L'essor des cosmétiques bio, opportunité ou menace pour les entreprises déjà présentes sur le marché?

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Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :
L'essor des cosmétiques bio, opportunité ou menace pour les entreprises déjà présentes sur le marché?

Nous observons depuis ces 5 dernières années, une modification des attentes de la part des consommateurs (et surtout consommatrices) de cosmétiques dans le monde. En effet, après la parution de nombreuses études et documents dénonçant les conséquences néfastes d'une utilisation trop intensive de produits de synthèse (de type parabènes, silicones, etc...), le marché des cosmétiques tend à se recentrer vers l'offre des produits avec des composants plus naturels, voire biologiques. Nous pouvons nous demander dans quelle mesure ce changement dans la demande peut-il inquiéter ou au contraire renforcer l'image et la compétitivité des entreprises de cosmétiques déjà présentes sur le marché comme Nuxe par exemple.


MESSAGE DU PROF : belle problématique qui renvoie à des questions de compétitivité et de capacité d'évolution au sein d'entreprises généralistes qui sont attaquées par des acteurs de niche ou des grands groupes plus actifs sur le développement de gammes de produits responsable. Excellent travail !

Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

Lien vers notre dossier de production

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]

Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

Le marché des cosmétiques bios, une terre suffisamment fertile?

En chiffres, le marché des cosmétiques bios:

- pèse près de 350 M€ en 2011 et croît de 25% depuis 2005

- 28% des français déclarent avoir acheté un produit issu de la cosmétologie biologique en 2011.

- les grands groupes s’intéressent à cette niche et rachètent de nombreuses petites entreprises de cosmétologie biologique ou créent leur propre branche.

Dans le futur, on prévoit une croissance de plus de 10%/an et un poids de 500M€ en 2015. (1)

MAIS:

- à l’heure actuelle, le bio ne représente que 2% du marché des cosmétiques en France

- on observe que certaines entreprises quittent le marché et certaines grosses enseignes stoppent la production de leurs chaines de cosmétiques bios.

Finalement, où en sont les grandes enseignes et les grands groupes de cosmétologie conventionnelle? Quel est leur point de vue face à la montée progressive de la cosmétologie biologique ? Pour répondre à ces questions et comprendre l’importance de la cosmétique bio, nous avons interrogé deux spécialistes de la cosmétologie biologique : Guillaume Dumond, dirigeant de l’entreprise de cosmétologie biologique « Le Monde du Bio » et Carole Marchais, experte dans la cosmétologie biologique et rédactrice des blogs « Génération Cosméthique et « Génération EcoGreen » :

- Quelle est selon vous l’importance de la cosmétologie bio aujourd’hui ? Carole Marchais : Le segment de la cosmétique bio est encore très niche. En cause une information non accessible au plus grand nombre (…) et beaucoup d’idées reçues dues au « brainwashing » et aux stratégies marketing des marques de cosmétiques traditionnelles.

- Quels sont les effets de la cosmétologie non bio ? La cosmétologie bio combat-elle ces effets ? Guillaume Dumond : La cosmétique non bio utilise des conservateurs chimiques (produits parapétroliers) et effectue des tests sur les animaux. CM : Les cosmétiques traditionnels utilisent pléthores d’ingrédients inutiles voire mauvais pour à la peau et néfastes pour la planète (issus de la pétrochimie ou des silicones non biodégradables finissant dans les océans. Ce ne sont que des exemples parmi tant d’autres. En revanche, les cosmétiques bio sont riches en végétaux ou minéraux et apportent de réels bénéfices.

- Savez-vous dans quelle mesure la cosmétologie bio impacte les grands groupes? GD : Ils regardent du coin de l’œil et font l’acquisition de sociétés de cosmétiques bio, de nombreuses ont été rachetées. CM : Ils s’y intéressent par effet de mode, pour suivre la tendance de marché, par opportunisme ou par la pression des ONG. Ils n’ont pas le savoir-faire ni l’expertise et leurs produits bio ne contiennent maximum que 10 à 20% d’ingrédients bio. De plus, comment être crédible si on fabrique du bio et du non bio ? Si elle impacte les grands groupes, c’est aussi surtout lié au développement durable, pour être plus respectueux de l’environnement et de l’homme. Désormais, tout le monde s’y met par prise de conscience que l’on ne peut pas faire autrement.

