Comment donner une dimension durable et responsable, à travers la protection de l’environnement et le management, à un événement culturel ponctuel tel que les festivals musicaux au niveau de leur organisation et leur gestion ?

De Movilab
Aller à :navigation, rechercher

Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :


Comment donner une dimension durable et responsable, à travers la protection de l’environnement et le management, à un événement culturel ponctuel tel que les festivals musicaux au niveau de leur organisation et leur gestion ?

Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]


Voici notre dossier de production: Cliquez ici pour accéder à notre dossier de production

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]

Voici notre reportage, bon visionnage !


LES FESTIVALS ET LEURS ENJEUX ECO-RESPONSABLES

Comment donner une dimension durable et responsable, à travers la protection de l’environnement et le management, à un événement culturel ponctuel tel que les festivals musicaux ?[modifier | modifier le wikicode]


Les festivals de musique sont des évènements qui rassemblent une masse importante de personne dans un temps et un espace limité. Il s’ensuit donc un impact sur l’environnement, quoique ponctuel, très lourd. En effet, les nombreuses installations scéniques, logistiques et autres sont gourmandes en énergie. Il faut aussi penser au transport du matériel, du personnel et surtout des spectateurs, qui est d’autant plus polluant que ces gens viennent de loin. Enfin, la gestion des déchets est un enjeu central. L’organisation d’un festival musical constitue donc un défi logistique, qu’il parait difficile d’améliorer dans une logique de protection de l’environnement.
Autre aspect du développement durable: la gestion des « risques humains » et leur prévention. Il est vrai que dans le cadre festif voir transgressif qu’est un festival, la concentration de la population, de plus assez jeune, entraîne des comportements à risque tels l’ivresse, la consommation de drogues, les débordements violents ou les rapports sexuels non protégés. L’organisation d’un festival ne peut passer à coté de ces enjeux cruciaux pour la santé et l’ordre public.

En s’intéressant de plus près à un festival de musique, en particulier Les Plages Électroniques, il est possible de constater que la notion de développement durable devient de plus en plus un aspect majeur à prendre en compte dans l’organisation de cet évènement. Malgré le fait que la ville dans laquelle se déroule ce festival impose une certaine politique de développement durable, cela n’en est pas moins une contrainte puisqu’elle se révèle être une notion tout à fait normale à prendre en considération, selon les organisateurs du festival Les Plages Électroniques. L’évènement se déroule chaque été depuis 2006 sur la plage du Festival et des Congrès à Cannes sur plusieurs soirées pendant les mois de juillet et août. Chaque année, les organisateurs de cet évènement ont développé plusieurs concepts permettant de répondre au mieux à une dimension éco-responsable en association avec le programme “Agenda 21” de la Ville de Cannes.

Plus concrètement, nous avons eu l’occasion d’aborder, avec Monsieur Degorce-Dumas, Responsable Communication du Festival Les Plages Électroniques, l’ensemble des actions mises en place qui font que nous pouvons parler de ce festival comme d’un festival éco-responsable. Tout d’abord, nous avons évoqué le sujet des gobelets consignés : le principe est que l’on donne un gobelet en plastique aux festivaliers à leur entrée ; si ces derniers ramènent leur gobelet après le festival, un euro leur sera remis en retour ; sinon, ces derniers pourront conserver cet objet à l’effigie du festival en souvenir. Le Festival s’est efforcé, dès sa campagne de communication, de promouvoir les bienfaits du développement durable. Le Festival oriente principalement sa campagne de communication vers les supports web tels que les réseaux sociaux afin de limiter les impressions d’affiches et d’être au plus près de la cible la plus importante du festival : les jeunes. Lorsque les affiches sont imprimées, celles-ci le sont selon la même démarche avec du papier recyclable et en faisant appel à des imprimeurs disposant d’accréditations dans le domaine écologique. De plus, lors de la disposition de ces affiches, les bénévoles vont les disposer dans la ville de Cannes en se déplaçant en rollers ou au moyen d’éco-transports.
Les responsables du festival se sont orientés vers une campagne de sensibilisation des festivaliers en mettant à leur disposition des navettes et des systèmes de covoiturage en ligne. Ceci a été le fruit de nombreux efforts avec les villes de Cannes et d’Antibes, aux vues de la pauvreté de leur réseau des transports en commun, en particulier la nuit.
Enfin, lors du festival lui-même, les spectateurs disposent de cendriers de poche afin de limiter encore une fois les déchets sur la plage. Ceux-ci ont également eu l’occasion d’expérimenter le système des toilettes sèches ; ceux-ci ont d’ailleurs reçu un accueil favorable inattendu lors de leur lancement.

