Etudier les réelles motivations des entreprises face à l’essor du bio

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Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :
Le marché bio continue sa croissance. Aujourd’hui, de plus en plus de consommateurs adoptent ces produits respectueux de l’environnement et de l’humain : plus de 40% des français sont des consommateurs réguliers du bio. Ainsi, bon nombre d’entreprises cherchent à satisfaire cette demande en développant une conduite éco-citoyenne.
Quelles sont les atouts et contraintes du bio pour l’entreprise ?
Les entreprises jouent-elles du green washing ou sont-elles réellement impliquées ?
Le bio est-il rentable ?

(Source : http://www.lefigaro.fr/conso/2013/02/09/05007-20130209ARTFIG00340-le-bio-resiste-a-la-crise.php)

Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

Dossier de Production

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]


Nous tenons à remercier chaleureusement Charlotte DRUMMER, présidente de l'association Equiterre, Emilie GENEVRIER, responsable marketing chez TRIOMPHE SNAT et Franck VENTURA, responsable de boutique COULEUR CARAMEL

Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]


Le Bio, vert et pas mûr ...
Le bio oui ! Mais comment, pourquoi et dans quelles mesures ?



Suite entre autres, aux nombreuses crises sanitaires, la peur des consommateurs a grandi ! De nombreuses questions taraudent aujourd’hui nos esprits curieux et soucieux :

Je veux consommer plus sain.
Je veux plus de transparence.
Je souhaite conserver mon pouvoir d’achat.
Et pour l’avenir de mes enfants ? Et ma santé dans tout ça ?


La solution ? Le bio



Oui, mais comment, pourquoi et dans quelles mesures ? Les entreprises font-elles vraiment preuve d’une conduite éco-citoyenne ? Quels sont les atouts et les conséquences du bio pour l’entreprise ? Le bio est-il rentable ?


En effet, ce mot n’est plus exclusif, il devient universel, accessible à chacun et garantit un avenir meilleur ! Mais attention à ne pas en faire un mot magique, le bio n’a malheureusement pas réponse à tout ; on lui découvre des maladresses, des petits points noirs qui complexifient son intégration dans notre économie gouvernée par l’industrie de masse.
Les grandes dames aux oreilles fumantes et aux poches bien garnies se gardent bien de laisser une modique place aux petits bonhommes verts soucieux notre avenir et de notre santé.


Pourtant, ils ne demandent qu’à améliorer notre quotidien sans pour autant vider notre porte monnaie.
En effet, le temps du bio à des prix excessifs ou non abordables est révolu ! Aujourd’hui, plus besoin de faire chauffer sa carte bleue pour pouvoir penser nature et santé. Il est devenu possible de ne pas s’abimer, de penser au futur de nos enfants sans pour autant débourser des sommes incommensurables. Parfois même le bio (dans la cosmétique par exemple) devient plus abordable que certains produits de grande marque. Franck VENTURA, responsable de Couleur Caffé renchérit : « le bio n’est plus réservé aux classes socioprofessionnelles supérieures. »
De plus en plus de grandes enseignes alimentaires suivent cette tendance et choisissent de développer leurs propres marques bios (plus accessibles). Ce choix illustre en partie la volonté des grandes industries, qui souhaitent répondre aux nouvelles attentes d’une clientèle soucieuse de consommer « mieux ».


Mais certaines entreprises choisissent d’opter pour le naturel et non le bio ; néanmoins tout aussi respectueux et sain. Pourquoi ?
Selon, Emilie GENEVRIER – responsable marketing chez Triomphe SNAT – les entreprises qui ont réussi à bénéficier de l’image naturo-positive ne trouvent pas d’intérêt au label bio – trop contraignant à décrocher – car elles ont toutes les cartes en mains pour faire preuve du maximum de transparence face à leurs consommateurs.
Le bio risque cependant de devenir un passage obligé pour les produits frais sans pour autant toucher les produits d’épicerie ambiante. Les consommateurs recherchent avant tout la transparence et la naturalité à défaut du véritable bio.
Bien qu’ayant opté pour le bio, Franck VENTURA – directeur de la boutique Couleur Caffé – appuie ce propos. Pour lui, le bio n’est pas un avantage concurrentiel en tant que tel. C’est plutôt la manière dont il est intégré au sein de l’entreprise qui le rend intéressant.
De plus, une des dérives du bio serait la production de masse, afin de satisfaire davantage de consommateurs à des prix toujours plus concurrentiels. Le terme bio perdrait donc tout son sens ; le sain et la transparence prendraient le dessus (avec le caractère naturel du produit), voire disparaîtraient au profit d’activités intensives et donc obligatoirement moins soucieuses.