- Quel est l’avenir de la cosmétologie ordinaire depuis l’apparition du bio ? GD : Elle a encore de beaux jours devant elle, la cosmétique bio est encore confidentielle, à moins d’un scandale… CM : Elle continuera à exister car elle véhicule tellement de rêve et de leurre que le consommateur adhère à cela. Néanmoins, contraints à la législation et aux enjeux du développement durable, les grands groupes se voient contraints à reformuler leurs produits. En définitive, si le marché du bio est aujourd’hui séducteur, c’est avant tout car il existe des consommateurs néophytes, occasionnels, qui sont partiellement informés et donc une cible possible pour les grands groupes. Ainsi, certaines petites entreprises très bios, ciblant le consommateur éduqué et adepte au bio auront tendance à mettre la clé sous la porte car la demande reste faible et l’offre élevée. En revanche, les grands groupes peuvent surfer sur la vague bio car elle présente de nombreuses opportunités ; même si, la cosmétologie conventionnelle représente 98% de part de marché française. De ce fait, ces grands groupes peuvent contrôler et séduire une population plus large et un marché presque complet comme elle peuvent ne pas s’y intéresser car la cosmétologie ordinaire représente encore aujourd’hui bien plus que la majorité des consommateurs de cosmétiques.

Néanmoins, d’après les réponses de nos interlocuteurs, nous avons pu constater que s’approcher du bio devient inévitable de par le regard des autorités à la considération au développement durable. S’il est possible de faire du bio avec des textures et des parfums attrayants, ce marché pourrait ainsi devenir plus « glamour ». Serait-il ainsi possible de tendre vers un amalgame de la cosmétologie bio et conventionnelle ?

(1) CSA Agence Bio, Baromètre de consommation et de perception des produits biologiques en France. Sources : Generationcosmethique.com, Fleurance Nature : « La cosmétique bio, effet de mode ou avenir de la cosmétique ? »

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

1. En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et plus largement de la société ?

Demnate AMROUNI: Ce cours m’a entre autres appris à intégrer les enjeux du développement durable au sein d’une entreprise et ses contraintes sous-jacentes. Si le développement durable n’est pas évident et coûteux, il est aussi aujourd’hui indispensable car nous sommes tous arrivés à un tournant où le respect écologique et social est devenu une priorité où nous devons tous nous sentir concernés, les entreprises en particulier car elles peuvent y contribuer à grande échelle et aussi redorer leur image. Plus qu’un investissement, c’est une responsabilité. Dans le domaine de la cosmétologie, on peut voir que le bio et de ce fait le développement durable, prennent une place de plus en plus importante dans l’esprit des consommateurs, qui sont soucieux de l’environnement mais aussi d’eux et de l’Homme en général, les entreprises ne peuvent que suivre le mouvement en s’impliquant aussi. Il faut toutefois constater que cet esprit de développement durable n’est pas suffisamment ancré dans l’esprit de tous dans la société, c’est pourquoi il est important de sensibiliser le plus grand nombre.

Doriane CABARET: Grâce à ce cours, nous avons pu étudier des sujets qui nous tenaient à cœur : Le développement durable et la cosmétologie. En effet, nous étions 5 filles soucieuses de comprendre l’impact de la cosmétologie BIO et non BIO sur le l’environnement et les consommateurs. Ce cours nous a permis de comprendre les grandes lignes de la cosmétologie et les nombreux défis de ce secteur en matière de développement durable. Nous avons pu aussi analyser que le développement du BIO dans la cosmétologie aura aussi un impact sur la société.

Yasmina CHEFOU: Ce cours permet une nouvelle compréhension du business car de façon générale en école il nous ait appris la façon dont nous allons optimiser nos résultats et faire de notre entreprise la meilleure qui soit mais nous nous attachons très peu aux problèmes actuels qui pourraient être une application plus concrète. Ce cours nous a donc permis d’échanger sur des problématiques diverses et de mieux comprendre quels sont les enjeux futurs auxquels nous seront probablement confrontés.

