Comment l’obtention du label la Clef Verte a-t-elle influencé la gestion de l’énergie dans le groupe Carlson Rezidor Hotel ?

De Movilab
Aller à :navigation, rechercher

Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :
"Comment l’obtention du label la Clef Verte a-t-elle influencé la gestion de l’énergie dans le groupe Carlson Rezidor Hotel (Radisson et Park Inn) ?'"

Notre but est d’étudier l’impact du label La Clef Verte sur le management et les changements qui en ont découlé au niveau de la gestion de l’énergie.

Le label Clef Verte est composé de 5 domaines, et nous avons décidé de nous focaliser sur celui de l’énergie.

Nous reprendrons donc la définition donnée par le label de la gestion de l’énergie : les ressources énergétiques, la chaleur, les équipements domestiques et l’éclairage.

Nous chercherons aussi à savoir quels sont les bénéfices tant pour le groupe que pour les clients à posséder ce label.
MESSAGE DU PROF : problématique validée. Faites juste attention à ne pas traiter votre sujet sous l'angle technologique de la gestion énergétique mais en conservant bien comme axe de travail la dimension managériale (ex. choix stratégique, change management, ...). Si vous gardez bien cet angle, vous pourrez faire un super boulot. Très bon travail à vous !

Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

Labelcleverteradissonblu.jpg

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]

Nous tenons à remercier chaleureusement Monsieur Frédéric HAIRE, Responsable de la politique éthique, sociale et environnemental du Park Inn by Radisson de Nice.

Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

Comment l’obtention du label La Clef Verte a-t-elle influencé la gestion de l’énergie dans l’hôtel Park Inn de Nice ?

Nous sommes aujourd’hui face à un paradoxe : comment faire face à la préoccupation écologique d’une part sans oublier que les hôtels doivent affronter des demandes de clients de plus en plus exigeants, dans de grands groupes où le profit et la maîtrise des coûts est la première préoccupation. Le groupe Carlson Rezidor Hôtels a décidé de relier le tout, en utilisant l’image écologique comme image de marque pour ses hôtels. Cette image est donc légitime puisque tous leurs hôtels Park Inn français ont obtenu le label Clef Verte, label malheureusement peu connu en France par le grand public. Mais qu’est-ce que ce label ? Pourquoi « clef verte » ? [1]

La Clef Verte est un label qui voit le jour en 1994 au Danemark grâce à des professionnels de l’hôtellerie [2]. Il vise à récompenser les entreprises du secteur de l’hébergement touristique écologique dans leurs démarches de réduction d’impact écologique. En effet, ces établissements doivent respecter plusieurs critères sur cinq domaines : leur politique environnementale, leur gestion de l’eau, des déchets et des achats responsables, leur cadre de vie et leur sensibilisation à l’environnement. [3]

Mais vous me direz, pourquoi créer ce label ? Tout simplement pour répondre à plusieurs objectifs. C’est d’abord un outil pédagogique qui permet l’intégration d’une politique environnementale dans la gestion d’un établissement touristique. Il permet également de sensibiliser les employés et clients à l’environnement, et de promouvoir les établissements touristiques qui ont obtenu le label et de valoriser leurs initiatives.

Mettons-maintenant en application la gestion de l’énergie pour le groupe Carlson Rezidor, notamment concernant la politique des hôtels Park Inn. Il s’avère que le groupe Carlson Rezidor est engagé depuis 1989 dans la gestion durable au travers de son programme Responsible Business [4]. Lors de notre rencontre avec Frédéric Haire, responsable de la politique éthique, sociale et environnementale du Park Inn by Radisson de Nice, nous avons eu l’occasion d’échanger autour des moyens mis en œuvre pour une meilleure gestion de l’énergie.

La réduction des dépenses énergétiques passe souvent par des investissements lourds, pour l’achat de nouveau matériel ou la mise à niveau d’équipements existants. Le défi est ici de réduire l’empreinte énergétique de l’hôtel en modernisant une infrastructure existante : à la clé des réductions de coûts ainsi qu’une image d’établissement responsable de son environnement auprès des clients.

