Comment l'enseigne Louis Vuitton fait-elle évoluer ses activités tout en prenant compte des principes écologiques et environnementaux?

De Movilab
Aller à :navigation, rechercher

Comment l'enseigne Louis Vuitton fait-elle évoluer ses activités tout en tenant compte des principes écologiques et environnementaux?

Le Groupe n°155[modifier | modifier le wikicode]

ROLE DANS LE GROUPE
NOM DE L'ETUDIANT(E)
PORTABLE (non obligatoire)
Le référant caméraman
Laura Ponticelli
laura.ponticelli@skema.edu
Le référant chargé de production
Laura Ponticelli
laura.ponticelli@skema.edu
Le référant journaliste
Salma Ben Yaghlane
salma.benyaghlane@skema.edu
Le référant post-production
Mouna Zizi
mouna.zizi@skema.edu
Le jardinier wiki
Salma Ben Yaghlane
salma.benyaghlane@skema.edu
Le banquier du groupe
Mouna Zizi
mouna.zizi@skema.edu

Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :

Comment l'enseigne Louis Vuitton fait-elle évoluer ses activités tout en prenant compte des principes écologiques et environnementaux ?

Introduction:[modifier | modifier le wikicode]

Le développement durable est incontournable aujourd'hui et concerne désormais tous les secteurs d'activité. Le luxe n'y échappe pas. En effet, le groupe LVMH a fêté, en 2012, ses 20 ans d'engagement dans le domaine du développement durable. Depuis 1992, une Direction de l'Environnement a pour vocation d'accompagner les différentes Maisons du groupe dans la mise en oeuvre d'un engagement plus responsable. Pourquoi et à travers quels moyens l'enseigne Louis Vuitton parvient-elle à intégrer cette problématique dans sa stratégie d'entreprise?

Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

Dossier de Production

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]

Nous tenons à remercier chaleureusement Sandrine N. Responsable environnement chez Louis Vuitton ainsi que les participants du Micro-trottoir ( Louis, Marie-Claude et Jacqueline)

Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

Cliquez ici pour lire l'article en version pdf



Journalistique Wikigroupe155-2.png

Groupe155-3.png


Sources : Dossier environnement LVMH 2012

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

Questions à traiter :


1 – En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général? Et plus largement de la société?


Salma Ben Yaghlane : Ce cours m’a aider à réaliser l’importance des enjeux écologiques et environnementaux, tant sur le fonctionnement d’une entreprise, que sur les impacts sur la société en général. La difficulté d’intégrer ce type de problématique au sein d’une stratégie d’entreprise est bel et bien réelle, d’autant plus, au sein des Maisons familiales qui portent un héritage déjà lourd de valeurs. La crédibilité et la nécessité de défendre ces enjeux font partie des point les plus difficiles à gérer pour une entreprise. La personne interviewée nous expliquait que la valeur primordiale que prônait l’enseigne Louis Vuitton était l’Excellence. Alors Excellence et Développement durable peuvent-ils être combinés? Sûrement, mais encore faut-il réussir à intégrer cette nouvelle perspective au sein des mentalités des consommateurs…

Laura Ponticelli : Ce cours m’a permis de comprendre à quel point le développement durable est un enjeu essentiel du 21° siècle et qu’il touche toutes les entreprises, même dans des domaines qu’on imagine a priori peu compatibles (le luxe par exemple). Il m’a fait prendre conscience que notre génération, en particulier, allait être confrontée à cette problèmatique au quotidien dans l’entreprise.

Mouna Zizi : Le cours présente une nouvelle vision du business, une dimension collaborative qui devient de plus en plus importante mais qui n’est pas prise en compte dans tous les secteurs et dont l’impact n’est pas négligeable sur la société.


2 – Qu’avez-vous le plus appris dans le cadre de ce cours? Pouvez-vous formuler les compétences acquises?


Salma Ben Yaghlane : Les notions développées lors de la décision de notre problématique, la mine d’informations apportées par la personne interviewée qui a pu nous donner 30 minutes de son temps afin de fournir des réponses précises à nos questions mais également le travail en équipe (3 personnes sur 6 dans notre groupe), la gestion des deadlines parfois difficiles à respecter, la patience et la précision nécessaires à la réalisation d’une vidéo de qualité ainsi que de son montage. Tous ces points étaient, selon moi, les aspects les plus enrichissants de ce projet.