Anne DELANNAY: Ce cours avait une problématique intéressante et assez inédite depuis les cours que l'on avait eu en L3. Lié performance et développement durable est loin d'être impossible et ce cours nous l'a parfaitement démontré. Il m'a ouvert les yeux sur certaines pratiques marketing ou de communication et m'a permis de mieux cerner et comprendre les comportements des consommateurs. Je suis plus attentive à ma consommation depuis que j'ai vu le reportage sur l'obsolescence programmée par exemple.

Anne-Laure GUYOT: Ce cours m’a permis de mieux comprendre l’impact du développement durable sur le fonctionnement des entreprises et de leur politique mais aussi que ce sont les consommateurs qui poussent les entreprises à penser durable ou les avantages fiscaux qui les incitent à prendre conscience de leur impact sur le développement de notre société et l’importance du recyclage de nos ressources.


2. Qu’avez-vous le plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez-vous formuler les compétences acquises ?

Demnate AMROUNI: C’est avant tout des connaissances de culture générale que j’ai pu acquérir. Le format de ce cours, ne m’obligeant pas à apprendre naïvement et grossièrement, m’a permis de réellement retenir les informations que j’emmagasinais. Par ailleurs, j’ai également appris qu’il était nécessaire d’avoir une organisation carrée et précise pour mener à bien ce genre de projet ; en effet, de nombreuses contraintes se sont heurtées à nous (droit à l’image, droit de propriété, etc.) et il est toujours important de rebondir, dans le respect des deadlines.

Doriane CABARET: Dans le cadre de ce cours nous avons appris à travailler en équipe et à se partager le travail équitablement. Pour ma part, j’étais responsable du montage vidéo et assistante de production. J’ai donc appris les principales techniques de reportage et d’enregistrement de vidéos. De plus, grâce à la banque skems, j’ai aussi augmenté mes compétences en termes de montage, car un étudiant m’a donné un cours de montage et j’ai par la suite aidé des gens pour leur montage vidéo.

Yasmina CHEFOU: Je pense que l’une des compétences qui s’est révélée nécessaire dans le cadre de ce cours est la gestion et le travail de groupe autour d’un problème qui était au départ très peu connu de nous toutes et que nous avons pu comprendre au fur et à mesure de nos recherches et interviews.

Anne DELANNAY: J'ai appris à travailler efficacement sous la pression pour respecter les deadlines ainsi qu'à travailler dans un environnement qui m'était avant inconnu. J'ai appris à me débrouiller, notamment en tant que jardinière wiki qui avait de très faibles compétences en gestion d'un site/d'une page internet, mais aussi à gérer les refus d'intervieews et rester motivée pour pouvoir produire un travail de qualité. Dans le groupe, nous pouvons dire que nous avons appris à "faire avec".

Anne-Laure GUYOT: Ce cours m’a permis d’appréhender une autre façon de rendre compte d’un travail réalisé en équipe à travers la réalisation d’une vidéo. Ce cours m’a aussi permis de mieux connaitre le sujet que je traitais.


3. Comment avez vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De qui avez-vous le plus appris (de vos pairs ? de l’interviewé ? de vos profs ? ...) ?

Demnate AMROUNI: Je suis souvent très dubitative lorsqu’un nouveau format de cours apparait et n’y croit jamais trop. N’étant pas trop fan de ce qui est interactif dans le cadre des cours, je suis souvent sceptique quant à mon investissement. Néanmoins, en ayant eu l’occasion de travailler en équipe, avec mes amies, j’ai pu être poussée par elles et l’expérience s’est avérée agréable. Je pense avoir énormément appris des interviewés. Etant des experts de la cosmétologie biologique, ils ont fortement réussi à me sensibiliser sur le sujet et je ressors différente de ces rencontres, n’étant avant pas adepte du bio, je comprends aujourd’hui qu’il a une forte importance.