Dans l’hôtel Park Inn de Nice ces investissements sont divers : passage aux ampoules à basse consommation, modernisation des moteurs de climatisation et de chauffage pour des équipements moins gourmands en énergie sont deux exemples. Les fournisseurs sont aussi sélectionnés en tenant compte de leur empreinte éco-responsable. La laverie gérée par un sous-traitant n’utilisant pas de javel n’est qu’un exemple.

Mais la mise en pratique de cette politique ne s’arrête pas là. La gestion de l’énergie passe aussi par des changements managériaux. Une politique de reporting a été mise en place où chaque manager a accès aux relevés de consommation énergétique de sa branche et peut ainsi mesurer le chemin parcouru d’un mois sur l’autre. Ces données permettent d’apporter un retour chiffré quant aux pratiques mises en place. La formation du personnel est elle-aussi basée sur cette thématique.

Bien sur, tous les hôtels du groupe Carlson Rezidor n’ont pas les mêmes moyens et ne peuvent donc pas toujours procéder aux mêmes investissements. Il existe donc un seuil à partir duquel un établissement peut difficilement améliorer ses performances en terme de gestion de l’énergie, car tous les hôtels du groupe n’ont pas le même budget, et ne sont pas de la même taille. Comme l’expliquait M. Haire dans sa vidéo, l’hôtel Radisson de Dubaï n’aura évidemment pas les mêmes moyens que le Park Inn de Nice, bien qu’appartenant au même groupe. Au delà de ce seuil, une fois les investissements en modernisation effectués, seul l’humain peut faire la différence. D’où l’importance du management.

C’est là le principal levier : un personnel bien formé peut faire la différence, une signalétique qui incite le client à user les ressources à bon escient peut également avoir un impact fort. Enfin le personnel se doit de montrer l’exemple, expliquer les gestes qui permettent d’économiser de l’énergie. Plus largement s’investir d’une mission d’accompagnement auprès des clients, sans les forcer bien entendu, montrer les bienfaits d’une meilleure gestion des ressources énergétiques.

Au final, les hôtels se doivent de mettre en place de nouvelles stratégies et actions liées au développement durable. C’est un investissement financier mais ça se traduit pour les clients par une meilleure image écologique, et donc un coup marketing ?

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

Question 1 : En quoi ce cours vous donne t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et plus généralement de la société ?


Chloé : Je ne trouve pas que ce cours donne une compréhension du business en général mais plutôt une nouvelle compréhension de l’entreprise interviewé dans notre reportage.

Cyntia : Ce cours n'a pas vraiment changé ma vision du business en général ou de la société. J'ai juste appris que certaines hôtels ont des labels mais qu'ils ne communiquent pas dessus.

Eva : Nous n’avons eu des nouvelles connaissances uniquement sur le sujet que nous avons traité, et non pas sur le business en général.

Fanny : Ce cours m’a permis de comprendre que l’enjeu du développement durable était de plus en plus important dans les entreprises, même dans celles où je ne pensais pas que c’était l’un des enjeux principaux. Par exemple, dans l’hôtellerie où les investissements sont très importants. Il en est de même pour la société, où les gens prennent en compte le développement durable, mais le plus souvent pour leur propre bien-être ou pour faire des économies de coûts.

Pauline : Ce cours nous a permis de rencontrer des professionnels, et à travers les vidéos des autres groupes de mieux connaitre certains concepts, et de découvrir de nouvelles idées. On peut constater que tout le monde s’oriente vers le développement durable, cela devient aujourd’hui incontournable. Alors que nous pensions qu’il s’agissait pour beaucoup de green washing, nous sommes agréablement surpris par le fait que les entreprises prennent cela réellement au sérieux.