Alors pour les férus de nature ou tout simplement pour ceux qui souhaitent savoir ce qui se trouve dans leur assiette, dans leurs produits en général, le bio s’annonce comme la solution. Pour les autres, nous nous accorderons sur le fait que consommer naturel est tout de même bien meilleur pour la santé.
Dans tous les cas, le verdict est sans appel : les petits bonhommes verts sont en train de nous envahir.

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

Question 1 : En quoi ce cours vous donne t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et plus largement de la société ?


Laurine : Concernant le business en général, ce cours m’a entre autres permis, de découvrir les stratégies mises en place d’un point de vue du processus décisionnel dans le cadre de la recherche d’une performance durable au sein de l’entreprise.
La recherche de la performance durable semble être aujourd’hui pour l’ensemble des entreprises une priorité voire même une nécessité pour pouvoir conserver leur place sur le marché de la concurrence et s’adapter aux changements de mentalités.
Vis-à-vis de la société, on constate un réel problème dans la transmission de l’information. La plupart des publics visés ou des consommateurs en général sont souvent mal informés quant aux politiques, méthodes, stratégies mises en place autour du produit ou service proposé.


Gabrielle : Ce cours me donne une nouvelle compréhension du business dans la mesure où j’ai pu étudier les méchanismes et les stratégies mises en place par certaines entreprises afin d’appréhender l’enjeu qu’est le developpement durable. Celles qui auront compris la nécessité d’intégrer cette notion dans leur système de production, leurs produits/services et même dans leur façon d’approcher le management pourront toucher un large public et augmenter leur part de marché.
En ce qui concerne la société, celle-ci est de plus en plus consciente de l’importance du developpement durable. Elle est même en demande vis à vis des entreprises. Une demande de plus en plus croissante à laquelle les entreprises tentent de répondre.


Mathilde : Ce cours m’a permis d’appréhender le question du développement durable. J’ai pu comprendre le processus de décision d’une entreprise autour de ce sujet.
D’un point de vue plus large, c’est à dire du point de vue de la société, je me suis rendue compte qu’il est parfois difficile pour une entreprise de transmettre une image, une idée, un positionnement autour du développement durable. La société actuelle en sait trop peu sur le sujet. Les entreprises mettent énormément de processus en place au sein de leurs usines, de leurs bureaux, que trop peu de consommateurs connaissent.


Cedric : Nous sommes entrés plus en profondeur dans le fonctionnement mais surtout dans l’esprit de l’entreprise grâce à ce cours. Nous avons appris, en immersion au sein l’activité sociétale, que la conscience d’entreprise était un élément déterminant de son fonctionnement surtout grâce à notre thème qui traitait du bio et de la consommation responsable.


Sarah : Ce cours nous a donné l’opportunité de mieux comprendre les contraintes environnementales dont font et feront l’objet les entreprises, mieux comprendre que la performance durable est aujourd’hui au centre des stratégies des entreprises afin de répondre à une nouvelle réalité. Les entreprises et plus largement la société ont un important rôle à jouer pour les générations futures et il est temps de placer cette responsabilité au centre des réflexions.


Margaux : Grâce à ce cours, j’ai pris conscience du rôle essentiel de la performance durable dans la plupart des entreprises. Nombreuses sont celles qui cherchent à intègrer la performance durable dans leur politique.
En effet, aujourd’hui, la performance ne relève plus seulement du volet économique et financer d’une entreprise mais intègre aussi une dimension sociale et écologique.
Les entreprises, et plus largement la société, se préoccupent de ne pas corrompre la capacité des générations futures à répondre à leurs propres besoins.


