans un tel projet afin de faire un point à chaque étape et pouvoir travailler efficacement.
  • Amandine: Ce cours n’a pas eu d’influences particulières sur mes pratiques collaboratives dans le cadre d’un projet. En effet, à travers mes études j’ai été confronté plusieurs fois au travail de groupe. J’ai donc l’habitude de travailler en groupe et la plupart des travaux que nous rendons à Skema, sont des travaux de groupe. J’ai donc rien appris dans ce domaine. Néanmoins par l’intermédiaire de ce cours, nous avons pu choisir nos groupes, on a donc fait des groupes par affinités ce qui a facilité l’entente, les remontées d’information et les collaborations.
  • Chloé: Etant donné le nombre de travaux en groupe qui nous est demandé à Skema, ce cours ne m’a pas beaucoup appris sur mes pratiques collaboratives. J’ai simplement pu constater l’hétérogénéité des compétences chez des étudiants appartenant pourtant à la même école (certains étaient à l’aise face à la caméra, d’autres aimaient l’informatique, d’autres ont une certaine aisance orale quand il s’agit de négocier des rendez-vous…). Et cette différence de compétences est vraiment enrichissante dans la mesure où nous avons tous appris des uns des autres.
  • Jérémy: La bourse était une bonne idée, mais clairement inutilisable. C’est compliqué de vendre des services à des amis, car mine de rien les échanges ne se font qu’entre amis. Et puis parfois on a tout sur nous alors bon. De mon point de vue, les compétences ont tourné autour d’un café à une pause entre deux cours. En ce qui concerne les pratiques collaboratives, rien n’a particulièrement changé.

Commentaire du professeur[modifier | modifier le wikicode]

Sujet très spécifique, très bonne investigation pour y répondre. L'article wiki est assez semblable au contenu de la vidéo malheureusement.

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