Doriane CABARET: Nous avons principalement appris des interviewés (employés dans des grands groupes de cosmétologie et des consommateurs). Grâce à nos interviews nous avons complété nos connaissances dans la cosmétologie, le développement durable et sur les besoins des consommateurs.

Yasmina CHEFOU: Cette nouvelle forme d’apprentissage m’a plu au niveau du concept. Chaque groupe a pu apporter sa part de connaissance et de recherche et partager cela avec les autres. De cette façon je pense que nous avons tous appris les uns des autres mais aussi grâce aux interviewés qui ont pris leur temps pour nous expliquer et nous aider sur notre problématique.

Anne DELANNAY: Cette nouvelle expérience était très enrichissante et j'ai trouvé cette méthode d'enseignement très innovante et stimulante malgré les quelques problèmes techniques et les délais assez courts. J'ai appris de certains interviewés que nous avons interrogé via email car ils ne voulaient pas être filmés, du professeur M. Sempels qui a une façon assez vivante et stimulante d'enseigner et de mes pairs car nous nous connaissons et nous savons utiliser nos qualités pour créer une synergie.

Anne-Laure GUYOT: Cette expérience nous a appris à travailler en autonomie en groupe et à gérer notre temps. Sinon j’ai appris des choses grâce aux recherches faites sur notre sujet.


4. A quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés ? Qu’est-ce qui a été le plus utile pour vous ? Si faible utilisation, pourquoi ?

Demnate AMROUNI: Je pense avoir utilisé le wiki à moins de 25%. J’ai quelquefois essayé de m’en servir, cependant j’ai eu beaucoup de mal. Par ailleurs, il était plus aisé de rechercher les infos via Facebook où celles-ci circulent rapidement et répondent précisément aux interrogations posées. Si je n’ai pas réellement utilisé le wiki, c’est aussi car les tâches auxquelles j’étais affectée dans mon groupe ne requéraient pas extrêmement son utilisation.

Doriane CABARET: J’ai utilisé les ressources du wiki entre 25% et 50%. Je trouve ce système intéressant et ludique. Cependant très compliqué d’utilisation. C’est pour cela que je n’ai pas beaucoup utilisé le wiki car je perdais du temps à trouver les bonnes informations.

Yasmina CHEFOU: Je pense avoir utilisé les ressources wiki à hauteur de moins 25%. D’une part car je n’étais pas jardinière concernant les liens associés et d’autre part malgré mon intérêt pour le site afin d’observer l’évolution des autres groupes il était assez difficile de retrouver ces liens des vidéos que nous avons pu voir en amphi.

Anne DELANNAY: J'ai utilisé le wiki au-delà de 75% car en tant que jardinière j'avais besoin des pages d'aide qui étaient très utiles et très bien détaillées. Le travail de jardinière me faisait peur au début mais il s'est avéré moins fastidieux et difficile qu'il n'en avait l'air. Il suffit de prendre son temps et de bien lire les consignes jusqu'au bout pour éviter les catastrophes.

Anne-Laure GUYOT: Inférieur à 25%. L’utilisation est trop compliquée et je n’en voyais pas tellement l’utilité. Si j’avais besoin de renseignement j’utilisais Facebook ou toute la promo est connecté régulièrement et disponible pour répondre aux interrogations.


5. Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui ? Quel a été l’apport de la bourse de compétences ? Comment les compétences ont-elles circulé ?

Demnate AMROUNI: Oui, à 100%. Au sein de Skema Paris, les étudiants sont tous très solidaires. Il est très rare de ne pas trouver d’aide grâce à nos camarades, surtout via Facebook, mais aussi entre les cours. Du fait que nous partageons nos compétences et notre savoir, nous avançons tous plus rapidement. Cela nous permet aussi de raffermir tous les liens entre étudiants. J’ai saisi l’idée de bourse de compétences, qui selon moi est une bonne idée, néanmoins, nous nous aidons tous sans besoin de contrepartie. Elle aurait été certainement plus utile dans une époque où Facebook n’existait pas…

Doriane CABARET: Selon moi le partage des connaissances est très important dans une école comme la notre. Chacun doit partager son savoir pour pouvoir évoluer plus rapidement. Je trouve donc les pratiques collaboratives très positives. Cependant, elles doivent être plus facilement accessibles pour qu’elles soient optimisées au maximum.