Victor : Une prise de conscience plus grande du développement durable et surtout je me suis rendu compte que certaines entreprises (en l’espèce le groupe Carlson Rezidor) prennent vraiment cette thématique à coeur, au delà d’une question d’image. Le groupe Carlson Rezidor a par exemple entamé cette démarche en 1988, bien avant que cette thématique soit « à la mode ».


Question 2 : Qu’avez vous le plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez-vous formuler les compétences acquises ?


Chloé : Compétences sur Movie Maker, sur la rédaction d’un article journalistique, sur les étapes de réalisation d’un reportage.

Cyntia : J'ai acquis des compétences concernant le montage d'une vidéo. Et des connaissances sur l'hôtel Park Inn, et le label la clef verte.

Eva : Compétences en montage vidéo, en phoning, en rédaction d’article de journal.

Fanny : J’ai beaucoup appris sur mon sujet, cependant sur la façon d’intégrer la performance durable dans le management des entreprises je n’ai pas vraiment acquis de vraies compétences car je n’ai pas pu regarder toutes les vidéos, et la plupart n’étaient pas du tout centré sur ce type de sujet. Les majeures compétences ont été autres que liée à la matière (production audiovisuelle, droits des images et MUSIQUES, réponse concrète à une problématique, journalisme).

Pauline : L’organisation un élément important pour pouvoir répondre en temps et heures aux demandes et pallier aux imprévus. Compétences acquises : filmer, produire un reportage, contacter des professionnels, monter une vidéo.

Victor : Efficacité du travail en groupe et respect des deadlines. Le fait d’avoir chacun un rôle a beaucoup aidé à cela. Personnellement j’ai aussi acquis des compétences en lien avec la publication dans un wiki, cela m’a poussé à m’intéresser de plus près aux languages web, notamment le HTML.


Question 3 : Comment avez-vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De quoi avez-vous le plus appris (de vos pairs ? de l’interviewé ? de vos profs..?) ?


Chloé : C’est une très bonne idée de changer un cours basique en amphithéâtre contre la réalisation d’une vidéo. Cependant, j’ai été un peu frustré car nous n’avons pas tous les compétences nécessaires pour réaliser une bonne vidéo. J’ai le plus appris de mes pairs au fur et à mesure du montage vidéo.

Cyntia : J'ai apprécié l'expérience. J'ai trouvé plutôt amusant de faire le montage et d'interroger des personnes dans la rue pour le micro-trottoir. J'ai le plus appris de l'interviewé qui nous a donné beaucoup de détails sur ce que fait Park Inn en rapport avec le développement durable.

Eva : Nous n’avons eu aucun cours proprement dit sur le développement durable. Personnellement, j’ai passé plus de temps à apprendre à faire/monter une vidéo que sur le développement durable en général.

Fanny : A la base, je trouve ce genre de cours très intéressant, car on a dû s’impliquer beaucoup plus que pour un simple dossier et acquérir de vraies compétences autres que sur le développement durable. Créer une problématique c’est bien, mais concrétiser la réponse c’est encore mieux. J’ai énormément appris de l’interviewé, pas du tout des profs qui étaient moins présents du fait du nombre de groupes qu’ils avaient, et pour mes pairs, je suis déjà habituée au travail en groupe. Ce que j’ai mal vécu concerne le feedback des profs en général et la notation (cf. question 5 et 6).

Pauline : Je n’ai pas forcément apprécié l’expérience, car je n’avais pas les outils pour mener à bien le projet (connaissance en développement durable, connaissance en montage vidéo, nous n’avions pas le matériel adéquat, et ne pouvions pas non plus l’acquérir via la Skem bank car ce que nous voulions n’était pas disponible sur Sophia). Je pense avoir le plus appris de l’interviewé.

Victor : Le format de ce cours est intéressant, précurseur peut-être. Avoir un planning à respecter et devoir être autonome est très formateur à mon sens. J’ai le plus appris de l’interviewé et des recherches sur notre sujet.