Question 2 : Qu’avais-vous le plus appris dans le cadre du cours ? Pouvez-vous formuler les compétences acquises ?


Laurine : Autonomie, Persévérance, Rigueur, Sens du détail, Esprit de synthèse, Motivation, Gestion de son temps, Gestion d’un emploi du temps, Gestion d’une charge très importante de travail.


Gabrielle : Autonomie, Gestion du temps, Esprit d’équipe, Esprit de synthèse, Motivation.


Mathilde : Autonomie, Professionnalisme, Rigueur, Contact avec les professionnels, Gestion du temps, Gestion des imprévus, Esprit d’équipe.


Cedric : Ce cours m’a permis de voir des enjeux et préoccupations de l’entreprise qui vont plus loin que l’unique aspect business et financier. Nous avons gagné en maturité dans notre appréhension de cet univers professionnel qui nous attend. Plus personnellement, ce projet nous a fait gagner en organisation, en esprit d’équipe mais surtout en rigueur et fiabilité.


Sarah : Nous avons une fois de plus travailler en équipe, ce que j’ai le plus appris est que le travail d’équipe peut être une réelle force, il est important de savoir faire confiance et s’entraider pour avancer. Les compétences que j’ai acquises sont l’autonomie, la rigueur, l’esprit d’équipe et d’innovation, la persévérance, la conscience professionnelle.


Margaux : Dans le cadre de ce projet, le travail en équipe fut très enrichissant. Nous devions à la fois faire preuve d’autonomie car nous avions tous un rôle et des responsabilités propres dans le projet mais aussi être à l‘écoute de notre équipe, s’entraider, faire confiance. Les compétences que j’ai acquises lors de ce projet sont les suivantes :l’esprit d’équipe, l’organisation, la rigueur, l’autonomie, la gestion du stress, la conscience professionnelle.


Question 3 : Comment avez-vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De qui avez-vous le plus appris ? (De vos pairs ? De l’interview ? De vos profs ?...)

Laurine : J’ai vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage comme un challenge et une réelle prise de responsabilités ; concernant entre autres le fait de devoir développer une certaine conscience professionnelle.
Le développement et l’aboutissement d’un réel projet professionnel a été enrichissant dans le cadre d’un cursus de grande école, essentiellement théorique.
Je pense avoir le plus appris de l’interview et des professionnels.


Gabrielle : J’ai vécu cette nouvelle expérience comme un défi à relever : Un défi sur notre capacité à nous organiser en tant que groupe, à trouver chacun son rôle dans celui ci et à l’assumer.
C’était aussi intéressant de devoir gérer un projet de façon autonome tout du long jusqu’à son aboutissement.
Je pense que j’ai le plus appris des professionnels concernant le sujet sur lequel nous travaillions, mais aussi de mes pairs en ce qui concerne les méthodes de travail.


Mathilde : J’ai très bien vécue cette expérience. Ayant fait un IUT au par avant, j’ai été agréable surprise de pouvoir faire quelque chose d’aussi concrêt au sein d’une école de commerce. Cela me manquait énormément ! Il est, je pense, important de nous donner des travaux de groupes de plus en plus concrêts et de plus en plus professionnalisant pour nous former et nous apprendre la vie.
J’ai le plus appris au près des professionnels.


Cedric : Cet apprentissage était définitivement le meilleur moyen de nous faire apprendre tout ce que nous avons appris. Tout d’abord du fait de sa nouveauté, mais également du fait que nous étions livrés à nous même et libres dans nos choix et notre créativité, même si soumis à de nombreuses contraintes. J’ai le plus appris des personnes que nous avons interviewé mais également de mes camarades avec qui nous échangions énormément. Chacun d’entre nous apportait de la connaissance, du vécu et de l’expérience qui nous était bénéfique pour la bonne réalisation du projet.


Sarah : J’ai eu la chance de travailler avec une équipe très motivée, je pense qu’ils ont été une véritable force, on a su faire de nos idées un reportage où chacun reconnaît son travail. Je pense que c’est d’eux que j’ai le plus appris grâce à leur idée, leur initiative, et leur motivation.


