Dans quelle mesure est-il possible de réduire la pollution des transports routiers de marchandises, sans nuire aux échanges commerciaux?

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Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :
Dans quelle mesure est-il possible de réduire la pollution des transports routiers de marchandises, sans nuire aux échanges commerciaux'

Introduction :

L'économie actuelle repose sur les échanges commerciaux, son développement en dépend. Or, pour beaucoup, les livraisons s'effectuent par transport routier et donc polluent énormément notre atmosphère. Dans ce contexte, le développement économique ne peut donc être souhaitable. Se pose alors une contradiction, que nous souhaitons aborder dans notre problématique.

Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]


Aide pour les jardiniers wiki au lien suivant http://fr.slideshare.net/MargauxPeuvergne/sustainable-performance-2" http://image.slidesharecdn.com/sustainableperformance-2-131101120349-phpapp01/95/slide-1-638.jpg?1383325451

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]

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En cas de non-visualisation voici le lien de notre reportage : http://www.youtube.com/watch?v=HxO_luO0iLo&feature=youtu.be

Nous tenons à remercier chaleureusement :

Mr Geoffrey Flament, Chargé logistique à Routiers Bretons

& Mme Jacqueline Istas, Présidente de la fédération Nord Nature

Notre article journalistique sur la problématique: 'Comment intégrer le développement durable au transport routier de marchandise sans sanctionner financièrement les entreprises ? ' L’économie actuelle repose sur les échanges commerciaux. Or, pour la plupart, les livraisons s'effectuent par transport routier qui représente la première source d’émissions de gaz à effet de serre. Dans ce contexte, la croissance économique n’est pas viable à long terme avec les enjeux écologiques actuels.

A l’heure où les associations écologiques reprochent au gouvernement le manque de mesures en faveur de l’environnement et revendiquent des sanctions financières, de plus en plus d’entreprise se retrouvent en difficultés telle que l’entreprise Mory Ducros très récemment.

Lors de nos interviews, nous avons pu constater que des solutions existaient mais sur lesquelles les différentes parties prenantes du secteur ne s’entendent pas.

L’éco conduite ou conduite rationnelle permet de limiter les consommations d’essences d’un conducteur et ainsi ne pas diminuer la marge du transporteur et réduire les émissions de gaz à effet de serre.

Il existe les normes constructeurs EURO qui imposent des quotas d’émissions par camion, comme le développe Geoffrey Flament dans notre vidéo.

Le transport alternatif telle que le ferroutage, le transport ferroviaire et le transport fluvial sont d’autres solutions viables. Cependant ces solutions présentent de nombreux désavantages : des coûts prohibitifs qui ne les rendent intéressants que pour du transport de très gros volume de marchandise, des problèmes de fiabilité, de nombreux retards dans un secteur où cela n’est pas acceptable et aussi plus de manipulation de la marchandise donc des risques et des coûts supplémentaires.

Le transport avec des camions électriques est pour l’instant réduit à des opérations de messagerie dans des secteurs limités géographiquement. En outre, cela représente des investissements trop important pour les petits transporteurs et les ressources demandées sont encore trop rares (ex : manque de borne de recharge électrique)

Ces solutions ne représentent que malheureusement la partie visible de l’iceberg, de nombreuses contraintes méconnues représentent les principaux obstacles à l’intégration du développement durable au transport routier.

L’optimisation du transport est rendue difficile avec les exigences de certains clients qui imposent aux transporteurs de rouler les camions vides ce qui provoque des pertes économiques et des émissions de gaz à effet de serre « inutiles ». Il s’agit d’une situation perdant/perdant.

La fidélisation des clients dans ce secteur est par ailleurs très compliquée pour ces entreprises puisque les clients n’hésitent pas à changer de transporteurs dès que l’un d’eux vient proposer des tarifs inférieurs. Beaucoup d’entreprises du secteur demandent d’ailleurs une harmonisation européenne puisqu’elles souffrent énormément de la concurrence des transporteurs des pays de l’Est qui proposent des tarifs fortement inférieurs.

La plupart des grands groupes de transport ont pour actionnaires des fonds d’investissement qui ont un horizon d’investissement de 5 à 10 ans et qui n’ont donc pas d’intérêt économique à s’orienter sur une politique écologique qui représente des perspectives plus lointaines

Aujourd’hui, la problématique est donc de savoir si on est en mesure de s’éloigner des perspectives court-termes pour se diriger vers des horizons plus lointains, ce qui est nécessaire à l’implantation de préoccupations écologiques dans les entreprises (les investissements ne peuvent être rentables que sur le long terme dans ce secteur).
ATTENTION à bien citer vos sources ! C'est très important

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

Sustainable Performance Martin Toussaint


1- Ce cours ne m'a pas réellement apporté une meilleure compréhension du monde du business, et ce pour plusieurs raisons (laps de temps trop court, ce qui ne permet pas de pouvoir interviewer des “big players”, aux disponibilités trop réduites pour nous permettre de nous rencontrer. Sur le plan de la notion de développement durable, ce cours m'a permis de constater le fossé existant entre cette notion et la réalité du monde des affaires. Il est également intéressant de constater l'incomprehénsion existant entre les pro-développement durables, et les professionnels du monde des affaires.


