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Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :
Comment allier la consommation collaborative à un enjeu de développement durable comme la prévention des déchets ?

Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

Lien vers notre dossier : http://fr.slideshare.net/valentinmauroy5/dossier-production-groupe-31-41227997

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]


Nous tenons à remercier chaleureusement Jean-Philippe Allain, co-fondateur de la machine du voisin.

Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

Introduction

Aujourd’hui, d’après l’Ifop, 77% des Français ont déjà eu recours à la location ou à l’achat de biens auprès de particuliers. Quels sont donc ces sites qui nous permettent de partager des services et des produits librement ? Airbnb, la plateforme d’hébergement reliant des particuliers du monde entier pèse actuellement 7 milliards d’euros et séduit aujourd’hui 4 millions d’utilisateurs. Blablacar quant à elle, met en relation, depuis sa création, 10 millions d’utilisateurs et a encaissé un chiffre d’affaires de plus de 10 millions d’euros en 2013. Sûre de son succès, la plateforme a réussi à lever 100 millions de dollars pour l’année à venir. Le succès des plateformes collaboratives n’est donc plus à démontrer.

Approfondissement de notre choix de problématique

En tant qu’étudiants, nous sommes sensibilisés à l’enjeu écologique qui est aujourd’hui indissociable du management de toute entreprise et de notre quotidien. Pour cette raison, nous avons voulu soulever un problème que nous retrouvons à la fois dans notre vie privée et la vie entrepreneuriale. Nous avons donc choisi d’étudier cette question sous l’angle de l’économie de partage. En effet, l’aspect écologique est plus facilement observable dans les plateformes collaboratives qui l’utilisent comme un outil commercial. Cette problématique a émergé suite à la lecture de l’article Bienvenue dans l’économie du partage, le pays où la vie est plus share de GQ, remettant en cause la dimension écologique des plateformes collaboratives au profit de l’aspect économique : « 80% des "partageurs" ont une motivation économique, et seuls 15% ont une démarche écologique » (Norine Raja et Nicolas Santolaria). Pour cette raison, nous avons cherché à savoir dans quelle mesure ces propos étaient vérifiables en France. Comment allier plus spécifiquement la consommation collaborative à un enjeu de développement durable comme la prévention des déchets ?

Défis et challenges

Au cours de notre projet de sustainable performance, l’une de nos principales difficultés fut de prouver que l’aspect écologique pouvait donner lieu à un avantage compétitif. En effet, l’écologie est aussi un moyen de se différencier, d’attirer de nouveaux segments de clientèle et de pérenniser sa place sur le marché. Par exemple, suite au succès connu par Blablacar, la SNCF a répliqué en investissant dans des plateformes de covoiturage concurrentes. Par ailleurs, nous avons du faire face à un problème qu’est l’existence d’un certain décalage entre la volonté d’intégrer une dimension écologique au sein des plateformes collaboratives et les véritables actions mises en place.

Réponses ?

Pour que l’aspect écologique soit pris en compte, il est important de ne pas laisser de côté l’aspect économique car c’est la motivation in fine de toute entreprise. En effet, il serait utopique de penser que les entreprises axent uniquement leur politique sur un enjeu écologique comme la prévention des déchets.

A l’avenir, quelles nouvelles questions votre sujet relève t-il ?

Le succès des plateformes collaboratives n’a fait qu’augmenter de manière exponentielle : au-delà de cette ascension fulgurante, ne pourrait-il pas se cacher un effet de mode qui conduirait à terme à un désintérêt des individus et une disparition progressive du phénomène ? La consommation collaborative est-elle véritablement viable à long terme ? Enfin, pourrait se poser aussi la question des limites de la consommation collaborative : en effet, des analystes américains ont affirmé que cette dernière pouvait conduire finalement à une consommation plus importante. Si l’on met ces affirmations en application avec l’exemple de Blablacar, cela signifierait qu’en vue du moindre coût de transport, les individus réaliseraient un voyage qu’il n’aurait pas forcément fait s’ils avaient dû prendre le train ou ne pas partager leur voiture. Cela remettrait donc en cause tout l’argumentaire de l’aspect écologique de la consommation collaborative.

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

Due date : 08/12

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