Margaux : J’ai trouvé ce projet innovant et très intéressant d’un point de vue managérial. Nous avons eu l’opportunité de rencontrer des professionnels et de leur poser des questions, valeur ajoutée du projet selon moi.
J’ai également eu la chance de travailler avec une équipe rigoureuse, motivée et créative, ce qui fut très motivant. Chacun des membres apporta ses compétences et l’ensemble du projet se réalisa dans de très bonnes conditions.


Question 4 : A quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés ? (Inférieur à 25%, entre 25% et 50%, entre 50% et 75%, au delà de 75% ?) Qu’est ce qui a été le plus utile pour vous ? Si faible utilisation, pourquoi ?

Laurine : Je pense avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés entre 25% et 50%, essentiellement vis-à-vis des choix, méthodes et techniques de montage, des conseils concernant le tournage. De plus ces ressources m’ont aider à contextualiser le sujet et m’ont aidé à suivre une ligne directive ; ressources qui nous ont guidé tout au long des étapes de réalisation du projet.


Gabrielle : Je pense avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés entre 25% et 50%. Ces ressources nous ont aidé dans la concrétisation du projet ( support , montage..).


Mathilde : Je pense avoir utilisé les ressources du wiki entre 25% et 50%. Je les utilisais surtout pour des compléments d’informations concernant le travail à réaliser et les méthodes à suivre.


Cedric : Je n’ai presque pas utilisé le Wiki (moins de 25% des ressources), je m’occupais majoritairement de la vidéo. Étant relativement organisé, je me suis directement (dès la répartition des rôles) concentré sur le synopsis, le film et la post-production afin d’être dans les deadlines. Nous avons donc rassemblé tout le matériel et autres ressources nécessaires et pris nos rendez-vous dès le début.


Sarah : Je pense que nous avons utilisé la plateforme entre 25 et 50%, il a été un réel repère quant à l’organisation, les méthodes à employer, la gestion de notre temps.


Margaux : Je pense avoir utilisé la plateforme wiki et les liens associés entre 25 et 50%. Selon moi, la ressource la plus utile du wiki fut le calendrier et le planning des délivrables intermédaires. En effet, ce planning nous aida à bien nous organiser et à gérer au mieux notre temps afin de toujours rendre notre travail dans les temps. De plus, les méthodes et conseils à chaque étape de la réalisation du projet (dossier de production type, conseils concernant le montage etc) ont été des axes très utiles afin de guider notre travail jusqu’à la finalisation du court-métrage.


Question 5 : Ce cours a t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui-ci ? Quel a été l’apport de la bourse en compétences ? Comment les compétences ont-elles circulé ?

Laurine : Ce cours a eu une influence sur les pratiques collaboratives intra groupe dans la mesure où tous les rôles étaient interdépendants. Tout s’effectuait en groupe et sur concertation de chacun en fonction de ses compétences et de son rôle dans le projet. Se réunir sur un projet aussi important nous a également appris la cohésion, la solidarité et la motivation.
Vis-à-vis des pratiques collaboratives inter groupes, nous avions quasiment toutes les compétences et le matériel nécessaires à la réalisation de notre projet.
Pour ma part, l’apport de la bourse en compétence était inutile dans la mesure où les échanges ont été peu nombreux (via la plateforme). Tous les groupes proposaient entre autres les mêmes services ou produits ce qui réduisait son intérêt : il était relativement difficile de multiplier dès lors les transactions et les échanges de service.
Les compétences ont circulé pour la plupart hors de la plateforme. Elles étaient pour la plupart formalisées par la suite sur la plateforme ; d’où selon moi son inutilité.


Gabrielle : Ce cours a eu une influence collaborative intragroupe. Les rôles de chacun étaient complémentaires. Cela nous a permis aussi de mieux s’organiser afin que le travail en groupe soit agréable.
En ce qui concerne les pratiques intergroupes, ce fut quasiment inexistant dans la mesure où nous disposions de presque tous les éléments dont nous avion besoin.
L’apport de la bourse en compétences était inutile pour notre groupe. Nous avions les contacts qu’il fallait et les matériels nécessaires.Nous nous sommes senties obligés de faire des échanges même si cela ne nous apportait pas grand chose au final.