2- Comme je l'ai précisé précédemment, le laps de temps trop court ne nous a pas permi de recontrer des “big players” qui nous auraient apporté une vision plus large de notre problématique. Sur le plan des compétences apportées, on peut noter une meilleure compréhension des mécanismes du travail en groupe. Cependant, certains rôles (comme celui du jardiner ou du monteur) me paraissent trop complexes pour des étudiants en école de commerce, et pas forcément pertinent pour notre projet professionnel.


3- Le thème de ce cours a le mérite d'être original. Cependant, le gros bémol reste le laps de temps BEAUCOUP trop court. Il faudrait au moins un semestre complet pour être en mesure de rendre un travail décent et complet. D'autre part, la durée de la vidéo nous parait beaucoup trop courte pour refléter l'intégralité de notre travail.


4- Environ 50%. Les tutoriels sont bien faits mais pas assez complets pour refléter la complexité du travail demandé. (je pense notamment aux tutoriels concernant le rôle de monteur ou jardinier) Ces tutoriels devraient être beaucoup plus complets.


5- Ce cours m'a permi d'améliorer mes compétences de manager (sur le plan intra-groupe). Cependant, sur le plan inter-groupe, la collaboration n'a pas été transcendante (davantage faite pour effectuer des transactions que pour un réel apport).


Bilan sustainable performance

Johann Gierczak

1) Ce cours ne m’a pas apporté une nouvelle compréhension du business en général dans le sens ou les personnes que nous avons interviewé ne m’ont pas apporté un éclairage nouveau sur ce que je savais. Plus largement ce cours m’a permis de prendre conscience de l’enjeu que représente le développement durable dans nos sociétés au quotidien

2) J’ai appris à cerner très préciser la notion de développement durable qui était assez flou pour moi avant ce cours. De plus j’ai pu développer fortement mes compétences en informatique et notamment en matière de tournage. 3) Cette nouvelle expérience m’a beaucoup plu. Elle m’a permis de sortir des sentiers battus de l’enseignement traditionnels pour nous rendre sur le terrain et être confronter directement aux vrais problématiques de notre société. J’ai beaucoup appris de tous les intervenants de ce projet que ce soit mes camarades, les interviewés et dans une certaine mesure les professeurs aussi. 4) j’estime avoir utilisé entre 25 et 50% des ressources du Wiki . EN effet malgré le fait que le wiki regorgeait d’articles et liens tres intéressants et en tout genre, il était assez difficile de le prendre en main au départ et m’a un peu rebuté à l’utiliser. 5) ce travail de groupe n’a pas eu beaucoup d’influence sur mes pratiques intra groupe dans le sens où j’avais déjà beaucoup pratiqué de travaux en groupe lors de ma scolarité. En revanche il a été très riche d’enseignement en matière de collaboration inter groupe grâce à la skem banque qui a joué pleinement son rôle d’intermédiaire entre groupe. Nous avons beaucoup échangé par l’intermédiaire de cette plateforme que ce soit pour du prêt de matière pour tourner ou bien des compétences en tout genre.

Margaux Peuvergne Sustainable Performance; bilan personnel

1) Ce que j'ai pu observer sur la société, même si nous en sommes conscients, c'est que tous les éléments sont liés. L'effet papillon n'est pas qu'une légende. Nous avons tourné un reportage sur les transports de marchandises, ce reportage nous a appris que les responsables de la pollution, ne sont pas toujours ceux auquels on pense. Concernant le business, je retire de ce projet que tout le monde a besoin de se nourir, que l'économie actuelle repose beaucoup sur les échanges et donc sur le transport de marchandises. Or, les personnes que nous avons rencontrées au cours de notre reportage, qui luttent pout l'environnement, ne semblent hélas pas avoir assez conscientes de ce système. Pour ma part, je suis d'avis qu'il faut changer le système, mais ceci est impossible, car les conséquences peuvent être désastreuses.


2) Etant jardinière, c'est surtout des capacités en informatiques que j'ai pu acquérir au cours de ce projet. Je ne suis en effet pas très compétente dans ce domaine à la base.