D’autre part, les organisateurs s’attachent à transmettre des messages citoyens plus universels, d’où la présence de plusieurs associations caritatives. Les festivaliers étant dans une ambiance festive, ils sont davantage receptifs.


Ainsi, la dimension durable du festival, qui était une préoccupation des organisateurs lors de la création du festival, est devenu un élément distinctif du festival. Aujourd’hui, c’est aussi un élément indispensable pour financer l'évènement, mais aussi un apport bénéfique pour le confort des festivaliers, voire sécurisant.

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]


1)En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et plus largement de la société ?

Guillaume : Je me suis surtout rendu compte du degré de formalisation du développement durable dans les entreprises et institutions que ce soit à travers la règlementation, les certifications, labels, plans d’actions, etc. Je suis assez d’accord avec le manager que nous avons interviewé, le développement durable est quelque chose de « normal » pour lui. Pour moi, c’est en partie du bon sens dans la mesure où beaucoup de pratiques sont bénéfiques pour tous les acteurs. Ainsi, j’ai constaté avec surprise parfois qu’à l’inverse le développement durable se concrétise parfois de façon totalement bureaucratique et stupide. Il ne faut pas faire du développement durable pour le développement durable, il faut un réel intérêt. Et on peut regretter que cet enjeu dans certains cas rajoute de la complexité, du règlement, des couts voir de l’opacité à des organisations plutôt que d’en enlever.
Yolanda : Ce projet donne une application concrète de ce qu’est le travail de groupe dans le « business ». Chaque personne à une mission précise dans l’avancée du projet et chaque contribution est nécessaire pour rendre un livrable à la hauteur des attentes du groupe.
Manon : Le développement durable ne touche pas uniquement l’écologie, comme on le pense souvent. La dimension sociale est souvent oubliée. Ce travail nous a permis, à travers le brainstorming mais surtout les interviews, de découvrir plus concrètement les différentes facettes du développement durable. Que cela concerne le business en général ou la société, j’ai pu constater que le développement durable est un concept assez facile à mettre en place avec un peu d’éthique et de volonté, et qu’il peut avoir des répercussions importantes si les mesures sont suivies sérieusement.
Coralie : Ce cours nous permet d’appréhender une nouvelle vision du management et du business en général, accès sur la problématique de développement durable aussi bien au niveau social, économique qu’environnemental. Il permet de réfléchir à de nouvelles méthodes de management et de s’intéresser à des problématiques importantes qui seront de plus en plus au cœur des stratégies d’entreprises au cours des années futures. Il permet de voir comment les entreprises s’organisent autour de cette problématique qui peut parfois se révéler comme étant une contrainte pour eux. Au niveau de la société, on se rend compte que le développement durable est une thématique aujourd’hui très présente et déterminante pour les années à venir. Les entreprises ont conscience de cela et tente d’adapter leur stratégies.
Tommy : Au travers de ce cours, nous avons eu l’occasion d’appréhender la question du développement durable dans son ensemble et non pas seulement en ciblant l’écologie. Nous avons ainsi pu constater que, malgré l’essor de ce sujet et de ses campagnes de sensibilisation depuis quelques années, le développement durable restait souvent bien plus théorique que pratique, et ce, même au sein de notre équipe. Ce cours nous a alors permis de comprendre davantage cette problématique sur le terrain avec des actions concrètes et liées au monde de l’entreprise.
Henri-Emmanuel : Dans le cadre de la réalisation d’un reportage, cela nous donne une meilleure compréhension de notions telles que le business et le développement durable car nous sommes au plus près de l’action. Cette fois-ci nous n’écoutons pas les journalistes qui diffusent les informations retransmises à la télévision ou une autre interface de communication, ce sont nous qui bâtissons et organisons le reportage. Nous établissons la trame du sujet choisi et donnons la direction voulue. D’autre part, en étant sur le « terrain », nous sommes plus à même de comprendre certains sujets par le biais de témoignage de plusieurs personnes, et c’est également à ce moment-là que le tri de l’information est très important car il garder une certaine objectivité et retransmettre, de manière véritable, la réalité.