Laura Ponticelli : Etant passionée par le graphisme ce cours m’as permis d’améliorer mes compétences techniques en matière de montage vidéo/ mise en page (pour l’article wiki). Je pense aussi avoir développé des compétences théoriques sur le dévelopement durable et sur les enjeux de celui-ci au sein de l’entreprise. Le fait que nous ayons été seulement 3 dans notre groupe ne s’est finalement pas averé être un handicap. En effet, cela nous a permis d’être réellement investies dans le projet, le challenge était plus important.

Mouna Zizi : Le cours et l’exercice donné ont aidé à approfondir mes connaissances en matières de développement durable. Il a permis de faire germer une conscience plus forte et une prise en compte systématique de la dimension écologique., qui n’était pas évidente auparavant.


3 – Comment avez-vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage? Qu’avez-vous le plus appris (De vos pairs? De l’interviewé? De vos profs?...)


Salma Ben Yaghlane : Ce format de cours atypique est effectivement plaisant et permet de développer un tas de compétences que les étudiants peuvent avoir sans pour autant les utiliser au sein de leur cursus scolaire. Au-delà du travail d’équipe, de l’aide des professeurs concernant la décision de problématique, de la difficulté de réaliser ce projet avec un effectif à 50% (chacune d’entre nous était responsable de 2 postes), c’est l’opportunité d’avoir pu rencontrer Sandrine Noël, Responsable Environnement de Louis Vuitton, qui m’a le plus appris. Le choix de nos questions était particulièrement difficile à définir puisque nous étions en contact avec 2-3 personnes de la marque, toutes n’étaient pas disponibles pour un entretien physique dans le timing convenu mais Mme Noël a pu s’entretenir 30 minutes avec nous dans ses bureaux et a accepté de répondre à toutes les questions posées sans exception. Malgré le fait qu’elle ne soit pas systématiquement entré dans les détails lors de l’interview, ses réponses ont été formulées avec une certaine transparence et elle n’a pas hésité à nous expliquer les difficultés que pouvaient poser ses missions au sein de l’entreprise.

Laura Ponticelli : Cette forme d’apprentissage permet de développer des compétences qui ne sont pas frocément mises en exergue dans les cours classiques qu’on nous propose en école de commerce. Notamment nous avons pu mettre en pratique des compétences qui s’avèrent être essentielles pour notre futur professionnel (travail en groupe, autonomie, contact de professionnels, gérer les imprévus et difficultés).

Mouna Zizi : Durant la réalisation du projet, internet était mon allié. Toutes les informations dont j’avais besoin, mais que je ne retrouvais pas sur le wiki me poussaient à chercher plus profondément dans le sujet et de ce fait lire plusieurs points de vue et conceptions complémentaires ou contradictoires sur le sujet. Cette nouvelle expérience d’apprentissage serait encore plus intéressante avec un accès aux ressources et aux informations plus facile que sur la page wiki.


4 – A quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés (inférieur à 25%, entre 25 et et 50%, entre 50 et 75%? Au-delà de 75%? Qu’est-ce-qui a éte le plus utile pour vous? Si faible utilisation, pourquoi?


Salma Ben Yaghlane : Les ressources du wiki ainsi que les liens associés ne nous ont pas particulièrement aidé. Bien entendu, en tant que jardinière du groupe j’ai, plusieurs fois, eu à utiliser les aides sur les différentes pages, notamment au tout début du projet. Mais très vite, d’autres priorités se sont avérées être plus importantes : prise de rendez-vous, rencontre avec la personne interviewée, vidéo, montage (qui prennent énormément de temps) et on s’habitue assez vite au wiki donc j’estimerai à 40% l’utilisation de cette plateforme.

Laura Ponticelli : Je dirais entre 25 et 50%. Je l’ai avant tout utilisé pour me renseigner sur les diffèrentes étapes du projet, les deadlines et les descriptions des travaux à faire.

Mouna Zizi : Je pense avoir utiliser les ressources du Wiki a 50%. La navigation n’étant pas très claire ni évidente, je me tournais souvent vers mes camarades de classe ou de groupe.