3) J'ai vécu cette expérience comme une réelle aventure avec des amis. Nous étions la plupart du temps d'accord entre nous et motivés sur le projet, nous n'avons donc pas eu de problème d'investissement de la part de certains membres. J'ai appris le plus de choses sur le sujet avec Geoffrey Flament, de la compagnie de transports Routiers Bretons. Il a eu une analyse très objective de la situation et son honnêteté nous a permis d'en savoir plus que tout ce qu'on peut lire dans les journaux sur le développement durable ou les transports. Nous avons par exemple appris que souvent, ce sont les clients qui mettent des barrières aux volontés d’amélioration écologique des transports.

4) J’estime avoir utilisé le wiki à 50%. Il était imposible de poster quoi que ce soit sans avoir les codes et toutes les explications. D’autre part il était très agréable de retrouver toutes les explications des amphis sur le site. En revanche, nous nous sommes débrouillés seuls pour le montage car tout dépend des logiciels que nous avions à disposition.

5) J’ai déjà un souci écologique et je fais attention dans ma vie de tous les jours à mon emprunte sur l’environnement. En revanche, notre projet portant sur les transports de marchandises, il est difficile de changer quoi que ce soit dans nos habitudes, si ce n’est changer nos achats. Or, j’estime que la logistique de production des produits est opaque. Le made in France ou de la región l’est rarement entièrement. De plus, étant étudiante, mes budgets sont serrés et je ne peux me permettre de changer ma consommation. Parmis les compétences que j’ai pu apporter: - Mon sens de l’organisation - Mon sens du social: pour les contacts qu’on a trouvés - Ma curiosité: j’avais constaté cette problématique des transports durant mon stage cet été et voulais l’aborder durant un projet comme celui-ci afin de l’approfondir pour ma culture générale.


Martin Fesneau

1) ce cours a permis de mieux connaître le point de vue sur le développement durable de plusieurs acteurs de la société et du secteur du transport. Le développement durable dans le secteur du transport est surtout une obligation gouvernementale qui pénalise plus les entreprises que cela ne leur rend service.


2) Je ne pense pas avoir développer des compétences particulières pour ce cours, le laps de temps beaucoup trop court pour tourner nos vidéos ne nous a pas aidé puisque nous avons du faire appel à quelqu’un pour le montage vidéo alors qu’avec un peu plus de temps nous aurions pu le faire nous même et ainsi obtenir des compétences supplémentaires. De plus, quel est la pertinence de faire faire du montage vidéo ainsi que du codage de pages web à des étudiants d’école de commerce ? Nous ne sommes pas des étudiants en école de cinéma ou de programmation.

3) Ce sont les personnes interviewées qui m’ont le plus appris.


4) Inférieur à 25%. Je n’ai jamais lu un article sur le wiki et je n’en ai jamais ressenti le besoin.

5) Non ce cours n’a pas eu et n’aura pas d’influence sur mes pratiques collaboratives. La bourse collaborative apparaît plus comme une obligation qu’un réel moyen d’aire : le nombre d’échanges sur cette bourse va venir majoré ou pénaliser notre note alors que tout le monde n’a pas forcément eu besoin de l’utiliser s’il dispose de toutes les compétences nécessaire.


Mathieu Le Sech

1) Ce cours m’a permis de confirmer les idées reçues que j’avais à propos du développement durable. Il s’agit d’une notion que j’étudie depuis BAC+1 dans un cadre plutôt théorique. Ce cours a été l’occasion de voir comment les entreprises pouvaient le mettre en pratique à travers leurs activités. Toutefois, on a remarqué que le développement durable n’était pas une philosophie appliquée spontanément par les entreprises mais bien plus une contrainte leur permettant d’obtenir des avantages fiscaux ou sociaux. De plus, il s’agit parfois d’une arme marketing utilisée de mauvaise foi par les entreprises pour gagner de plus en plus de part de marché.

2) Ce cours m’a permis une nouvelle fois de travailler en équipe mais il a été dur d’acquérir des compétences précises en si peu de temps. De plus le montage vidéo a vraiment était la tâche la plus dure à réaliser pour nous.

3) C’était une expérience différente d’un cours classique donc moi rébarbatif. Cela a aussi permis de se rapprocher de personne opérationnelle, d’observer leur quotidien.

4) Inférieur à 25%, nous n’avons pas eu besoin du wiki dans notre enquête.

5) Non, ce cours n’a pas eu d’influence sur mes pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre de notre projet. La bourse de compétences nous a peu été utile bien que nous avons tenté d’aider certains groupes mais en vain car nous n’avons pas été assez réactif sur cette plateforme.