Question 4 : A quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés (inférieur à 25%, entre 25 et 50%, entre 50 et 75% ? Au delà de 75% ?) Qu’est ce qui a été le plus utile pour vous ? Si faible d’utilisation, pourquoi ?


Chloé : Entre 50 et 75%. + utile: vidéos explicatives et articles concernant la réalisation d’un reportage.

Cyntia : Je pense avoir utilisé le wiki et les liens associés à hauteur de 35%. Notre page ayant disparu pendant une semaine sans aucune raison apparente je n'ai pas bien compris l'utilité du wiki. De plus, même si l'idée est bonne je pense que c'est un site beaucoup trop compliqué à utiliser.

Eva : Hormis les vidéos d’informations sur la façon de créer une vidéo (75%), j’ai très peu utilisé les ressources du wiki. Je ne les trouve pas pertinente.

Fanny : Je pense avoir utilisé les ressources wiki et liens associés entre 25 et 50%. Plus pour le dossier de production, que je ne savais pas du tout faire, moins pour la réalisation d’un reportage audiovisuel.

Pauline : Au-delà de75%, les vidéos.

Victor : Entre 50 et 75%, surtout du fait de mon rôle de jardinier wiki. J’y ai trouvé des informations pertinentes, en réponse à mes problèmes le plus souvent. Par contre j’ai trouvé qu’il n’était pas toujours facile de trouver les bonnes infos tellement il y a d’articles sur le wiki. La page du calendrier du cours est pratique mais mérite d’intégrer plus de liens utiles (du type « accès rapide » au ressources les plus consultées par exemple).


Question 5 : Ce cours a t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui-ci ? Quel a été l’apport de la bourse de compétences ? Comment les compétences ont-elles circulé ?


Chloé : Pas vraiment d’influence. Les compétences que nous souhaitions obtenir n’étaient pas disponibles sur le campus de Sophia. Impossibilité d’échange de SKEM donc pénalité dans la note pour rien.

Cyntia : La bourse de compétence a été une bonne idée dans la théorie mais dans la pratique ça a été beaucoup plus compliqué a utilisé. En effet, personne n'avait les compétences ou les choses que nous recherchions sur Sophia. Du coup, cette banque n'a pas été très utile. De plus, je doute vraiment de la sincérité des personnes ayant un nombre d'échanges importants ! Ce cours m'a permis de me rapprocher des personnes de mon groupe, mais je ne pense pas pouvoir dire qu'il m'a permis d'apprendre une nouvelle façon de travailler. En effet, ayant fait un IUT Techniques de Commercialisation, travailler en groupe est une chose normale pour moi.

Eva : Selon moi, les peu d’échanges réalisés ne font pas réels, mais uniquement dans le but d’améliorer la note finale. De plus, sur le campus de Sophia, il y avait très peu d’annonces concrète (aucunes sur la location de micro par exemple).

Fanny : Intra-groupe, j’ai appris à réaliser la totalité du travail en collaboration, plus que pour les dossiers où la plupart du temps chacun fait une partie et ensuite on met tout en commun. Ici nous avons pris toutes les décisions ensemble de la problématique au montage. Inter-groupes, nous avons pu nous aider car certains groupes avaient des compétences que nous n’avions pas et inversement. Mais nous ne nous sommes pas aidés de la Skem Banque puisque aucune de nos demandes ou offres n’a eu de réponses (et nous ne trouvions pas ce que nous voulions sur Sophia). De plus je pense que énormément de groupes n’ont pas été honnêtes dans leurs échanges de skems (échanges arrangés) donc je ne comprends pas que ce soit un système de notation.

Pauline : Nous avons réalisé un vrai travail d’équipe tout le monde a contribué à l’élaboration de la vidéo et a apporté ses compétences. Je doute de la sincérité de tous les échanges sur la banque, c’est pourquoi je ne comprends pas bien le sens d’une récompense par rapport à cela. Par ailleurs, nous n’avons pas trouvé ce dont nous avions besoin sur la Skem banque sur Sophia.