Mathilde : Au sein du groupe, ce projet nous a permis d’échanger nos compétences pour être le plus performant possible. En effet, chacun s’est naturellement dirigé vers les tâches qui correspondaient à ses compétences.
Les échanges inter-groupes ont été selon moi très faible puisque nous avions tous, plus ou moins, au sein de nos groupes l’ensemble des ressources et compétences nécessaires pour réaliser ce travail. D’autre part, la skembank n’étant pas très simple à manipuler, de nombreux échanges se sont fait en dehors de cette plateforme. Ce qui a générer de faux échanges sur la skembank afin de répondre à votre volonté d’interaction entre les groupes.
De plus, la bourse aux compétences n’était pas très diversifiée puisque nous avons tous plus ou moins les mêmes compétences !


Cedric : 5. L’influence que ce projet a eu sur nos pratiques collaboratives est de nous avoir toujours poussé à rester groupés, toujours nous consulter et surtout nous faire confiance mutuellement. Concernant la banque de compétence, nous avons eu la chance de former un groupe avec de nombreuses ressources et compétences. Nous avions beaucoup de matériel à notre disposition mais également des compétences en montage vidéo c’est pourquoi nous n’avions pas énormément besoin de cette banque de compétences. C’est davantage les autres groupes qui nous ont sollicité notamment pour de la location.


Sarah : Ce cours a eu une réelle influence sur nos pratiques collaboratives intra-groupes, en effet c’est la première fois que nous avons chacun un rôle propre à tenir, et dont une vraie responsabilité autour de ce rôle, nous avons su être indépendant, tout en faisant du travail d’équipe le pilier de notre reportage.
Concernant l’entraide inter-groupes grâce à la bourse de compétences, elle a été plutôt secondaire, nous avions tout le matériel nécessaire à la réalisation de notre court-métrage. Les groupes proposaient des biens ou services plutôt similaire à notre offre.


Margaux : Ce cours a eu une réelle influence sur nos pratiques collaboratives intra-groupes. En effet, nous avions tous un rôle précis dans le projet et des responsabilités propres autour de ce rôle. Cependant, l’intégralité de notre travail s’effectua en équipe, avec la contribution de tous, ce qui nous appris à travailler ensemble et à coopérer.
Concernant les pratiques collaboratives inter-groupes, l’influence fut beaucoup moins importante. Nous avons peu utilisé la bourse de compétences car notre groupe possèdait déjà les compétences et le matériel nécessaire à la réalisation du court-métrage. Ainsi, nous avons très peu utilisé la plateforme. De plus, les offres de produits et services sur la plateforme étaient relativement les mêmes et nous proposions nous-mêmes la location d’une de nos caméras et d’un de nos appareils photos.
Les compétences inter groupes circulaient également en dehors de la plateforme.


Remarques


Laurine : Certains nominés pour la finale n’ont pas respecté les consignes alors qu’il m’avait semblé clair que l’on devait suivre précisément les consignes sous peine d’être pénalisés. Je pense entre autres au temps de vidéos (supérieur à 7 min) ou à l’utilisation de musiques qui demandaient des droits d’auteurs. Ces avantages concurrentiels paraissent déloyaux.


Gabrielle : Quelques vidéos sélectionnées pour la palme d’or ne respectent pas les critères de sélection énoncés lors du lancement du projet performance durable. En effet, il y a eu l’utilisation de musiques et d’images qui demandaient des droits d’auteur, la longueur de la vidéo qui dépasse les 7min.
Je pense que cela peut paraître injuste et irrespectueux vis à vis du travail des autres groupes qui ont tout fait pour respecter les consignes.

Commentaire du professeur[modifier | modifier le wikicode]

Très bonne investigation pour répondre à votre sujet. Originalité du scénario. Bon travail dans l'ensemble!

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