Les achats socialement responsables : Comment concilier des préoccupations d’intégration sociale et d’équité territoriale avec les contraintes financière d’un département achat? Le cas d’ERDF.

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Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

Depuis la fin des années 1970 et plus particulièrement depuis la crise économique de 2008, la France connait des taux de chômage record. Des solutions ont donc dû être trouvées pour pallier à cette précarité sociale croissante. De nombreuses entreprises, dont ERDF, se sont alors engagées dans une politique de développement durable conjuguant les dimensions environnementales, sociales et économiques. L’une de ces politiques sociales est les achats socialement responsables.

Comment concilier des préoccupations d’intégration sociale et d’équité territoriale avec les contraintes financières d’un département achat ? Le cas d’ERDF.


Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

Les achats socialement responsables

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]




Nous tenons à remercier chaleureusement lister ici les personnes interviewées, avec leur fonction et le nom de l'organisation pour laquelle il/elle travaille

Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

Titre de l'article

Les achats socialement responsables : Comment concilier des préoccupations d’intégration sociale et d’équité territoriale avec les contraintes financières d’un département achat ?


Pourquoi cette question est importante?

La crise économique de 2008 et ses répercussions sur la population ont généré de lourdes remises en question de nos modes de consommation ainsi que sur le comportement des entreprises. Pour des questions éthiques, les préoccupations d’intégration sociale et d'’équité territoriale prennent une place importante dans un grand nombre de structures, il est donc intéressant de se questionner sur ces préoccupations dans le contexte économique actuel.


Les éléments de réponses

Pour répondre à notre problématique, nous avons mis en avant les différences entre les achats responsables dans le secteur public (marie de Lille) et le secteur privé ( ERDF).

Nous avons décidé de commencer notre reportage par un micro trottoir. Écouter les différents avis des passants sur le développement durable, et plus particulièrement sur les achat socialement responsables, nous a permis d’avoir un avis neutre et extérieur. En majorité, les passants interrogés savaient plus ou moins la définition d’un achat responsable. Cependant, ils ne pensaient pas qu’une entreprise, tel qu'ERDF, prenne en compte la dimension sociale du développement durable. 90% d'entre eux pensent qu’il est important d’orienter l’économie vers le développement durable ainsi que les achats socialement responsables. Ce micro trottoir nous a permis de voir que la population est assez sensible à toutes les opérations liées au développement durable. Néanmoins, elle ne fait pas totalement confiance aux organismes et entreprises qui promeuvent ces différentes actions. En effet, la population a peur que ce ne soit qu'une stratégie de marketing, et non une réelle envie de changer les habitudes de consommation et de travail.

Par la suite nous nous sommes rendus à la maire de Lille où nous avions rendez vous avec Mme Pauline PETIT, responsable en charge des achats socialement responsables. Lors de cet entretien, nous avons découvert un réel engagement de la mairie. Entre 2005 et 2012, plus de 6565m2de panneaux solaires ont été recensés sur les toits de Lille, dont 3250 m2 sur les toits des bâtiments municipaux, et ce n’est qu’un exemple parmis tant d’autres.

«Le développement durable irrigue l’ensemble de nos politiques municipales pour bâtir ensemble une ville plus durable» Martine AUBRY, Maire de Lille.

Suite à un contretemps, nous avons interviewé Mr Dominique EBEL, directeur de cabinet à la direction Interrégionale Manche Mer du Nord d'ERDF, ce lundi 25 novembre. Lors de cet entretien, Mr EBEL nous a expliqué qu'aujourd’hui le développement durable faisait intégralement partie de la culture de l’entreprise, et ce principalement dans la sélection des prestataires de l’entreprise. En effet, ERDF est très pointilleuse quant aux choix de ses prestataires : ils se doivent donc de partager leur valeur. La question des contraintes financières s’est également posée. Une entreprise, qui choisit de développer l'achat responsable, doit faire face à certaines dépenses. Néanmoins, cela est vite rentabilisé. En effet, ERDF, en créant des filières d'insertion, forme des jeunes pouvant répondre à ses offres, et permet alors un retour à l'emploi dans ses zones précaires.