Victor : Au sein de notre groupe nous avons collaboré, échangé par rapport au compétences de chacun. Avec les autres groupes nous avons échangé mais plutôt sur l’avancement de nos projets et sans passer par la Skem banque. Pour moi la bourse de compétences était mal organisée (beaucoup trop d’annonces et aucun tri), nos annonces n’ont d’ailleurs reçu aucunes réponses. Une grande partie des échanges s’est à mon avis faite sous forme d’échanges entendus. Le fait d’intégrer les échanges de ce type dans la notation ne me semble pas être un choix judicieux.


Question 6 : Quelles sont vos critiques et suggestions d’amélioration pour ce cours ?


Chloé : Avoir un minimum de cours sur le développement durable car malgré le fait que la réalisation d’une vidéo soit ludique, nous ressortons uniquement avec des connaissances sur notre propre sujet. Je ne peux pas dire que j’ai suivi un cours sur le développement durable car nous n’avons aucune notion.

Cyntia : J'ai été très déçue par ce dernier cours de Performance durable. En effet, beaucoup de règles imposées par les professeurs n'ont pas été respecté. Certaines vidéos ont été élu meilleures vidéos de Skema alors qu'elles ne respectaient pas les critères de temps (5 à 7 minutes MAXIMUM) : ce critère nous a de plus été rappelé par mail une semaine avant la deadline ! Des musiques NON LIBRE DE DROIT ont été utilisé alors que ça aussi c'était un critère interdit ! Je suis donc dans l'incompréhension la plus totale ! Que les élèves ne respectent pas les règles c'est une chose mais qu'ils aient l'appui des professeurs qui avaient eux-mêmes établies ces règles me laisse perplexe sur la notation finale de ce cours. De plus, tout le monde n'a pas les mêmes compétences concernant le montage d'une vidéo, et n'a pas le même matériel. Je trouve ainsi un peu injuste d'inclure ce critère dans la notation puisque nous sommes dans une école de commerce & non dans une école de cinéma ! Pour finir on nous a dit qu'il fallait respecter les 3 critères (sociaux, environnementaux & managériaux) pour créer notre problématique. Notre problématique a été invalidé plusieurs fois car ces 3 critères n'étaient pas forcément respectés. Et durant le dernier cours de performance durable on nous a montré la vidéo numéro 4 (concernant le stress au travail). Et je n'ai pas du tout vu le lien avec l'environnement. De plus, un étudiant a posé la question du lien avec le développement durable durant le cours & un intervenant nous a répondu que c'était lié à UN des 3 piliers : l'aspect social... Il y a tout de même des points positifs. C'est le premier cours où ont a pu être en interaction avec les campus de Lille et Paris et c'est quelque chose que j'ai beaucoup apprécié. J'ai aimé faire la vidéo et j'ai trouvé ça très intéressant. Les intervenants savaient animer les amphis. Jusqu'à ce dernier cours j'avais une très bonne image de ce cours. De plus, j'ai aimé le fait que l'on n'est pas encore un simple dossier à faire, que l'on soit vraiment obligé de s'investir et qu'il nous faille chercher plus loin que sur internet pour pouvoir faire une bonne vidéo. Malheureusement cette image positive c'est détériorée après ce dernier cours !

Eva : L’idée de changer le support du cours est intéressante. Cependant, des modifications sont a apporter. Par exemple, nous faire un vrai cours sur le sujet (développement durable), ainsi qu’une formation au montage vidéo.