2)Qu’avez-vous le plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez-vous formuler les compétences acquises ?

Guillaume : J’ai principalement développement des compétences générales de problématisation et de synthèse (dans la réflexion comme dans le montage) puisque le but du reportage est d’apporter des connaissances les plus claires et complètes possible sur un sujet. Cela a donc été une part importante du travail fait. J’ai également appris à me servir de wiki. Henri-Emmanuel : Ce que j’ai le plus appris durant ce cours, c’est la capacité à préparer et à organiser, avec un camarade, l’interview d’une personne, qu’elle soit dans le monde de l’entreprise ou non : • Savoir poser les bonnes questions et être direct • Avoir une bonne communication orale • Ne pas oublier certains aspects légaux, comme faire signer une charte de droit à l’image
Tommy : Nous avons pu affiner notre façon de nous comporter et de manager au sein d’une équipe. Nous avons également eu, dans le cadre de ce cours, l’occasion de gérer un projet de A à Z en prenant en compte les points logistiques nécessaires (déplacement, prise de rendez-vous, organisation, matériel, etc.) à son bon déroulement.
Coralie : Apprendre de façon plus approfondie ce qu’était le développement durable et les différents liens qu’il pouvait avoir avec les entreprises et le management. Cependant, le cours et les connaissances acquises ne sont pas généraux dans le sens où étant donné que l’on doit se concentrer sur un thème et une thématique pour notre vidéo on ne peut pas ratisser de façon plus large les connaissances dans ce domaine.
Manon : J’ai appris, grâce à la réalisation de notre reportage mais aussi le visionnage d’autres vidéos, qu’un grand nombre d’entreprise a une conscience responsable. En effet, ces questions touchent tous les domaines économiques, de l’industrie au divertissement. Ce cours nous permet de nous organiser autour de différentes compétences, pour ainsi créer une équipe plus « professionnelle », contrairement à d’autres cours où nous répartissons le travail de manière égale.
Yolanda : Réaliser une interview

3)Comment avez-vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De qui avez-vous le plus appris (de vos pairs/ de l’interviewé . . . ?

Guillaume : J’ai apprécié l’idée de réaliser un reportage, cela permet justement de voir comment un vrai reportage est mis sur pied de l’idée jusqu’au montage et surtout de pouvoir le faire. Faire ce projet en groupe est totalement justifié.
Yolanda : Bon moyen d’apprendre en autonomie. On apprend beaucoup des autres membres du groupe grâce aux connaissances du sujet traité ou encore grâce à l’heure compétence plus technique.
Henri-Emmanuel : Cette nouvelle expérience fut enrichissante. Ce cours fut peu contraignant dans le sens où construire et organiser un reportage et une vidéo sort de l’ordinaire des cours que l’on fait. J’ai beaucoup appris de la part de l’interviewé sur la thématique des éco-festivals durables, son point de vue de responsable communication était très intéressant.
Tommy : C’est une expérience d’apprentissage innovante. J’ai beaucoup appris des membres de mon équipe, étant déjà amis avant le début de ce projet, j’ai toutefois pu observer plus en détail leur attitude au sein d’un groupe, leur façon de penser et parfois leur passion (notre choix de sujet a d’ailleurs été fait en fonction de la passion de l’un des membres de notre équipe). Les professeurs ont mis en place des supports de communication intéressant (duplex vidéo, conversations on-line en direct, etc.) cependant les délais de réalisation sont parfois un peu court aux vues des objectifs à atteindre.
Coralie : C’est une expérience d’apprentissage non conventionnelle et atypique donc intéressante et plus stimulante qu’un cours normal. Cependant, cela prend beaucoup de temps si l’on veut réaliser un travail de bonne qualité or les délais imposés et la disponibilité que nous avions pour mener à bien ce travail dans les temps étaient réduits. Je pense avoir le plus appris de l’interview effectuée, en tout cas sur le thème de travail qu’était le nôtre.
Manon : Cette expérience était intéressante car nous avons pu développer nos sens créatifs et entreprenant, tout en allant à la rencontre de professionnels. Cependant, le projet aurait pu être plus cadré, par exemple grâce à des formations spécifiques à chaque poste, dispensées en face à face et non seulement sur le Wiki. J’ai beaucoup appris de mon groupe puisque nous avons pu échanger nos compétences plus personnelles. Le professionnel interviewé nous a appris beaucoup sur le sujet. Cependant, ce cours n’a pas été l’occasion d’apprendre de véritables techniques de management de projet, car nous avons été « lâchés dans la nature ».