«Avoir une politique de développement durable : c’est s’engager et agir» Dominique Ebel


Quelles questions le projet soulève-t-il dans l’avenir ?

A la suite de ces entretiens, nous avons analysé le micro trottoir, réalisé au début de notre investigation. L’avis général des passants étaient qu’une entreprise, tel qu'ERDF, ne porte pas forcément d’attention à la dimension sociale du développement durable. Nous pouvons donc affirmer que cette avis est erroné. Pourquoi, malgré l’intégration complète du développement durable à sa culture d’entreprise, ERDF ne bénéficie pas de cette image ? Faut- il développer davantage des campagnes de sensibilisation au public ? Le développement durable en entreprise ne relève plus seulement d’un « green washing » comme à ses débuts. Aujourd’hui, la plupart des entreprises reconnaissent le développement durable comme partie intégrante en leur sein. Un bon signe pour le futur et l’évolution du développement durable.


Sources

http://www.erdfdistribution.fr/Developpement_durable
http://www.lille.fr/cms
http://www.lille.fr/cms/accueil/lille-durable
http://www.achatsresponsables.com/
http://www.economie.gouv.fr/daj/guide-achat-public-eco-responsable-achat-produits

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

Q1 : En quoi ce cours vous donne t il une nouvelle compréhension du business en général ? Et en plus largement de la société ?

Contribution Margot : Je ne m’attendais pas à ce que les entreprises et les collectivités soient autant investie dans le développement durable.
Contribution Caroline : Ce travail a été difficile dans la nouveauté du procédé et les dates limites très proches les unes des autres. Cependant,celal a été enrichissant d’un point de vue de l’organisation et de la réalisation de la vidéo ; j’ai appris beaucoup de chose dans le domaine des achats responsables et de l’entreprise ERDF.
Contribution Coralie : Grâce à ce cours, j'ai pu me rendre compte que les entreprises sont très méfiantes. En effet, par exemple, le chargé du développement durable de la région Nord d'ERDF nous a demandé de lui envoyer les questions que nous allions lui poser avant l'interview, afin de voir si elles étaient ou non polémiques, et pour qu'il puisse ainsi faire son choix. Les entreprises font très attention à l'image qu'elles véhiculent. Dans le cadre de sa politique de développement durable, ERDF s'implique dans la lutte contre la précarité énergétique, l’emploi local et l’insertion professionnelle. L’entreprise s’est engagée à développer ses achats auprès des structures d’insertion par l’activité économique (SIAE) et du secteur adapté et protégé. ERDF a très vite compris que les enjeux économiques et écologies étaient très importants c'est donc la raison pour laquelle il est l'un des premiers à avoir misé sur les achats socialement responsables.
Contribution Alexandre : Au début, peu familier avec le développement durable, je me suis rendu compte de son importance grandissante dans le monde de l’entreprise. En effet, les entreprises prennent en compte dans leur fonctionnement d’aujourd’hui le développement durable, et n’ont plus forcément le profit comme finalité principale. De plus, à l’exemple d’ERDF, nous avons pu au contraire constater que certaines formes de développement durables étaient susceptibles de faire des économies pour l’entreprise. Cette dimension de l’économie nécessite cependant beaucoup d’implication de la part des intervenants ce qui explique la difficulté de prise de rendez-vous du à leur emploi du temps rempli.
Contribution Warren : Ce cours donne une nouvelle compréhension du business en général car nous sommes maintenant dans une société de partage et où l’information se recherche sur internet. De plus, les sociétés travaillent de plus en plus en open space donc favorise les échanges entre ses emploies et les travaux de groupe. Au niveau de la société on cherche de plus en plus a faire des échanges avec ses amies, ce cours a exploité la réalité de nos jours et de nos méthodes de travaille.
Contribution Jason : A travers nos interviews, nos rencontres et nos démarches je me suis surtout rendu compte que les entreprises réagissent de manière très rapide face à un environnement changeant. Plus que je ne le pensais. J’entends par la le fait que le sujet du développement durable, des achats socialement responsable nous a permis de comprendre qu’une grosse entreprise comme ERDF a mis en place toute une démarche responsable et une culture du développement durable au sein de ses effectifs, car ils avaient compris que cet enjeu était capital, et l’ont donc appliqué de manière considérable dans leurs activités. On voit qu’ils prennent au sérieux les préoccupations des individus, afin de rendre un service de qualité optimale.