Yasmina CHEFOU: D’après moi il n’y a pas eu de réelle influence dans la mesure où aujourd’hui grâce aux réseaux sociaux nous avons pu directement demander aux personnes que nous connaissons de l’aide. Étant environ 5 par groupe il était plus facile d’établir un contact et d’utiliser certaines compétences si besoin.

Anne DELANNAY: Ce cours a créé une sorte de vague d'entraide entre les différents étudiants de Skema Paris. Entre jardiniers nous nous aidions, c'était aussi le cas entre banquiers (j'étais aussi la banquière de mon groupe). Toutefois, je n'ai pas vraiment trouvé de réelle utilité à la plateforme Skem Bank. L'échange de contacts est extrêmement délicat car entre élèves tout le monde veille à préserver son réseau, donc les échanges ne concernaient que de petites choses qui pouvaient être réglées sans besoin d'échanges monétaires.

Anne-Laure GUYOT: Le fait d’inciter le partage de compétences et une bonne chose mais la plateforme n’était pas utile étant donné que Facebook est déjà une interface. Le fait de doubler les plateformes compliquent les relations et échanges.


6. Quelles sont vos critiques et suggestions d'amélioration pour ce cours ?

Demnate AMROUNI: Il serait productif d’avoir des délais plus longs. Ne connaissant pas la difficulté de réalisation du reportage, même en ayant été avertis de ses contraintes, nous n’avons sans doute pas été en mesure de rendre le travail que nous avions imaginé.

Doriane CABARET: Ce cours devrait commencer en début d’année (15 septembre) et la remise de la vidéo devrait se faire mi-décembre. Cela nous permettra d’avoir plus de temps pour trouver les contacts nécessaires à notre reportage car cela prend énormément de temps. De plus, vous devriez mettre en place des cours de soutien pour : le montage vidéo, utilisation du wiki, techniques de film etc.

Yasmina CHEFOU: Il faut garder cet esprit d’échange et de travail collaboratif inter campus. Par contre il est important que le campus de Paris est les mêmes chances que Lille et Sophia en ce qui concerne le cours (réelle conférence) et plus de suivi au cours du projet qui lui aussi devrait plutôt tenir sur un semestre.

Anne DELANNAY: Pour l'année prochaine, je pense qu'il est vraiment nécessaire de présenter plus tôt (dès les amphis de présentation de septembre par exemple) cette manière pour que les élèves la prennent au sérieux et commencent à réfléchir à une problématique solide. Il faut souvent plus de temps pour qu'une personne donne sont accord pour être filmée et ait confiance en nous. Pour la Skem Bank, je doute qu'elle soit réellement utile dans la mesure où elle mobilise un temps et une énergie qui pourraient être affectés ailleurs... à la recherche de contacts ou d'interviewés potentiels par exemple. Toutefois, j'ai réellement apprécié ce cours, il change de l'ordinaire et malgré les délais assez courts, il fait partie du type de manière,innovante que je m'attendais à avoir au programme en rejoignant une école de commerce.

Anne-Laure GUYOT: Il faut étaler plus dans le temps le projet de manière à pouvoir rendre un travail plus approfondi et moins superficiel. Avec plus de temps les reportages auraient prendre la forme d’une analyse plutôt qu’une description d’un phénomène, ce qui aurait été plus enrichissant.

Feedback final du professeur[modifier | modifier le wikicode]

Beau travail ! Belle introduction, vidéo bien structurée et illustrée, dommage que vous ayez avant tout des images statiques, peu d’interviews. Pourquoi ne pas montrer les images des personnes que vous interviewez en magasin ?
Votre recherche est fouillée et réfléchie, vous abordez la thématique. Vos sources sont floues, ça aurait été intéressant de mieux étayer vos arguments sur base de sources citées.
Votre article journalistique vient bien compléter votre reportage. Cependant, vous citez deux sources importantes qui ne se retrouvent pas dans votre reportage. Un mélange harmonieux des sources auraient été bénéfiques pour votre reportage.

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