5 – Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui-ci? Quel a été l’apport de la bourse de compétences? Comment les compétences ont-elles circulé?


Salma Ben Yaghlane : Nous avons eu à utiliser la bourse de compétences à quelques reprises mais nous avons préféré nous ‘débrouiller’ seules (nous avons acheté un micro et un pied de caméra) au cas où un problème de dernière minute aurait pu arriver. Le travail en équipe s’est globalement très bien déroulé, malgré quelques désaccords, entre 2 personnes, qui ont malheureusement surgi vers la fin du projet (notamment concernant la durée maximum de la vidéo) et qui ont quelque peu perturbé la fin du projet mais dans l’ensemble chacune d’entre nous a rempli ses missions de postes qui lui incombaient et nous étions réellement satisfaites du travail rendu.

Laura Ponticelli : Concernant la bourse de compétences, je trouve que les compétences ont parfois eu du mal à circuler, nous avons quelquefois dû trouver des solutions intermédiaires pour régler nos problèmes (micro, pieds de caméra). Par contre, ce cours m’as apporté des compétences sur le travail en groupe. J’ai notamment été confronté aux désaccords possibles au sein d’un groupe, et aux solutions afin d’y remédier.

Mouna Zizi : Effectivement, ce cours m’a permis de comprendre l’intérêt de délimiter les compétences de chacun et ses champs d’actions. Bien préciser les missions de chacun et le travail collectif régulier sont importants pour mener à bien n’importe quel projet. Pour ce qui est des pratiques collaboratives, je pense qu’elles sont encore timides. L’utilisation des plateforme mise à notre disposition n’était pas forcement évidente ni systématique.


6 – Quelles sont vos critiques et suggestions d’amélioration pour ce cours?


Salma Ben Yaghlane : Au sein de notre groupe, les principales difficultés rencontrées lors de la réalisation de ce projet ne résidaient pas dans l’obtention d’un rendez-vous mais plutôt dans la gestion des deadlines, à certains niveaux, notamment au montage vidéo. En effet, j’étais, pour ma part, responsable de l’obtention de rendez-vous avec les personnes que nous désirions interviewer et très rapidement après un mail clair et précis quant à notre requête, Mme Noël a répondu favorablement et m’a, en 3-4 mails, proposé un rendez-vous dans ses locaux avec accord d’être filmée. Nous avons été agréablement surprises par cette nouvelle et par la chance que nous avions de la rencontrer aussi vite et facilement, contrairement à la majorité des groupes qui n’ont pas forcement eu l’opportunité de rencontrer les personnes souhaitées, en temps et en heure. Néanmois, afin d’avoir un rendu de qualité, il a fallu passer énormément de temps sur l’étape montage de la vidéo. Il a été vraiment difficile de raccourcir 30 min d’interview, avec des questions toutes aussi importantes les unes que les autres, en une vidéo de 7min52 en comptant le micro-trottoir réalisé. Un timing un peu plus long serait le bienvenu pour ce genre de projet, spécialement pour la réalisation du montage vidéo, étape clé du travail.

Laura Ponticelli : Je trouve que les deadlines n’ont pas toujours été adaptées. Etant en charge du montage vidéo j’aurai apprecié bénéficier d’au moins 4 à 5 jours supplémentaires pour réaliser le montage afin d’obtenir un résultat professionnel. Cependant l’aspect que j’ai particulièrement aimé a été la rencontre avec une professionnelle qui m’as fait bénéficier de son expérience.

Mouna Zizi : Je pense que le cours devrait plus être étalé de le temps. Il y a une charge de travail considérable et les délais sont beaucoup trop courts. La question de formation des groupes se pose aussi, puisque au premier amphi ne connaissant pas grand monde, j’ai eu énormément de mal pour trouver un groupe qui au final était compose de 3 personnes au lieu de 6. D’autres personnes ont été dans mon cas, et d’autres le seront peut être, c’est pour cela que je propose que le formation des groupes se fassent à votre niveau.




Groupe 155 - Campus de Paris la Défense

Soutenir Movilab

Vous pensez que nous allons dans le bon sens ? Si vous en avez l'envie nous vous invitons à nous rejoindre ou à faire un don.