Q2 : Qu’avez vous le plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez vous formuler les compétences acquises ?

Contribution Margot : J’ai appris divers facettes du développement durable que je ne connaissait pas jusqu'à lors. De plus j’ai été amené a contribué au montage video alors que je ne m’y connaisait pas du tt dans le dommaine. J’ai donc dut apprendre a monter une vidéo, je peut donc ajouté cette compétance a mon palmarès.
Contribution Caroline  : Je me suis rendue compte de l’ampleur des questions et des problèmes groupés sous le terme développement durable (ex:visionnage des vidéos des autres groupes). Même s’il nous manquait de la pratique et du temps, j’ai apprécié ce module qui a été dynamique et est différent des cours magistraux souvent monotones.
Contribution Coralie : Dans le cadre de ce cours, j'ai découvert ce qu'était un travail de groupe. Ancienne étudiante de droit, ce type de travaux était presque inexistant. En tant que chargée de production, j'ai alors développé des compétences managériales. En effet, j'ai dû répartir les différentes tâches de façon équitables à mes camarades pour le dossier de production, en prenant en compte les compétences et les volontés de chacun. Au départ, cela n'a pas été facile, notamment en ce qui concerne les deadlines que j'avais imposé à mon groupe pour, par la suite, pouvoir rendre le dossier en question. Néanmoins, en discutant calmement avec mes camarades et en les écoutant, j'ai su intégrer leurs avis et critiques afin de trouver un consensus. Un travail de groupe nécessite une certaine patience que je n'avais pas au début et qui peu à peu s'est développée.
Contribution Alexandre : Ce que j’ai le plus appris dans le cadre de ce cours est surtout une prise de conscience autour du développement durable, je ne savais pas que le développement durable se définissait autant de forme différente d’action et de savoir-être. J’ai également pu constaté l’importance qu’il peut avoir au sein d’une grande entreprise ou tout simplement d’une ville et d’un territoire. En terme de compétences, tous les membres de mon groupe comme moi-même, ne nous sommes pas limité aux fonctions de notre poste dans le groupe, ce qui dans un sens m’a permis d’améliorer plusieurs compétences. Des compétences techniques, par le tournage et le montage de la vidéo, et également des compétences relationnelles, par la prise de contact et l’interview de professionnels.
Contribution Warren : J’ai appris a réaliser un reportage de son début jusqu'à la fin. A préparer des rendez vous avec des professionnels. Egalement a monter des vidéos et a travailler avec une communauté. J’ai également une meilleure vision du développement durable.
Contribution Jason : Je me suis perfectionné dans la manière d’aborder des professionnels, qui ont un emploi du temps chargé et n’ont pas forcément le temps pour traiter avec des étudiants. J’ai également appris à travailler en groupe et à tenter de rendre un travail de qualité en considérant les différentes contraintes qui sont les délais à respecter, les contraintes concernant la création d’un reportage vidéo etc, et à se répartir le travail pour accomplir les objectifs.


Q3 : Comment avez vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De qui avez vous le plus appris (de vos pairs ? De l’interviewé ? De vos profs ? …)