Damien Journel

1- Je ne trouve pas que le cours m’ait apporté une meilleure compréhension du monde du business. Cependant en ce qui concerne le développement durable, je me suis rendu compte que les entreprises se voient obligées pour une question d’image et uniquement pour ça, de s’imposer des mesures écologiques. Mesures qui n’influent au final que pour des groupuscules petits par la taille, mais grands par les retombées (i.e les écolos)

2- J’ai appris grâce à ce cours qu’il est strictement impossible d’interviewer des acteurs importants du domaine voulu en un si petit laps de temps. Les compétences que j’ai acquises sont qu’il est impossible de laisser gérer des tâches telles que du montage ou de la programmation web (wiki) à des étudiants issus d’écoles de commerce. Ce n’est pas notre cœur de métier …

3- L’expérience est bonne à faire, mais nous n’avons vraiment pas le temps de réaliser ce reportage dans de bonnes conditions sur un semestre. Ce projet de sustainable performance peut être intéressant, mais je le verrai plus pour des étudiants de L3 sur l’année entière, comme un fil rouge. Nous n’avons pas plus de compétences en M1 qu’en L3 pour ce projet alors que nous avons plus de temps.

4- Entre 25 et 50%. Les tutoriels sont très utiles quand ils sont bien faits. Il ne faut négliger aucun détail dans un tutoriel. Pour les années à venir, je vous conseille de faire de bons tutoriels (encore meilleurs que ceux que vous proposez, et je sais que vous avez beaucoup bossé à ce sujet, mais il y a encore du taf). C’est-à-dire des tutoriels pour TOUT, et des tutoriels ultra précis qui ne négligent AUCUN détails. (jusqu’à écrire « cliquer sur OK » !)

5- Pas d’influence. J’ai du mal à répondre à cette question …. Je ne trouve rien à dire par rapport à la « bourse de compétences »


Margaux Peuvergne Sustainable Performance; bilan personnel

1) Ce que j'ai pu observer sur la société, même si nous en sommes conscients, c'est que tous les éléments sont liés. L'effet papillon n'est pas qu'une légende. Nous avons tourné un reportage sur les transports de marchandises, ce reportage nous a appris que les responsables de la pollution, ne sont pas toujours ceux auquels on pense. Concernant le business, je retire de ce projet que tout le monde a besoin de se nourir, que l'économie actuelle repose beaucoup sur les échanges et donc sur le transport de marchandises. Or, les personnes que nous avons rencontrées au cours de notre reportage, qui luttent pout l'environnement, ne semblent hélas pas avoir assez conscientes de ce système. Pour ma part, je suis d'avis qu'il faut changer le système, mais ceci est impossible, car les conséquences peuvent être désastreuses.


2) Etant jardinière, c'est surtout des capacités en informatiques que j'ai pu acquérir au cours de ce projet. Je ne suis en effet pas très compétente dans ce domaine à la base.


3) J'ai vécu cette expérience comme une réelle aventure avec des amis. Nous étions la plupart du temps d'accord entre nous et motivés sur le projet, nous n'avons donc pas eu de problème d'investissement de la part de certains membres. J'ai appris le plus de choses sur le sujet avec Geoffrey Flament, de la compagnie de transports Routiers Bretons. Il a eu une analyse très objective de la situation et son honnêteté nous a permis d'en savoir plus que tout ce qu'on peut lire dans les journaux sur le développement durable ou les transports. Nous avons par exemple appris que souvent, ce sont les clients qui mettent des barrières aux volontés d’amélioration écologique des transports.

4) J’estime avoir utilisé le wiki à 50%. Il était imposible de poster quoi que ce soit sans avoir les codes et toutes les explications. D’autre part il était très agréable de retrouver toutes les explications des amphis sur le site. En revanche, nous nous sommes débrouillés seuls pour le montage car tout dépend des logiciels que nous avions à disposition.

5) J’ai déjà un souci écologique et je fais attention dans ma vie de tous les jours à mon emprunte sur l’environnement. En revanche, notre projet portant sur les transports de marchandises, il est difficile de changer quoi que ce soit dans nos habitudes, si ce n’est changer nos achats. Or, j’estime que la logistique de production des produits est opaque. Le made in France ou de la región l’est rarement entièrement. De plus, étant étudiante, mes budgets sont serrés et je ne peux me permettre de changer ma consommation. Parmis les compétences que j’ai pu apporter: - Mon sens de l’organisation - Mon sens du social: pour les contacts qu’on a trouvés - Ma curiosité: j’avais constaté cette problématique des transports durant mon stage cet été et voulais l’aborder durant un projet comme celui-ci afin de l’approfondir pour ma culture générale.

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