Fanny : J’ai été très déçue de ce dernier cours de Performance Durable. Concernant la sélection des meilleures vidéos, qui montre donc plus ou moins l’appréciation des profs, certaines vidéos ne respectaient pas les consignes. Par exemple l’usage d’une dizaine de musiques ultra-commerciales et donc non-libre de droit. Des extraits d’un reportages M6 sans accord, ni citation de sources… Des films dans des lieux publics non-autorisés (ex : gare SNCF) alors qu’on nous l’avait précisé un grand nombre de fois. Sans parler de l’honnêteté de certaines interviews, et du non-respect du temps imposé. De plus, les professeurs nous ont parlé comme type de reportage proposés dans le wiki (réalisation d’un reportage audiovisuel) d’une seul interview d’une personne de l’entreprise, et ils le citent comme erreur fatale le dernier jour… Même critique pour le système de Skems qui ne me paraît pas adapté au projet. Je pense qu’utiliser la page Facebook comme mur de compétence aurait été beaucoup mieux car on y va tout le temps, les échanges sont facilités et moralement, pourquoi faire PAYER une compétence dans un système collaboratif ? Dernière critique, je pense que les différents professeurs n’ont pas la même façon de gérer la matière. En moins d’un semaine, la plupart des problématiques de groupes ont été validés par certains professeurs, alors que pour un autre ensemble de groupes, il a fallut refaire de nombreuses fois la problématique. Les professeurs n’avaient donc surement pas la même exigence. De plus, nous n’avons pas la description des critères d’évaluation, et je pense que la notation sera totalement subjective. Les 5 vidéos CHOISIES par les professeurs ne respectent pas toutes les consignes, ce qui me fait croire que la notation est certainement subjective, relative au sujet et pas du tout au FOND et à la forme du reportage.

MAIS, concernant la globalité du cours, j’ai apprécié le fait que ce soit en collaboration avec les autres campus, avec l’usage d’outils virtuels (surtout le wiki et la page Facebook), et je pense que ce concept doit continuer, c’est une vraie valeur ajoutée pour Skema.

Pauline : Je trouve cela très bien d’avoir voulu innover sur la façon d’enseigner, l’idée de reportage est intéressante, cependant mes connaissances étant limitées en « cinématographie », montage vidéo… je reste un peu frustrée de ne pas avoir pu faire mieux. Par ailleurs, on nous reproche d’avoir interviewé une seule personne, ce qui n’avait jamais été mentionné, par contre des vidéos ne respectant pas les règles (droit des musiques, utilisation d’images d’autres reportages…) sont mises en avant.

Victor : Améliorer la plateforme bourse de compétences. Encourager les échanges entre groupes oui mais les « forcer » en tenant compte de ceux-ci dans la note finale à je pense plutôt encouragé les échanges fictifs que de véritables échanges. Un amphi sur l’aspect vidéo du projet est à envisager également je pense, en plus des ressources disponibles dans le wiki cela permettrait une certaine mise en pratique utile pour la suite des projets. Egalement je pense il peut être bon de réfléchir à une séance de « tutorat » ou questions-réponses réunissant un professeur référantes les groupes dont il a la charge. Ou en tout cas continuer à proposer des entretiens skype professeur référant-groupe pour permettre de poser des questions et de débattre sur les problématique autrement que par e-mail.

Feedback final du professeur[modifier | modifier le wikicode]

Votre approche est très descriptive par rapport au label la clef verte. L’analyse de la dimension managériale n’est pas suffisamment mise en avant. L’approche reste trop opérationnelle, et pas assez sur le management stratégique, tant dans votre reportage que dans votre article journalistique.
Une seule source, c’est trop peu pour aborder une thématique de manière plus globale. Il vous manque une conclusion et une recommandation.
La vidéo est bien montée, dynamique, avec un bon habillage musical. Les interviews dans la rue au début ne sont pas très pertinents par rapport au sujet et à votre reportage. L’idée est bonne, mais vous auriez pu aborder des sujets plus en lien avec votre thématique abordée. Il vous manque quelques transitions entre les différentes parties.


Notes et références[modifier | modifier le wikicode]


Retour vers la page d'accueil du cours

Soutenir Movilab

Vous pensez que nous allons dans le bon sens ? Si vous en avez l'envie nous vous invitons à nous rejoindre ou à faire un don.