Contribution Margot : J’ai bien vécu cette nouvelle experience je l’ai trouvé très pédagogique. J’ai beaucoup apris des personnes que nous avons interviwver, ces interview m’on donné une autres perception du devellopement durable dans les entreprises et collectivité.
Contribution Caroline : J’ai appris grâce au travail de groupe avec mes collaborateurs ; du point de vue des achats responsables grâce aux échanges que nous avons eu avec nos intervenants ; du point de vue du développement durable mais surtout du process collaboratif grâce aux intervenants qui nous ont expliqué ce projet.
Contribution Coralie : J'ai eu quelques difficultés au début de l'expérience puisque je n'avais jamais réellement fait de travaux de groupe avant. Néanmoins, elles ont été assez vite surmontées. J'ai beaucoup appris de mes camarades. Un travail de groupe signifie, certes, qu'il faut être à l'écoute, solidaire et respectueux mais les relations humaines liées à celui- ci ne sont pas toujours faciles : des conflits peuvent émerger. A ce sujet, les personnes de mon groupe ont su m'expliquer calmement, et dans le respect, quel étaient leurs points de vue lorsqu'elles n'étaient pas d'accord avec mes idées. Je donnais alors mon avis en argumentant et les débats se sont alors bien passés. De plus, tout le monde a su rapidement mettre en avant ses compétences, c'est donc grâce à cela que j'ai pu effectuer la répartition des différentes tâches pour les travaux de façon cohérente. J'ai été aussi impressionnée par la solidarité qui régnait au sein de notre groupe. Tout le monde proposait son aide si l'un d'entre nous était en diffculté, sans pour autant faire le travail à sa place.
Contribution Alexandre  : Cela a été une expérience très formatrice. J’ai appris à travailler avec des personnes aux compétences et caractères différents les uns des autres au sein d’un même groupe, ce qui peut parfois être générateur de quelques tensions et stress, mais à travers cette expérience, nous savions faire la part des choses entre le projet et le personnel. Cette expérience a surtout été très enrichissante grâce aux interviewés qui m’a vraiment ouvert les yeux sur toutes les formes et l’importance du développement durable dans l’entreprise.
Contribution Warren : J’ai trouvé ce cours extrêmement enrichissant et pédagogique. Cela fait vraiment du bien de sortir des traditionnels Amphi. Ce cours nous permet d’être acteur et non spectateur du cours. De plus, le cours était très interactif avec des outils pédagogique excellents. Je pense avoir appris de mes profs (avec le wiki) pour toute la partie technique, sinon au niveau du DD avec les personnes interviewés.
Contribution Jason : J’ai appris que travailler en groupe avec des individus différents requièrent certaines qualités afin de rendre un bon travail, et que ce n’était pas forcément facile. J’ai surtout appris des interviewés étant donné que notre sujet nous a particulièrement intéressé, mais aussi de mes pairs, dans la mesure où nous avons au fur et à mesure délégué le travail en fonction des compétences de chacun, ce qui a rendu les choses plus facile au fur et à mesure du temps.


Q4 : A quel pourcentage estimez vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés (inferieur a 25%, entre 25 et 50%, entre 50 et 75% ? Au delà de 75%) ? Qu’est ce qui a été le plus utile pour vous ? Si faible utilisation, pourquoi ?

Contribution Margot : En tant que jardiniére, j’ai utiliser les ressources du wiki en grande quatinté entre 50 et 75%. La plateforme nous permet de trouver toutes les information nécésaire pour bien s’occuper de notre jardin (le wiki). Etant novice dans le gestion d’un site je dit aujourd’hui merci wiki.
Contribution Caroline : Entre 25% et 50%, n’étant pas jardinier wiki, je reconnais ne pas avoir tout saisi sur le fonctionnement d’un wiki et ne pas l’avoir complètement exploité. En revanche, j’ai travaillé d’avantage sur la SkemBank et pense l’avoir utilisé a bon escient.
Contribution Coralie  : Je pense avoir utilisé les ressources du wiki entre 25 et 50%. En effet, je m'y suis connectée principalement pour les deadlines de chaque projet ainsi que pour la méthodologie du reportage et l'exemple du dossier de production.
Contribution Alexandre : Je pense avoir utilisé entre 25 et 50% des ressources du wiki et des liens associés. Je l’utilisé surtout, pour voir le planning et les dead-line du projet, ainsi que pour comprendre les consignes et le but du projet. Si je n’ai pas plus utilisé le wiki, c’est du au fait que notre jardinier se chargé de trouver et lire les ressources du wiki et nous les faire transmettre.
Contribution Warren : Je pense entre 25 et 50%. Le plus utile a été le wiki et le moins utile la page d’échange de compétences et d’annonce car peu utilisé par la promotion.
Contribution Jason : Je dirais entre 25 et 50%. Lors de nos travaux, je n’ai pas souvent traité avec le Wiki et les ressources internet, j’avais un rôle plus axé sur la rencontre des professionnels entre autre, c’est pourquoi je ne pense pas être l’élément de notre groupe le plus qualifié pour répondre à cette question.