4)A quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés (- de 25% entre 25 et 50, entre 50 et 75 et + de 75% ? Qu’est ce qui a été le plus utile pour vous ?

Guillaume : Je dirais entre 25 et 50%. Pour ma part, ça a surtout concerné les procédures et codes à respecter pour l’utilisation de Wiki.

Coralie : Utilisation inférieure à 25%. Ce qui a été le plus utile étaient les méthodes de travail sur la vidéo et les différents articles explicatifs : les différents reportages, les différents plans…
Tommy : Inférieure à 25%. J’ai certes parcouru les articles en début de cours, cependant, aucun besoin particulier s’étant manifesté tout au long de la réalisation du projet ne m’a poussé à les consulter de nouveau. Henri-Emmanuel : Entre 25 et 50%, surtout dans le cadre de la skembanque.
Yolanda : Inférieur à 25 par manque de temps, on ne sait pas quelles info on peut trouver ou non sur le wiki. Une sorte de « newsletter » du wiki aurait été judicieuse je pense pour nous impliquer plus. Par exemple un mail avec un article « un jour, une fonctionnalité » aurait pu m’inciter à le visiter plus régulièrement.

Manon : Pour mon rôle, à savoir Chargé de Production, l’utilité des ressources s’élèvent entre 50 et 75%, car les ressources pour structurer un reportage dans sa préparation étaient pertinentes. Pour d’autres postes, je considère les ressources comme insuffisantes. La difficulté d’utilisation et la non attractivité du Wiki n’ont pas invité les différents postes à approfondir leurs compétences. Un site plus attractif, et une communication plus étroite entre les intervenants tout au long de l’exercice (et non pas uniquement le jour de lancement), serait une perspective d’amélioration certaine.

5)Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui-ci ? Quel a été l’apport de la bourse de compétences ? Comment les compétences ont-elles circulé ?

Guillaume : Bien sûr, le fait de collaborer avec d’autres groupes de travail est nouveau mais nous en avons profité et fait quelques échanges. Mais le fait de passer par une bourse de compétences ne se justifie que quand les besoins sont vraiment importants ou rares et que l’on ne connait personne pour nous aider. Dans les autres cas, l’obligation de faire des échanges sur cette plateforme rajoute un poids, une obligation dont la finalité n’est pas « naturelle ».

Yolanda : Les pratiques collaboratrices intragroupes sont vitales. Les pratiques collaboratrices intergroupes sont très positives et permettent de prendre un peu de recul sur son projet et d’ajouter une plus-value aux compétences interne. Je pense que la SKEM bank est une très bonne idée.
Henri-Emmanuel : Dans le cadre d’échanges de compétences, ce cours a une influence sur nos pratiques inter groupes. Par exemple nous devions interroger un étudiant ayant participé au festival des Plages Electro, la bourse de compétences s’est révélée ici être très utile.
Tommy : Oui, ce cours a approfondi le management d’équipe déjà appliqué et requis dans le cadre des autre cours dispensés à SKEMA. La bourse des compétences était un concept intéressant mais la communication de nos besoins et de nos offres se faisaient bien plus souvent sans passer par cette plateforme (le bouche-à-oreille entre amis était le plus souvent utilisé). Je pense qu’il aurait été plus stimulant de ne pas fixer comme objectif de faire le plus d’échanges possibles tout en restant à une valeur proche de la valeur initiale (10 000 Skems) mais plutôt laisser les groupes décider de leur stratégie de gestion des compétences.