Q5 : Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaborative intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui ci ? Quel a été l’apport de la bourse de compétences ? Comment les compétences ont-elles circulé ?

Contribution Margot : Etant issu d’un Bachelor Commerce je suis habitué depuis le début de mes études supérieur à travailler en groupe.
Contribution Caroline  : C’est la première fois que je réalise un travail « collaboratif » or je suis plus généralement attirée par le travail individuel. Mais j’ai vraiment apprécié et compris les avantages de la collaboration: les conseils, les contacts et les idées extérieures. La bourse de compétences nous a permis d’utiliser au mieux les compétentes de chacun.
Contribution Coralie : Ce cours a eu une réelle influence sur mes pratiques collaboratives intra et intergroupes au delà même de ce que j'aurai pensé. Dès que l'un des membres de notre groupe n'arrivait pas à faire une manipulation dans le cadre de notre projet, nous étions très solidaires et l'aidions, et inversement. Je n'avais pas eu l'habitude jusqu'à mon arrivée à Skema d'utiliser word et d'autres logiciels. Pour le dossier de production, l'une de mes camarades du groupe s'est de suite proposée pour me montrer quelles étaient les diverses manipulations à faire pour mettre en page celui- ci. Ces échanges m'ont donc permis d'apprendre à me servir de divers logiciels. La bourse de compétences a eu un apport non négligeable sur la tenue de notre projet. En effet, il y avait certaines compétences que nous n'avions pas. Nous avons donc posté nos questions sur la Skembank. J'ai notamment demandé de l'aide pour le développement du dossier de production ainsi que des avis sur notre problématique. L'aide intergroupe s'est faite de la façon la plus professionnelle et réfléchie. Les différents groupes ont pris au sérieux leur rôle de « solver » et certains ont même passé plus d'une heure à nous former.
Contribution Alexandre : Oui, ce projet a totalement eu une influence sur mes pratiques collaboratives intra et inter groupes. En effet, je n’avais parfois pas les compétences nécessaires pour effectuer ma partie de travail dans le projet, et je pouvais facilement me faire aider par les membres de mon groupe. Je sais également que j’ai fait appel plusieurs fois aux membres d’autres groupes pour me passer tel ou tel ressource que nous ne possédions pas au sein du groupe. De plus, je pense que nous avons su gérer la bourse de compétence vraiment en fonction de ce dont nous avions besoin et de ce dont nous possédions, et ceci de la manière la plus cohérente vis-à-vis de notre projet. Les compétences ont circulé de manière très fluide entre les groupe et à l’intérieur du notre ; lorsque l’un des membre n’était pas là pour une formation de montage ou autre, les membres du groupe ayant suivi la formation retransmettait à la personne absente, pour que chacun puisse améliorer ses propres compétences.
Contribution Warren : Ce cours a changé mes pratiques collaborative. L’apport de la bourse n’a pas été évident car peu de compétences ont circulé.
Contribution Jason  : Nous avons su demander quand nous avions besoin, et donner quand nous pensions qu’il était judicieux de le faire. Nous avons géré nos relations avec les autres groupes de la manière la plus professionnelle possible dans le sens que nous n’avons pas traité avec les autres groupe pour se faire « mousser » et avoir plus de points concernant les échanges etc. Nous avons eu de bonnes relation inter groupe et sommes satisfait de l’aide qu’a pu nous apporter certains, notamment pour le matériel permettant les interviews et certaines formations informatique.

Le sujet est intéressant. Mais le traitement est trop superficiel. Les micro trottoirs sont un peu long pour ce qu'ils apportent. Vous ne répondez pas vraiment àa la question de départ: conciliation entre intégration et contraintes financières. Cela reste très descriptof. Votre rendu de la Mairie de Lille est peu vivant. Et votre justification du manque d'interview d'ERDF n'est pas forcément bienvenu dans le reportage.[modifier | modifier le wikicode]




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