Coralie : Oui, il a permis d’appréhender une nouvelle méthode de travail en groupe. Savoir s’organiser et prendre des décisions sur les interview à organiser, les différents plans et scénarios à choisir… Tout le monde a pu participer en apportant ses idées et ses connaissances sur le sujet. Nous avons surtout beaucoup communiqué par le biais des réseaux sociaux étant donné que nos emplois du temps et nos disponibilités ne coïncidaient pas toujours, ce moyen se révélait être le plus efficace et le plus pratique.
Manon : Ce cours a eu l’intérêt de nous faire partager le travail plus intelligemment que les autres cours. Nous avons réfléchi aux compétences de tous les membres de l’équipe avant de définir les autres taches. Nous avons trouvé la majorité des compétences au sein de notre groupe, et les compétences manquantes étaient disponibles dans les groupes proches de nous. Cette bourse a parfois été un moyen contraignant d’obtenir des informations, alors que nous avions les réponses à nos requêtes dans un environnement plus local.

6) Quelles sont vos critiques et suggestions d’amélioration pour ce cours ?
Guillaume : J’aurai aimé avoir plus de temps pour ce projet. En effet, à certaines étapes, nous avons à peine eu le temps suffisant avant de rendre un livrable. Un peu plus de temps nous aurait permis d’affiner et d’améliorer certaines choses comme le montage. De plus, je regrette que la thématique choisi (développement durable et management) soit trop restrictive et « empêche » la prise de distance critique avec le concept même de développement durable. Il aurait été intéressant de pouvoir se demander si le développement durable et ses implications sont réellement bénéfices à tout point de vu. Ou bien si le développement durable en général n’est pas que la nouvelle mode managérial du moment, etc.
Yolanda : Plus de ressources accordées au travail en équipe : de vraies salles de travail et pas un amphi, des horaires mieux adaptés (quelques heures par semaine). Plus de temps pour réaliser le projet et pouvoir affiner les conclusions. Effectuer des points d’avancement physiques et réguliers, permettre au groupe d’effectuer une soutenance orale intermédiaire et une soutenance orale finale. Etre plus précis sur les consignes (contenu de la vidéo par exemple) et sur la notation de l’exercice. Mener un projet en deux temps : première partie similaire à celle que nous avons mené, puis une seconde partie dans laquelle les meilleurs sujet traités feront l’objet d’un approfondissement par chaque groupe, un peu comme le défi innovation ; chaque groupe propose des solutions aux différents problèmes (per exemple pour le gaspillage, proposer des solutions concrètes pour éviter le gaspillage dans un restaurant local).
Coralie : L’idée de ce cours est très intéressante. La nouvelle méthode d’apprentissage est stimulante et donne envie de s’impliquer. Toutefois, la charge de travail assez importante nécessite peut être des délais plus longs et donc pourquoi pas l’apprentissage de ce cours sur une année et non sur un seul semestre, dans le but de réaliser un vrai reportage.
Tommy : C’était un concept intéressant, les plateformes mises en place sont innovantes et faciles d’accès. Il serait peut-être profitable au cours de laisser aux étudiants d’orienter leur reportage vers un panel de sujet plus large (tout en l’encadrant) et de donner davantage de temps pour accomplir certaines étapes.
Henri-Emmanuel : Le système de la Skem Bank est intéressant pour échanger les compétences et poser/répondre aux questions mais noter en parti un groupe sur l’usage de ce système est un peu dommage. L’ensemble des groupes s’échangent en général des compétences à la fin du projet pour « faire bonne figure » et ne pas avoir de malus. Les échanges sont donc pour la plupart inventés. C’est pourquoi, au lieu de noter, je pense qu’il faut laisser plus de liberté aux groupes : se baser sur un système de transaction où chacun échange leurs compétences parce qu’ils en ont envie et non les forcer indirectement.
Manon : L’encadrement est à revoir. Le caractère anonyme de cette manière pourrait être largement amélioré en organisant des sessions de travail plus régulières, où les groupes pourront partager leurs expériences entre eux et avec les intervenants. Les supports aussi mériteraient plus d’attention, notamment la mise à disposition de logiciels de montage.



Retour vers la page d'accueil du cours

Soutenir Movilab

Vous pensez que nous allons dans le bon sens ? Si vous en avez l'envie nous vous invitons à nous rejoindre ou à faire un don.